La famille
Mimran va céder la Compagnie sucrière sénégalaise, les Grands Moulins de Dakar
et d’Abidjan. L’information a été donnée hier par Jeune Afrique Business+.
Selon la même source, les futurs repreneurs sont la société marocaine Forafric.
“Soutenu par son actionnaire financier Ycap, Forafric ne cachait pas ces
derniers mois son ambition de se développer rapidement au sud du Sahara”,
lit-on sur le site Jeuneafrique.com. L’opération (dont le montant frôlerait le
milliard d’euros), une fois finalisée, permettra à Forafric de mettre la main
sur trois joyaux de l’agroalimentaire en Afrique francophone.
Fondées par Jacques Mimran entre les années 1950 et les années 1970, et détenues aujourd’hui par Jean-Claude Mimran, ces trois entreprises réalisent entre 196, 787, 262 et 382 milliards de francs CFA de chiffres d’affaires. Il faut rappeler qu’après l’agroalimentaire (Grands moulins de Dakar, d’Abidjan et la Compagnie sucrière sénégalaise), le Groupe Mimran s’est lancé dans les mines. Il a en effet obtenu, il y aquelques mois, un permis de recherche pour phosphates de chaux et substances connexes dans les régions de Diourbel, Fatick et Kaolack. Un arrêté ministériel n°13834, en date du 15 juillet, a ainsi été signé par le ministre en charge de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye. Toutefois, selon Jeune Afrique, un accord a été signé entre la société australienne Minemakers et le Groupe Mimran, le 04 novembre dernier. Dans le cadre de cette opération, Mimran Natural Ressources a accepté d’investir environ plus de 6,716 milliards de F CFA. Mais aussi, de transférer un permis d’exploration de phosphates qu’il détient au Sénégal à Baobab Mining and Chemicals Corporation, en échange de 20% de cette société minière et de 19,9% du capital de sa maisonmère Minemakers.
Enquête
Fondées par Jacques Mimran entre les années 1950 et les années 1970, et détenues aujourd’hui par Jean-Claude Mimran, ces trois entreprises réalisent entre 196, 787, 262 et 382 milliards de francs CFA de chiffres d’affaires. Il faut rappeler qu’après l’agroalimentaire (Grands moulins de Dakar, d’Abidjan et la Compagnie sucrière sénégalaise), le Groupe Mimran s’est lancé dans les mines. Il a en effet obtenu, il y aquelques mois, un permis de recherche pour phosphates de chaux et substances connexes dans les régions de Diourbel, Fatick et Kaolack. Un arrêté ministériel n°13834, en date du 15 juillet, a ainsi été signé par le ministre en charge de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye. Toutefois, selon Jeune Afrique, un accord a été signé entre la société australienne Minemakers et le Groupe Mimran, le 04 novembre dernier. Dans le cadre de cette opération, Mimran Natural Ressources a accepté d’investir environ plus de 6,716 milliards de F CFA. Mais aussi, de transférer un permis d’exploration de phosphates qu’il détient au Sénégal à Baobab Mining and Chemicals Corporation, en échange de 20% de cette société minière et de 19,9% du capital de sa maisonmère Minemakers.
Enquête
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire