Khabane Thiam : l’icône du jazz à Saint-louis
Mercredi 15 Juin 2011 - 13:47
ndarinfo.com
Son histoire avec le jazz remonte à très longtemps et khabane actuel membre du
quartet Ndar afro jazz se souvient de l’environnement dans lequel il a baigné à
son jeune âge. ‘’Jadis a toujours été une ville fortement imprégnée de jazz et
nous voyions nos ainés jouer des instruments comme la contrebasse qu’on ne voit
plus d’ailleurs dans cette ville’’, rappelle Khabane qui a commencé très tôt à
taquiner le piano.
Le jazz a été fortement porté à Saint-Louis par des grands comme Amsata Niang, se souvient Khabane qui a grandi sous l’aile protectrice de ces précurseurs du jazz. C’est tout naturellement donc qu’il s’initia à cet art.
‘’J’ai commencé la musique très jeune et je partageais mon premier orchestre avec Kabou Gueye qui a joué après avec Youssou Ndour et qui est maintenant dans la production’’, avoue Khabane.
Aujourd’hui, il est dans un orchestre qui ne fait que du jazz. Ndar afro jazz soutenu par un mécène, le groupe est composé de Fadel Carvalho (Basse) Claude Guillabert (Guitare), jean Pierre Dampagny (batteur) et lui-même Khabane au piano.
Khabane a fait une formation à l’Ecole normale où il est sorti major avant d’être envoyé au Conservatoire de Versailles dans le cadre de la formation pour la relève de l’assistance technique. ‘’Malheureusement à mon retour je peinais à intégrer les structures étatiques et je suis rentré à Dakar pour faire ce que je sais faire le plus jouer du jazz’’, dit-il aujourd’hui. En fait, il se désole d’avoir eu des diplômes qui faisaient peur en cette période, dit-il un brin taquin se demandant même pourquoi avoir pris la décision de rentrer. Mais cela est du passé et notre virtuose s’épanouit parfaitement à Saint-Louis.
Entre temps il a bourlingué un peu partout au Maroc où il s’est marié. Khabane intervient aussi à l’école française comme professeur de musique.
Le jazz a été fortement porté à Saint-Louis par des grands comme Amsata Niang, se souvient Khabane qui a grandi sous l’aile protectrice de ces précurseurs du jazz. C’est tout naturellement donc qu’il s’initia à cet art.
‘’J’ai commencé la musique très jeune et je partageais mon premier orchestre avec Kabou Gueye qui a joué après avec Youssou Ndour et qui est maintenant dans la production’’, avoue Khabane.
Aujourd’hui, il est dans un orchestre qui ne fait que du jazz. Ndar afro jazz soutenu par un mécène, le groupe est composé de Fadel Carvalho (Basse) Claude Guillabert (Guitare), jean Pierre Dampagny (batteur) et lui-même Khabane au piano.
Khabane a fait une formation à l’Ecole normale où il est sorti major avant d’être envoyé au Conservatoire de Versailles dans le cadre de la formation pour la relève de l’assistance technique. ‘’Malheureusement à mon retour je peinais à intégrer les structures étatiques et je suis rentré à Dakar pour faire ce que je sais faire le plus jouer du jazz’’, dit-il aujourd’hui. En fait, il se désole d’avoir eu des diplômes qui faisaient peur en cette période, dit-il un brin taquin se demandant même pourquoi avoir pris la décision de rentrer. Mais cela est du passé et notre virtuose s’épanouit parfaitement à Saint-Louis.
Entre temps il a bourlingué un peu partout au Maroc où il s’est marié. Khabane intervient aussi à l’école française comme professeur de musique.
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