LA MER DÉCHAÎNÉE FAIT TOMBER LE MUR DE PROTECTION ET PLUS D'UNE
CINQUANTAINE DE MAISONS DANS LA LANGUE DE BARBARIE
dakaractu
C'est la colère et la désolation dans les quartiers
pêcheurs de la langue de barbarie. Plus de 100 familles sont présentement dans
la rue ou ont trouvé refuge dans des écoles.
Les vagues déchaînées ont envahi la cote durant toute la journée de ce vendredi avant de s'acharner sur le mur de protection pour le faire tomber ainsi que plusieurs maisons et autres abris situés sur la berge. De Gokhoumbathie à Guet Ndar en passant par les quartiers Santhiaba et Sindoné jusqu'à l'hydrobase, les populations pêcheurs sont dans le désarroi et redoutent le pire avec cette mer déchaînée qui continue de dicter sa loi dans toute la langue de barbarie .
Les sinistrés indexent les autorités gouvernementales qui, selon eux, sont responsables de cette situation pour avoir tardé à démarrer les travaux d’endiguement et de renforcement du mur de protection et beaucoup d’autres chantiers comme elles l’avaient promis depuis plusieurs mois. Pour le moment, c’est la tristesse et la désolation pour ces nombreuses familles sinistrées dont beaucoup sont présentement sans logis et sont obligées de se réfugier dans des écoles ou tout simplement dormir à la belle étoile en attendant que des solutions soient apportées par rapport à leur situation.
Les vagues déchaînées ont envahi la cote durant toute la journée de ce vendredi avant de s'acharner sur le mur de protection pour le faire tomber ainsi que plusieurs maisons et autres abris situés sur la berge. De Gokhoumbathie à Guet Ndar en passant par les quartiers Santhiaba et Sindoné jusqu'à l'hydrobase, les populations pêcheurs sont dans le désarroi et redoutent le pire avec cette mer déchaînée qui continue de dicter sa loi dans toute la langue de barbarie .
Les sinistrés indexent les autorités gouvernementales qui, selon eux, sont responsables de cette situation pour avoir tardé à démarrer les travaux d’endiguement et de renforcement du mur de protection et beaucoup d’autres chantiers comme elles l’avaient promis depuis plusieurs mois. Pour le moment, c’est la tristesse et la désolation pour ces nombreuses familles sinistrées dont beaucoup sont présentement sans logis et sont obligées de se réfugier dans des écoles ou tout simplement dormir à la belle étoile en attendant que des solutions soient apportées par rapport à leur situation.
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