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mardi 31 août 2021
lundi 30 août 2021
dimanche 29 août 2021
TER: Corruption, racket, arnaque et abus : Un rapport révèle des pratiques nébuleuses sur le TER Publié le 29/08/2021 à 10:11 - Mis à jour le 29/08/2021 à 10:12 244 SENENEWS Un rapport élaboré par Lumière synergie pour le développement (LSD) et le collectif national des Personnes affectées par le projet (PAP) du Train express régional (TER) a évoqué des pratiques corruptives, entre racket, arnaque et abus sur les travaux du Train Express Régional. En effet, le document, d’une quarantaine de pages, intitulé :’’Se retrouver subitement sans toit, sans terre et sans travail », a mis à nue les pratiques nébuleuses liées au TER. Le document, évoquant également un « racket », explique qu’il « s’exprime sous la forme d’extorsion de fonds par l’intimidation, la ruse, la terreur, le chantage. La cible fragilisée est convaincue qu’elle n’a droit à rien. S’en suit une procédure qui la conduit à chercher refuge auprès d’arnaqueurs pour se mettre à l’abri », explique-t-il. Exemple : « Des PAPs sont contraintes de verser une partie des fonds contre un chèque émis à leur nom sensés couvrir les dommages subis. Il nous a été signalé des chèques remis à la PAP après une série de négociation où elle accepte d’offrir une partie de la somme à un fonctionnaire. Un agent est désigné pour l’accompagner à la banque où la somme lui est remise devant le guichet », peut-on lire dans le rapport. D’ailleurs, « des PAPs ont été aussi convaincues de quitter leurs habitations sans aucune forme d’accompagnement sous la promesse d’une indemnisation à hauteur des biens démolis avec souvent l’annonce verbale d’une somme attractive, une aide au relogement de six mois considérés comme la durée nécessaire pour la construction d’une nouvelle maison, l’attribution d’une nouvelle parcelle de construction. On a relevé dans une grande majorité, des PAPs ayant reçu l’indemnisation (même contestée) et l’aide au relogement. Par contre, cinq ans plus tard, elles n’ont toujours pas bénéficié de terrains », dénonce-t-il. Pire, à en croire le rapport, « des terrains sont remis à des tiers au détriment des ayant-droits. Matériels lourds déplacés, stockés hors de portée des propriétaires puis pillés, vendus ou dérobés. Ces pratiques ont particulièrement affecté les entrepreneurs, les artisans, les mécaniciens, les fermiers, les brocanteurs, etc. » Pourtant, « en vertu des politiques de sauvegardes environnementales et sociales de la BAD (Banque africaine de développement) et de l’AFD (Agence française de développement), toutes les personnes affectées devaient être indemnisées intégralement avant le démarrage des travaux du projet. Et pourtant, selon le responsable des PAPs, plus de 2 711 impactés n’ont pas reçu les fonds de vulnérabilité. Et, ceux à qui on a appliqué une indemnisation mixte, et qui ont reçu de l’argent depuis près de trois ans attendent leurs terrains depuis »; Ainsi, on serait tenté de se poser la question de savoir « où étaient les responsables de la Banque africaine de développement (BAD) et l’Agence française de développement (AFD) ? », rapporte Emedia
Rappel à Dieu de Alioune Badara Cissé (ABC) Publié le 28/08/2021 à 21:29 - Mis à jour le 28/08/2021 à 21:31 1.625K SENENEWS C’est une triste nouvelle qui vient de nous parvenir. Alioune Badara Cissé, ancien médiateur de la République (son mandat est épuisé depuis le 05 août 2021) vient d’être rappelé à Dieu, ce samedi 28 aout, note Dakaractu. C’est une triste nouvelle pour le peuple sénégalais. Membre fondateur de l’Alliance pour la République (APR), Alioune Badara Cissé (ABC pour les intimes), est décédé. Il a été ministre des affaires étrangères dans le premier Gouvernement post alternance de Abdoul Mbaye et nommé médiateur de la République par Macky Sall depuis 2015. Sélectionné pour vous : Canada : Un Sénégalais retrouvé mort noyé, dans une piscine Lors des manifestations de mars dernier, suite à l’arrestation de Ousmane Sonko, il avait fait un discours remarquable, soutenant le peuple et rappelant les autorités à l’ordre. En 2019, le décès de son fils aux Etats Unis l’avait beaucoup marqué et ne s’en est jamais remis. Il part ainsi le rejoindre. Paix à son âme C’est une très mauvaise nouvelle qui s’est abattue sur le paysage politique sénégalais, ce samedi 28 aout, dans la soirée. En effet, Alioune Badara Cissé (ABC), ancien médiateur de la République (son mandat est terminé depuis le 5 aout), a été rappelé à Dieu. D’après nos confrères de Emedia, celui qui fut ministre des affaires étrangères était malade. Il est d’ailleurs décédé à l’hôpital Principal de Dakar, ce samedi. Sélectionné pour vous : Décès de Alioune Badara Cissé : La réaction du président Macky Sall Avocat et proche collaborateur de Macky Sall, ABC est l’un des membres fondateurs de l’Alliance Pour la République (APR). Le Médiateur de la République, Me Alioune Badara Cissé, décédé, ce samedi 28 aout, à la grande surprise du peuple sénégalais était réputé être un homme de paix et d’une grande noblesse. En effet, connu pour son éloquence et son franc-parler, Me Alioune Badara Cissé (ABC) a été l’un des rares personnalités, membre de mouvance présidentielle, à toujours défendre les valeurs de la République et le respect de la parole donnée. Ainsi, dans l’une de ses rares apparitions, ABC a été interviewé sur une éventuelle 3e candidature du président Macky Sall. La réponse du défunt Médiateur a été d’une éloquence sans pareille
Triste nouvelle, le monde du football sénégalais en deuil SENENEWS Publié le 20/08/2021 à 20:12 - Mis à jour le 20/08/2021 à 20:12 645 Le monde du football sénégalais est en deuil. L’ancien international sénégalais, Bamba Diarra, n’est plus. Joueur de l’équipe nationale de football, Bamba Diarra était un des acteurs majeurs de la Tanière dans les années 70. L’ancien attaquant international sénégalais du Foyer France Sénégal et du Jaraaf est décédé ce vendredi à Dakar, relaie l’APS. Sélectionné pour vous : Interpellé par Macky Sall, Recep Tayyip Erdogan vient au secours du Sénégal Septuagénaire, le défunt faisait partie de la relève mise en place par la Fédération sénégalaise de football (FSF) après la participation de l’équipe nationale à la CAN 1968 jouée en Ethiopie, a expliqué Salam Touré, plus connu sous le pseudonyme de Mame Tuty. L’enterrement de Bamba Diarra est prévu mardi à 11h, au cimetière musulman de Yoff, a déclaré Mame Muty, qui a été coéquipier du défunt. La rédaction de SeneNews présente ses condoléances au monde du football sénégalais, à sa famille éplorée et prie pour le repos de son âme WIKIPEDIA Bamba Diarra, né dans les années 1950, est un footballeur professionnel sénégalais. Il est sélectionné pour la première fois dans l'équipe nationale du Sénégal à l'âge de 17 ans, au poste d'avant-centre. Il joue alors à l'ASC Diaraf. Capitaine de cette équipe pendant les années 1970, il remporte de nombreux titres nationaux (championnats et coupes). Par la suite, il joue en France principalement en deuxième division, avec pour club Amiens et Besançon. Source
samedi 28 août 2021
vendredi 27 août 2021
jeudi 26 août 2021
mercredi 25 août 2021
SENENEWS Révélations : L’école où les bachelières de 13 ans ont passé le secondaire menacée de fermeture Publié le 25/08/2021 à 17:59 - Mis à jour le 25/08/2021 à 19:44 77 Située en plein milieu de la banlieue dakaroise, l’école « Xam Xamlé » de Yeumbeul traverse un sale temps. Le proviseur de l’établissement est menacé d’expulsion suite à une dette qu’il peine à couvrir. Réputée comme étant une école sociale, « Xam Xamlé » est souvent prise d’assaut par les parents qui peinent à joindre les deux bouts. L’école doit sa réputation au nombre d’admis et le sérieux des enseignants. Sélectionné pour vous : Affaire des jumelles bachelières à 13 ans : Le responsable de l’école brise le silence C’est d’ailleurs là où les jumelles de 13 ans, Aminata et Rama Diaw, plus jeunes bachelières du Sénégal, ont obtenue le Bfem à l’âge de 10 ans. Aujourd’hui, leur ancien établissement est menacé à cause d’une créance que le responsable peine à solder. Dans ce reportage, le proviseur Amadou Lamine Ndour explique les difficultés de son établissement et la somme qu’il doit au bailleur.
SENENEWS Affaire des jumelles bachelières à 13 ans : Le responsable de l’école brise le silence C’est à travers un communiqué que le proviseur de l’école « Xam Xamlé » a brisé le silence sur la polémique des jumelles qui ont leur baccalauréat à l’âge de 13 ans. Le responsable administratif Amadou Lamine Ndour était invité pour répondre sur certaines questions concernant l’âge et les classes anticipées d’Aminata et de Rama Diaw. « Le cas des jumelles Aminata et Rama Diaw est un cas exceptionnel. Lorsque Monsieur Diaw? leur papa était venu à Xam Xamlé pour nous demander d’accepter les jumelles en 4eme en les faisant sauter les classes de 6eme et de 5eme, nous avons répondu par un non« , a rappelé M. Ndour au micro de SeneNews. Sélectionné pour vous : Révélations : L’école où les bachelières de 13 ans ont passé l’élémentaire menacée de fermeture Cet éclairage fait, le responsable de poursuivre en révélant l’insistance du papa des jeunes filles face au premier refus qu’il lui avait opposé. « Et Monsieur Diaw de me dire : il faut être curieux Monsieur Ndour. Et j’ai vite compris que c’était une invite à les tester« , révèle-t-il. A l’issue d’un test en Français, en Anglais, en Mathématiques et en PC, les professeurs chargés de les tester ont confirmé l’aptitude des jumelles à suivre les cours en classe de 4eme. « Monsieur Sy, professeur de Mathématiques au CEM Yeumbeul 2, à qui j’ai exposé leur cas s’est montré dubitatif et m’a demandé l’autorisation de les tester à nouveau en Mathématiques. A l’issue de ce second test il me dit que Rama et Aminata pouvaient même être admises en 3eme« , informe M. Ndour Le proviseur de l’établissement a pris la peine de souligner leur entretien au moment où les jumelles étaient de l’autre coté pour subir des tests. « Pendant que les jumelles faisaient leur test, Monsieur Diaw , le papa de Rama et Aminata m’avait signifié que les jumelles allaient rester à la maison dans le cas où elles ne seront pas admises à Xam Xamle« , explique Ahmadou Lamine Ndour Connu dans le milieu comme un proviseur social, M. Ndour a vite changé d’avis par rapport à son refus de laisser les jumelles dans une classe de 4éme. « Si Aminata et Rama ont été admise à l’Ecole, c’est pour les raisons suivantes. Premièrement, elles avaient réussi leur test. Ensuite, c’était pour éviter de briser un élan prometteur d’autant plus que si elles n’étaient pas acceptées à Xam Xamle leur papa aller les retenir à la maison pour continuer leur encadrement. Et enfin, les jumelles avaient besoin de cadre pour une saine émulation et pour une meilleure socialisation ». Après leur admission à cette école, les deux fillettes n’ont pas déçu les pronostics à leur encontre. Monsieur Ndour de préciser: « Lors de leur passage à Xam Xamle, elles ont fait un brillant parcours. En 4eme et en classe de 3eme elles n’ont jamais obtenu une moyenne inférieure à 13″. Lui emboitant le pas, le responsable de la structure avance des propos qui révèlent le génie et l’intelligence de ces collégiennes précoces: « En classe de quatrième Aminata et Rama se sont respectivement classées 4eme et 5eme et 4eme et 6eme en classe de troisième« . En ce qui concerne l’âge des jumelles d’Aminata et de Rama Diaw, l’enseignant reste ferme sur la copie qui a été présentée à l’administration. « A l’âge de 10 ans elles ont obtenu à Xam Xamle leur Bfem dès le 1er tour lors de la session 2017. L’une s’est classée 17 eme et l’autre 18 eme de leur Centre nous confortant ainsi dans la décision de les admettre à l’école. Certains doutent de leur âge. Sur les extraits de naissance que nous avons reçus et que nous avons déposés à l’Inspection, pour leur inscription au Bfem il n’y a pas de mention de jugement« , a précisé M. Ndour qui ajoute: « C’est bon pour une meilleure compréhension de leur parcours, de rappeler qu’elles ont sauté à l’Elémentaire les classes CE2 et CM2 et au cycle Moyen les classes de 6eme et 5eme ». Comment comprendre que de si petites filles, en termes d’âge, ne soient pas connus du grand public depuis le début de leur parcours? A cette question, M. Ndour répond: « C’était pour les protéger que nous n’avons pas accepté de faire du bruit autour d’elles lors de leur obtention du Bfem. Sinon nous pensons que la plus grosse performance qu’elles ont réalisée c’est de quitter le CM2 et de parvenir à obtenir le Bfem à 10 ans sans passer par la 6eme et la 5eme ». A en croire celui-ci, si des classes ont pu être sautées à l’élémentaire et au collège, cela n’a pas été le cas au lycée: « Pour le cycle secondaire, précise-t-il, elles ont effectué un parcours normal certes avec un âge exceptionnel. Elles n’ont sauté aucune classe durant le cycle secondaire ». Un parcours exempt de toute manipulation Conscient que beaucoup de bruit a été fait sur leur scolarisation lors de l’annonce de la réussite des filles au baccalauréat, le responsable administratif tient à lever les équivoques. « Leur parcours, nous ne cesserons de le dire, est exceptionnel, limpide et entaché d’aucune manipulation et d’aucune forme de marchandisation. Personne ne nous a entendus lorsqu’elles ont obtenu leur Bfem à l’âge de 10 ans. Nous devons les célébrer et leur baliser la route. Et nous ne pouvons que remercier Monsieur le Président de la République pour les premiers gestes posés en direction des jumelles et le prier d’accéder à leur demande » a révélé M. Ndour Le mérite de ces fillettes qu’il juge passionnées d’études et très sérieuses, M. Ndour est d’avis qu’il revient à leur papa qui s’est montré très intéressé par leur situation et s’est investi sur tous les plans. D’ailleurs, ce dernier n’hésitait pas, malgré leur intelligence, de les inscrire à des cours de vacances audit lycée. « Nous avons constaté qu’avant d’entamer une classe, elles étaient toujours en avance par rapport au programme de la classe qu’elles devraient faire » , s’est réjoui le proviseur de Xam Xamlé Comme pour montrer que son école est un terreau fertile de jeunes talents, le proviseur Amadou Lamine, n’a pas manqué de féliciter un autre candidat issu de son établissement. « Nous ne pouvons terminer sans féliciter notre ancien élevé El Hadji Falilou Mbacké qui vient d’obtenir son baccalauréat série S1 avec la mention très bien. Il a obtenu son Bfem à Xam Xamle et a été présenté par Xam Xamle au concours du Lycée d’Excellence de Diourbel » a-t-il conclu.
mardi 24 août 2021
KHAZA SENE Referenceactu : Mouhamadou Sissoko août 20, 2021 13:57 La grande faucheuse a encore frappé dans le monde des médias rufisquois. Khaza Sène, animateur à la radio Jokkoo FM et acteur culturel a été rappelé à Dieu ce vendredi 21 août. Le rufisquois.info. RUFISQUE – NÉCROLOGIE : LE BRILLANT ANIMATEUR ET REPORTER PAPE IBRA SÉNE ALIAS KHAZA NOUS A QUITTÉ Une autre nouvelle triste nouvelle vient de frapper le paysage médiatique sénégalais. Une semaine à peine après le rappel à Dieu du reporter Mamadou Diop alias Laye Diaw ,une autre figure emblématique de la bande fm locale vient de nous quitter. Papa Ibrahima Séne plus connu sous le nom de Khaza Séne est décédé. Animateur hors pair à la jokko fm ,maitre de cérémonie de la plupart des grands évènements , un grand monsieur correct , souriant et aimable vient de nous quitter. Avec son rappel à Dieu , Rufisque perd une vedette incontestable du paysage médiatique rufisquois. La levée du corps se tiendra à 17h à Guendel suivie de l’inhumation au cimetière de Dangou. Lerufisquois.info présente ses condoléances à la famille éplorée et prie pour le repos de l’âme du défunt . Que Dieu lui accorde son paradis Amine Fatiha +11 Ikhlass
lundi 23 août 2021
dimanche 22 août 2021
samedi 21 août 2021
vendredi 20 août 2021
RAPPEL A DIEU DU «LAYE DIAW RUFISQUOIS» RUFISQUE PERD SA MÉMOIRE SPORTIVE Le reporter sportif Mamadou Diop alias « Laye Diaw » a tiré sa révérence hier mercredi à Rufisque à l’âge de 65 ans. Longtemps alité, l’animateur vedette de la radio communautaire Jokko Fm, station qu’il a intégrée à ses premières heures (2003), constitue une mémoire du football local et national. Féru du ballon rond malgré son handicap, il fit du reportage sportif une passion. Un amour qui l’a conduit dans tous les terrains vagues de la vieille ville, mais aussi dans le légendaire stade Ngalandou Diouf pour suivre les traces de son idole Abdoulaye Diaw. « Laye Diaw », comme on l’appelait affectueusement dans le département, a couvert la quasi-totalité des finales de navétanes. Mamadou Diop a commenté la finale du Saltigué de Rufisque en 1977. Il a aussi couvert le Coupe d’Afrique des Nations de 2004 en Tunisie. Atteint dès son âge de la poliomyélite, le natif de Vélingara accompagne sa maman pour les vacances à Rufisque. Une cité coloniale où il a fait ses humanités et qui l’adoptera depuis lors jusqu’à son rappel à Dieu. Recruté à la mairie de ville de Rufisque comme agent municipal par feu Mbaye Jacques Diop, il a servi la ville de Rufisque jusqu’à sa retraite il y a six ans. Il laisse derrière une ville orpheline de son « Laye Diaw », une veuve et trois filles. Il repose désormais au cimetière Mbélélane de Dangou à Rufisque. Le « témoin » présente ses condoléances à sa famille et à la radio « Jokko Fm »
mercredi 18 août 2021
mardi 17 août 2021
lundi 16 août 2021
dimanche 15 août 2021
‘’SOUS LES FEUX DE L’AMOUR’’ Une histoire de cœur entre un enseignant et son élève Loin d’être une autobiographie, comme l’a précisé l’auteur Amadou Sokhna, lors de la cérémonie de dédicace, ‘’Sous les feux de l’amour’’ relate l’histoire d’un enseignant, Modou, qui est tombé sous les charmes d’une de ses anciennes élèves et qu’il tenait sincèrement à épouser. Malheureusement, le destin en a décidé autrement. Malgré cette déception, ce même destin mettra à nouveau sur le chemin de Modou l’élue de son cœur Toulaye qu’il a connue à l’université. Même si Amadou Sokhna et le personnage principal de son roman sont tous deux enseignants tombés amoureux d’une dénommée Toulaye et ont perdu leur papa pendant leur cursus universitaire, l’auteur de ‘’Sous les feux de l’amour’’ nie toute description de sa vie personnelle à travers cet ouvrage. ‘’Ce roman n’est pas autobiographique. Mais j’avoue que je me suis inspiré de deux histoires très fondamentales qui ont eu un impact déterminant dans ma vie. Le premier élément est le rappel à Dieu de mon papa et le deuxième est une histoire de rose avec Toulaye, que j’ai vécue à l’université. Ce sont principalement ces deux histoires qui m’ont inspiré pour écrire ce roman. Mais l’histoire principale de ce roman, celui qui lit le résumé sur la couverture verra un enseignant qui est tombé sous les charmes de son élève. A partir de là, dire que Modou est Amadou, je dirai non’’, insiste l’auteur. Si l’auteur a tenu à autant préciser cela, c’est parce que la plupart des lecteurs qui le connaissent ont estimé, en découvrant son œuvre, que Modou est Amadou. ‘’Il y a une ressemblance entre les deux, surtout par rapport à ses qualités : un homme vertueux, qui donne toujours des conseils, surtout quand il a entamé sa vie professionnelle. Le livre est un document digeste avec des noms révélateurs comme Toulaye’’, ont-ils témoigné vendredi, lors de la cérémonie de dédicace tenue à Médina Sabakh. Pour les deux histoires de sa vie, le professeur d’anglais indique qu’il ne les a pas pris textuellement comme il les a connues. Pour le rappel à Dieu de son papa, il l’a raconté tel quel qu’au début. ‘’On me l’a annoncé le jour où j’ai terminé mes examens de deuxième année, un samedi 2 juillet, et Modou l’a vécu ainsi dans le livre. Le bus que j’ai pris quittant Dakar pour aller au village est tombé en panne à Nguékhokh et c’est principalement la raison pour laquelle je n’ai pas pu assister à l’enterrement de mon père. C’est une pilule que je n’ai pas pu avaler’’, dit-il. Une panne qui, dans le livre, a obligé Modou a passé la nuit chez un certain Albert Abdoulaye Sène, qui l’a accueilli chez lui où il a passé la nuit avant de poursuivre son chemin le lendemain, tôt le matin. Là débute la fiction, puisque M. Sokhna n’a jamais rencontré ce bon samaritain. ‘’C’est le fruit de mon imagination. Je l’ai évoqué pour parler du dialogue islamo-chrétien, les relations humaines, l’entraide et autres. Je n’ai pas passé la nuit chez un Albert Abdoulaye Sène durant mon voyage. Quand on écrit, on ne le fait pas pour soi, mais pour les autres. J’ai des amis qui se sont reconnus en lisant le livre. Ils ont vécu des faits similaires’’, poursuit-il. Un amour éternel Pour le cas de Toulaye, les choses sont presque comme narrées. L’auteur a, en effet, rencontré une Toulaye à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et qu’il a beaucoup aimée. Toutefois, l’aboutissement de la relation entre Modou et Toulaye est, selon lui, ‘’à des années-lumière’’ du sien. ‘’Mon histoire m’a servi de fondement, mais le déroulement et l’aboutissement sont tout autre. Donc, ce roman n’est pas une autobiographie. Dans le livre, il y a au moins sept histoires qui sont racontées. Toutefois, le résumé ne permet pas de comprendre le livre. Tant qu’on ne lit pas jusqu’à la dernière page, notamment la lettre, on ne peut pas le comprendre. Je l’ai fait exprès. Il y a beaucoup de suspens’’, relève-t-il. Une autre particularité a été aussi relevée dans l’ouvrage, par les lecteurs : c’est l’absence de noms de famille pour les personnages, sauf pour Albert Abdoulaye Sène. ‘’C’est un nom de famille purement sérère et le personnage habite au cœur du Sine. J’ai voulu donner un nom de famille à Zahra, mais j’ai laissé tomber. Parce que je l’ai décrite dans le livre avec un sujet qui est un peu tabou dans notre société’’, fait savoir l’auteur. Il convient de noter que l’amour entre Modou et Zahra, l’élève qui a su conquérir son cœur, n’a pas pu aboutir, malgré le souhait du personnage principal, son admiration et la sincérité de son amour. ‘’En classe, Zahra avait le pouvoir de toujours forcer Modou à détourner son regard pour feindre de ne pas la regarder. (…) Juste après l’accord de Zahra, il n’attendait que le feu vert de Galo pour que le mariage se fasse dans les plus brefs délais. Hélas, il était tenu de patienter, suite à la volonté de Galo de voir sa fille avoir au moins le Bac avant de se marier’’, rapporte l’auteur à la page 158 de son ouvrage. Et pendant que Modou nourrissait son amour pour Zahra, celle-ci, malgré son éducation, les valeurs inculquées par ses parents, s’est détournée du droit chemin et est tombée enceinte d’un autre homme, en dépit du voile qu’elle portait. Ainsi, ‘’un espoir venait de s’envoler, emportant avec lui un amour bâti et entretenu avec tous les sacrifices qu’il avait requis. Son esprit se retourna aussitôt vers Toulaye, celle qu’il n’a jamais cessé d’aimer’’. Amadou Sokhna : ‘’Il faut que l’école continue à éduquer’’ L’éducation a été aussi l’un des thèmes abordés par l’auteur dans son roman ‘’Sous les feux de l’amour’’. A ce propos, Amadou Sokhna, qui est par ailleurs professeur d’anglais, plaide pour que l’école, au-delà d’instruire, participe à l’éducation des enfants. ‘’Il faut que l’école continue à éduquer. L’école n’a pas seulement le droit, mais aussi l’obligation d’instruire, de donner des connaissances, participer à l’éducation des enfants. Cependant, la bonne éducation, la meilleure ne s’acquiert pas à l’école, mais à la maison. C’est aux parents de donner à leurs enfants cette bonne éducation qui leur permettra d’aller à l’assaut du monde et de bien se comporter. Nous sommes tous interpellés, parents comme enseignants, face aux comportements des enfants, actuellement. Nous sommes sur une pente très descendante ; la morale dégringole, les valeurs sont cadavériques et nous sommes tous interpellés. Mettons plus d’efforts sur l’éducation des enfants. Ils sont l’avenir de ce pays et de toute communauté. Nous avons appris récemment des élèves qui, à la fin de leurs compositions, ont déchiré leurs cahiers, leurs bagages, martyrisé leurs professeurs. Ce sont des comportements pas du tout exemplaires’’, préconise-t-il. MARIAMA DIEME
samedi 14 août 2021
vendredi 13 août 2021
jeudi 12 août 2021
Vous tuez la France et votre vaccin, c'est pas un vaccin ! ParaFox Tv38 11 août 2021 🔻 En visite à Carcassonne, le premier ministre Jean Castex a été vivement interpellé par une passante... - Vous tuez la France et votre vaccin, c'est pas un vaccin ! - Vous tuez la France, Monsieur, vous tuez la France ! - Ah mais non Madame, je la sauve - Et les commerçants vous tuez et vous tuez aussi tous les artisans qui sont en train de mourir, voilà ce que vous faites ! - Ah, je ne crois pas Madame... - Et en plus vous paradez alors que tout le monde là, on est traité comme des chiens - C'est pas vrai - Si c'est vrai ! - Je ne parade pas d'abord et je n'ai tué personne - C'est ça oui !... - Au contraire j'essaie de les sauver, on essaie de les sauver - Non - Si madame si si - Je ne pense pas - Et bien je pense que vous vous trompez - Demandez aux restaurateurs ici - Mais j'en viens, je viens d'en voir, vous voulez qu'on aille les revoir ? - Ils sont en train d'essayer de survivre parce que les gens ne peuvent plus aller et venir, on peut quand même manger sur une terrasse sans pour autant infecter qui que ce soit je crois, qu'on soit vacciné ou pas - Mais si - Mais non, mais non - Et de toutes façons, votre vaccin c'est pas un vaccin
mercredi 11 août 2021
mardi 10 août 2021
lundi 9 août 2021
dimanche 8 août 2021
samedi 7 août 2021
Talisman I Surrection Christophe Lesage Après s'être reformé en 2011, Talisman a passé les deux dernières années à faire de la scène à toutes occasion, y compris en guest sur la récente tournée britannique de "The sélectors". Dehvan et Dennison, le Noyau originel, ont également trouvé le temps d'écrire les six nouvelles chansons qui, avec leurs homologues dub, constituent ce nouvel album. Il est difficile d'échapper aux similitudes économiques et politiques entre aujourd'hui et les années quatre-vingt, il n'est donc pas surprenant que toute l'affaire soit en résonance avec des thèmes politique et le son classique du reggae britannique de l'âge d'or. Dehvan et Dennison jouent ensemble depuis 35 ans et la façon dont le son roots leurs vient naturellement fait que leur musique sonne pas comme un pastiche moderne. De même, la conscience sociale qu'ils affichent dans leur écriture a toujours fait partie du son de Talisman. Quand il s'agit d'obtenir le bon son, le choix du producteur, c'est tout. Pour cet album, Talisman a collaboré avec David Hill de Rootikal Productions, un homme qui comprend parfaitement la riche histoire du reggae ainsi que la façon d'obtenir le bon son à partir d'enregistrements modernes. Ensemble, ils ont réalisé l'un des meilleurs albums de reggae roots depuis longtemps. Dés que les premières lignes de "Greetings and Salutations» jaillissent des haut-parleurs et vous enveloppe dans le son intemporel du reggae roots , il est clair que vous êtes conviés à un festin. Des Lyrics Conscious soutenues par de la grande musique, c'est la combinaison gagnante. Avec son appel aux armes: «Levez-vous et aider-vous, cesser d'espérer que les choses changent, levez-vous et aider vous», «Help Yourself» est un appel aux armes dans la pure tradition de l'hymne reggae. Talisman n'a pas abandonné la lutte, ils ont juste été un temps en pause et avec cet album, ils y reviennent avec une attaque frontale. «Hey Yout 'est dédié à la génération suivante, ceux qui ont besoin de reprendre la lutte, en leur rappelant que les générations précédentes ont foulé le même chemin, mais avec de la patience et une attitude positive ils peuvent surmonter la "Babylon Pression" et parvenir à un meilleur avenir pour leur monde. "Season for Freeman" pourrait presque être un bijou perdu des seventies, si son catalogue de martyrs noir n'incluait pas les pertes récentes de Stephen Lawrence, Trayvon Martin et Smiley Culture. L'album prend une direction presque Nyahbinghi avec "Praise Jah ", une piste optimiste et joyeuse qui sonne presque comme un hymne et donne envie de chanter avec eux. «Things Ah Get Tough" a une touche limite 60's, renforcé par la répétition des paroles« rougher than rough, tougher than tough » qui rappellent fortement les airs classiques de l'époque rude boy. Même s'ils ont habilement donné un clin d'œil au passé, les paroles sont tout aussi pertinentes aujourd'hui où la situation économique est tout aussi pourrie pour le chanteur d'aujourd'hui que pour le Rude Boy d'hier. Chaque piste est livré avec sa version dub correspondant, habilement mixé par David Hill pour Rootikal Productions et dub dans le meilleur sens du terme, où chaque version s'affiche comme entièrement pensé plutôt que d'être un simple remplissage. Cet album reprend les meilleurs aspects du patrimoine et les façonne dans un album qui traite avec les réalités 2013 du reggae. Le Roots reggae est de retour et la reprise commence ici!
vendredi 6 août 2021
jeudi 5 août 2021
mercredi 4 août 2021
mardi 3 août 2021
lundi 2 août 2021
dimanche 1 août 2021
Poème de Victor Hugo faisant éloge au prophète Mohamed (SAW) Tahar Takhel72 164 vues14 juin 2015 Un poème de Victor Hugo sur le Prophète L'AN NEUF DE L'HEGIRE Victor Hugo, le 15 janvier 1858 Comme s'il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu'il était chamelier. Il semblait avoir vu l'Éden, l'âge d'amour,,,,,
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