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jeudi 17 octobre 2024

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bulletin meteo francais du jeudi 17 octobre 2024

Urgent/Port de Dakar : Naufr@ge d’un bateau avec deux mécaniciens et un ...

Kepar Gui du Jeudi 17 Octobre 2024 Sur Walf Fm 99.0

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DEM DIKK ROUVRE SON TRAFIC INTERNATIONAL AVEC LA LIGNE DAKAR-BANJUL

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«Macky Sall a commis une grave erreur en dévoilant la localisation de no...

Esclavage : les bustes d’anciens captifs africains retrouvent leur ident...

Kepar Gui du Mercredi 16 Octobre 2024 Sur Walf Fm 99.0

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Aicha Camara Appelle en direct Et Balance sur Marieme Faye " Macky Moma ...

Film de lancement du projet référentiel du Sénégal 2050🇸🇳

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Kepar Gui du Lundi 15 Octobre 2024 Sur Walf Fm 99.0

La chanson de Babaa Maal fait vibrer la salle devant le Pr Diomaye et Sonko

Revue de presse Ahmed Aïdara du Mardi 15 Octobre 2024

POINT DE CHUTE (JOHNNY HALLYDAY) | Film complet en Français HD | DRAME

samedi 12 octobre 2024

LYRICS kuy laal mademba FATOU KASSÉ

Le Point ; Sénégal : le gouvernement lève l’interdiction des signes religieux dans les écoles Article de Clémence Cluzel

le gouvernement lève l’interdiction des signes religieux dans les écoles © Leo Correa/AP/SIPA Ce lundi 7 octobre, les sonneries des établissements scolaires mettaient fin aux grandes vacances des écoliers sénégalais, qui effectuaient ainsi leur rentrée pour l'année scolaire 2024-2025. Alors qu'un climat tendu flotte dans l'air depuis fin juillet à la suite d'un vif débat sur le port du voile dans les structures scolaires privées, le ministre de l'Éducation nationale, Moustapha Guirassy, profitait de sa tournée de supervision pour tenter de rassurer. De passage au collège de la Cathédrale, un établissement scolaire catholique privé, le ministre est revenu sur l'adoption la veille d'un arrêté afin d'« harmoniser les règlements intérieurs de toutes les écoles du Sénégal » pour respecter les croyances religieuses et maintenir le vivre-ensemble. « Ce n'est pas un arrêté pour créer des problèmes », a-t-il insisté, avant de préciser que celui-ci devait au contraire « anticiper, prévenir, asseoir et garantir la cohésion que nous avons ». Daté du 6 octobre et rendu public trois jours plus tard, l'arrêté bannit l'interdiction du port de signes religieux, comme le voile, la croix ou les perles sacrées, dans l'enceinte des établissements scolaires, publics et privés, à condition que cela ne nuise pas à l'identification de l'élève. Cette nouvelle réglementation avait été réclamée par le Premier ministre Ousmane Sonko, lors d'une réunion interministérielle du 19 septembre. Polémique récurrente Assistant à la remise de prix des meilleurs élèves du Sénégal le 30 juillet dernier, Ousmane Sonko est interrogé par une lauréate voilée sur le port du foulard islamique. « Certaines choses ne peuvent plus être tolérées dans ce pays. Nous ne permettrons plus à certaines écoles d'interdire le port du voile », déclare alors le Premier ministre, réclamant également aux écoles françaises privées de ne pas interdire leur accès aux filles voilées afin que tous les élèves puissent bénéficier des mêmes droits. Des propos qui ont aussitôt relancé le débat sur cette question loin d'être nouvelle. « La controverse actuelle rappelle d'autres cas depuis les années 1990 », note Abdoulaye Sounaye, enseignant-chercheur, spécialiste des religions, États et sociétés pour l'Afrique de l'Ouest, citant le dernier cas en date en 2019 où une vingtaine de filles voilées n'avaient pas été acceptées par l'Institut Jeanne-d'Arc à Dakar. Hormis de rares situations, c'est plutôt l'indulgence et la tolérance sur le port du voile qui priment dans les écoles catholiques sénégalaises. « Les interdictions du port de signes religieux ne sont pas inscrites dans les règlements intérieurs de ces établissements. Mais, dans la pratique et la réalité, certaines écoles peuvent se retrouver gênées par la présence de symboles religieux », commente le spécialiste. Au-delà du voile, ces établissements pointent surtout des comportements qui contreviendraient à la cohésion et à l'harmonie dans leur enceinte. « Certaines écoles catholiques ont pointé le voile comme un révélateur du comportement sectaire de certains élèves en disant qu'ils ont aussi des comportements problématiques, comme ne pas partager les mêmes bancs que les élèves de l'autre sexe », développe Cheikh Gueye, secrétaire général du Cadre unitaire de l'islam. Ainsi, pour s'en prémunir, l'arrêté précise que la nouvelle réglementation « ne soustrait pas l'élève à participer aux activités pédagogiques et sportives » et insiste sur la mixité et le respect du vivre-ensemble. Indignation des catholiques Les propos d'Ousmane Sonko n'ont pas manqué de faire polémique, particulièrement auprès des catholiques, qui représentent une minorité (moins de 5 % de la population) mais une communauté très active dans le pays. Les établissements catholiques, environ 190 sur le territoire sénégalais allant du périscolaire au post-bac, sont largement fréquentés par des élèves musulmans car très réputés pour leur excellence. Le président lui-même, Bassirou Diomaye Faye, a fréquenté l'un de ces établissements lors de son cursus scolaire. Seuls 28 % des élèves inscrits seraient catholiques. Dans un communiqué daté du 4 août, le Conseil national du laïcat (CNL), qui rassemble des associations et mouvements catholiques du Sénégal, se disait « indigné » par des « déclarations maladroites » de « nature à heurter la sensibilité des Sénégalais, légitimement interpellés par les menaces proférées contre les établissements privés catholiques ». Dans une lettre au ton courroucé, l'abbé Latyr Ndiaye évoquait même des « menaces » et parlait d'une « déclaration de guerre » du Premier ministre. Face au tollé provoqué, le ministre de l'Éducation tente alors d'éteindre l'incendie, pointant le fait que « Sonko avait été mal compris » et qu'il insistait avant tout sur « l'inclusion scolaire ». Mais le feu repart de plus belle avec la réunion interministérielle du 19 septembre lors de laquelle Ousmane Sonko remet sur la table le règlement de certaines écoles privées, qu'il considère comme « étrangères », et réclame au ministre de l'Éducation nationale un arrêté pour régler définitivement la question. Si, pour Cheikh Gueye, seules les « écoles étrangères, et spécifiquement celles françaises, et non pas les écoles catholiques », sont visées, la perception du CNL est tout autre. L'organisme déplore « la persistance dans l'erreur du chef du gouvernement de considérer les écoles privées catholiques comme des écoles étrangères » et son « acharnement à stigmatiser » son enseignement, écrit son président, Philippe Abraham Birane Tine, dans une note du 21 septembre. « L'Église est républicaine et fonde son action sur la Constitution », répond-il, précisant que les « chrétiens du Sénégal ne sauraient être considérés comme des citoyens de seconde zone ». « Cela peut être une forme d'expression de l'anti-occidentalisme de certains milieux musulmans, surtout au niveau d'une élite. C'est une critique de certaines valeurs qui sont généralement dites occidentales et qui sont aussi parfois très rapidement associées au christianisme », analyse Abdoulaye Sounaye. Pour M. Gueye, spécialiste de l'islam, la prise de parole du Premier ministre avait pour but de « demander qu'on respecte nos spécificités culturelles et religieuses. Mais certains l'ont surinterprétée comme une critique ou une attaque des chrétiens », dit-il, ajoutant : « Il faut absolument éviter d'importer des problématiques françaises dans notre pays. Ce qui est un peu le cas dans cette polémique. » Modèle de coexistence et laïcité sénégalaise Le nouvel arrêté est voulu aussi comme « un rappel sur l'importance du renforcement de la cohésion nationale et de l'acceptation des différences », a souligné le ministre de l'Éducation dans un quotidien sénégalais. Car ces incompréhensions chahutent l'harmonie entre religions si chère aux Sénégalais. Le Sénégal, réputé pour sa coexistence des communautés religieuses, est un modèle de stabilité reposant notamment sur une laïcité bien particulière dans un pays particulièrement religieux (95 % de musulmans). Loin du modèle français, la religion est partie intégrante de la société sénégalaise mais aussi de la politique et joue un rôle majeur, notamment par la voie des confréries musulmanes mais aussi de l'Église catholique, en cas de crise. « Aucun pouvoir au Sénégal ne peut véritablement fonctionner et préserver la cohésion sociale sans s'appuyer sur ce ressort religieux, qui est aussi un ressort de socialisation, un lieu de préservation de la morale et du vivre-ensemble. Même si on dit que notre République est laïque, la pratique de cette République est très corrélée à une interaction entre la sphère religieuse et la sphère étatique », appuie Cheikh Gueye. Tous les régimes politiques successifs ont redéfini, ajusté et pratiqué cette laïcité avec, à chaque fois, « une recherche d'équilibre entre le temporel et le religieux », rappelle M. Sounaye. Le secrétaire général du Cadre de l'islam plaide pour la prévention et l'action en amont, plutôt qu'une gestion de crise. Le Cadre unitaire de l'islam réfléchit ainsi à l'organisation annuelle d'une semaine du vivre-ensemble afin de « rappeler les fondements de ce vivre-ensemble et éviter d'autres crises ». Souveraineté et agenda politique Si la polémique sur le port du voile a refait surface dernièrement, c'est aussi en raison d'un contexte particulier, celui de l'arrivée au pouvoir du président Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre, Ousmane Sonko, qui portent un nouveau programme politique basé sur la souveraineté. « L'arrivée au pouvoir de Diomaye a été favorisée par un certain discours qu'on pourrait appeler révolutionnaire, populiste, mais, derrière tout cela, il y a aussi un agenda qui soutient une forme de religiosité particulière avec une certaine idée aussi de la défense de l'islam », avance Abdoulaye Sounaye, qui doute que le précédent régime aurait investi la question du port du voile de cette façon. « Il voudrait affirmer, revendiquer le droit de ne pas être contraint dans sa pratique de la religion. C'est cette intention que je lisais dans la prise de position de Sonko. C'est un clin d'?il à une forme de religiosité qui se sent parfois dominée ou, en tout cas, pas suffisamment reconnue. Pour Sonko, c'est contradictoire, dans un contexte majoritairement musulman, que les musulmans soient confrontés à des restrictions de ce genre. Cette génération a une idée pro-islamique de la laïcité », décortique l'enseignant-chercheur. Cette évolution est aussi encouragée par l'évolution des familles confrériques et l'émergence de nouveaux courants islamiques qui, bien que minoritaires, ont acquis un poids important. Politiquement, la religion est plus que jamais devenue un outil influent mais s'avère être à double tranchant tant cet aspect est émotionnel et sensible. Le terrain est glissant et le risque d'opposition des groupes religieux peut vite être source de conflits. « On essaie de vendre ce modèle sénégalais de vivre-ensemble dans la sous-région, mais encore faudrait-il qu'on soit en mesure de le maintenir et qu'il soit encore un modèle viable », tacle-t-il. Il y a peu, le président sénégalais a annoncé la création dès 2025 d'un ministère du Culte chargé des affaires religieuses, une première au Sénégal. « Si les conditions d'inclusion de toutes les religions, y compris celles traditionnelles, sont respectées, cela peut créer un modèle sénégalais qui s'inspire de nos valeurs fondamentales. Sinon, il s'agira uniquement d'un effet d'annonce qui répond à l'agenda de politiciens », avertit Philippe Abraham Birane Tine. Compte tenu d'un contexte sous-régional en crise avec la présence d'un djihadisme menaçant et violent, Abdoulaye Sounaye voit dans cette nouvelle institution un possible moyen de « contrer ou, en tout cas, éviter les évolutions que l'on observe au Mali, au Niger, au Burkina ou même au Nigeria ». « Aucun de ces pays de la sous-région, en particulier là où on a une majorité musulmane, n'est à l'abri de ce type d'évolution. Ce ministère peut permettre de créer ou de réfléchir, en tout cas, à un nouveau mode de gestion de la religion ou des divergences religieuses qui, très souvent, ont constitué plus un problème qu'une opportunité. Je pense que, ne serait-ce que pour cadrer ce dialogue interreligieux et en tirer profit du point de vue de la stabilité politique, un ministère de Culte pourrait être utile », soutient-il.

11th Oct 2024 Madeenah Jumu'ah Salaah Sheikh Budayr

Revue de presse Ahmed Aïdara du Samedi 12 Octobre 2024

mercredi 9 octobre 2024

Crusoe | English Full Movie | Adventure Drama

Kepar Gui du Mercredi 09 Octobre 2024 Sur Walf Fm 99.0

Conseil des ministres du 09 octobre 2024 Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 09 octobre 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République, s’est réjoui de la bonne tenue de la 5ème édition de la journée citoyenne « Setal sunu réew » dédiée à l’Ecole. Il a particulièrement félicité les populations du département de Mbour, les autorités administratives, les élus locaux et la communauté éducative pour l’accueil chaleureux dont il a fait l’objet et salué la mobilisation exceptionnelle notée lors de cette journée dont le point d’orgue fut le Lycée Demba DIOP. Il a également félicité le Ministre de l’Education nationale, les responsables de l’Académie, le Proviseur du lycée, le corps enseignant et les élèves de cet établissement scolaire de référence. Pour clore ce chapitre, il a relevé l’engagement permanent du Gouvernement à améliorer durablement le cadre de vie dans nos écoles, collèges et lycées en vue de contribuer aux conditions de réussite des élèves. S’interrogeant sur l’efficacité du dispositif public de solidarité nationale, le Chef de l’Etat a indiqué au Gouvernement l’urgence de refonder la politique de solidarité nationale et de protection sociale par un meilleur ciblage et une mutualisation des interventions publiques auprès des couches les plus pauvres et les plus vulnérables de notre société. Il a insisté sur l’impérieuse nécessité d’actualiser et d’élargir à de nouveaux bénéficiaires les programmes des bourses de sécurité familiale, de cartes d’égalité des chances, de couverture sanitaire universelle et de transferts sociaux en général. Ce qui devra assurer, à court terme, une convergence des objectifs et une optimisation soutenue des ressources globalement destinées à la protection sociale. Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, demandé au Ministre du Travail de veiller à l’évaluation prospective des politiques et programmes sectoriels de protection sociale conformément aux normes internationales. A ce titre, il a rappelé l’importance de l’actualisation régulière du Registre national unique (RNU), de la revue de l’application de la loi d’orientation sociale n° 2010 - 15 du 6 juillet 2010 relative à la promotion et à la protection des droits des personnes handicapées ainsi que la finalisation prochaine du Code unique de Sécurité sociale devant faciliter la mutualisation des activités de la Caisse de Sécurité sociale et de l’Institut de Prévoyance Retraite du Sénégal (IPRES). A ce sujet, il a souligné la nécessité, pour le Gouvernement, d’engager une réflexion stratégique sur la gestion des retraites au Sénégal. Abordant la question de la nouvelle politique de gestion et d’accompagnement des Sénégalais de l’extérieur, le Chef de l’Etat a indiqué que leur situation quotidienne doit rester une préoccupation majeure du Gouvernement à travers notamment une mobilisation plus soutenue de nos missions diplomatiques et consulaires. Il a demandé au Gouvernement de veiller à l’accélération des procédures pour l’obtention des documents administratifs de base, les passeports et les cartes nationales d’identité en particulier. Il a également exhorté le Gouvernement à faire le suivi de la situation des étudiants sénégalais à l’étranger et le recensement systématique des compétences nationales vivant et servant à l’extérieur du Sénégal. Il a indiqué, en outre, la nécessité de mettre en place un nouveau dispositif d’assistance au retour et à la réinstallation des Sénégalais de l’extérieur. Evoquant l’importance stratégique de l’Elevage dans notre politique de souveraineté alimentaire, le Président de la République a demandé au Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage et au Secrétaire d’Etat en charge des Organisations paysannes de finaliser, avec les acteurs des filières, l’évaluation consensuelle des programmes, projets et conventions de concession en matière d’élevage et de production animale. Il a souligné la nécessité, comme indiqué dans le PROJET, d’assurer, à moyen terme, la couverture des besoins du Sénégal en produits d’élevage et de limiter, à terme, les importations qui pèsent lourdement sur la balance commerciale de notre pays. Dans sa communication, le Premier Ministre a rappelé la haute priorité accordée par Monsieur le Président de la République à l’évaluation périodique de l’action gouvernementale. À cet égard, il a demandé aux Ministres d’élaborer l’état de mise en œuvre, à fin septembre 2024, des plans d’action prioritaires de leurs départements ministériels respectifs. L’accent devra être mis sur la différenciation imprimée à l’approche gouvernementale des politiques publiques, comparativement aux précédentes. Il conviendra, dans ce cadre, de présenter de manière factuelle et documentée, les résultats satisfaisants obtenus, en si peu de temps, dans différents domaines. Dans ce sillage, le Premier Ministre a demandé aux Ministres et Secrétaires d’Etat de veiller à l’exécution satisfaisante du programme de travail du quatrième trimestre 2024 de leurs départements ministériels respectifs. Il s’agira d’assurer la prise en charge, dans les délais requis, des questions cruciales récurrentes, notamment la campagne de commercialisation agricole, la surveillance des engagements contractuels à échéance de fin d’année ainsi que le suivi rapproché des programmes et projets. De manière plus spécifique, une attention particulière devra être accordée à la célébration du 80ème anniversaire du massacre de « Thiaroye 44 » ainsi qu’à la finalisation de certains travaux d’audit et du chantier du Port de Sendou. Il en est de même du contrôle du respect scrupuleux de l’interdiction de l’exploitation aurifère le long de la Falémé, de la poursuite de l’accompagnement du retour des déplacés de Casamance, du suivi de l’application des mesures de baisse des prix des denrées de consommation courante, ainsi que de l’organisation de la prochaine Biennale des Arts de Dakar. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a fait une communication sur la situation hebdomadaire de la gestion des inondations. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES, Le Conseil a examiné et adopté : Le Projet de décret portant application de certaines dispositions de la loi n°2023-15 du 2 août 2023 portant Code de l’Environnement. AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES, Le Président de la République a pris les décisions suivantes : Au titre du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique : Madame Seynabou GUEYE, Administrateur civil, matricule de solde n°608 876/G, est nommé Inspecteur de l’Administration centrale et territoriale du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, en remplacement de Madame Ramatoulaye DIENG appelée à d’autres fonctions ; Monsieur Sékou Vieux DIATTA, Instituteur, matricule de solde n°630 591/F, précédemment Adjoint au Sous-Préfet de l’Arrondissement de Taïf, Département de Mbacké, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Guédiawaye, poste vacant ; Monsieur Abdou Khadre DIALLO, Instituteur, matricule de solde n°675 797/A, précédemment Adjoint au Sous-Préfet de l’Arrondissement de Thillé Boubacar, Département de Podor, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Malem Hodar, poste vacant ; Monsieur Anaby Moussa TOURE, Instituteur, matricule de solde n°612 954/A, précédemment Adjoint au Sous-Préfet de l’Arrondissement de Loudia Ouolof, Département d’Oussouye, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Bounkiling, poste vacant ; Monsieur Ngor POUYE, Instituteur, matricule de solde n°517 772/I, précédemment Adjoint au Sous-Préfet de l’Arrondissement de Ndorna, Département de Médina Yoro Foulah, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Bakel, poste vacant ; Monsieur Ousmane SANE, Secrétaire d’Administration, matricule de solde n°519 212/J, précédemment Sous-Préfet de l’Arrondissement de Simbandi Brassou, Département de Goudomp, est nommé Sous-Préfet de l’Arrondissement de Sagatta Djoloff, Département de Linguère, poste vacant ; Monsieur Jean Paul Sylvain DIATTA, Secrétaire d’Administration, matricule de solde n°661 427/H, précédemment Adjoint au Préfet du Département de Bakel, est nommé Sous-Préfet de l’Arrondissement de Simbandi Brassou, Département de Goudomp, en remplacement de Monsieur Ousmane SANE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Ibrahima NDIAYE, Secrétaire d’Administration, matricule de solde n°517 694/J, précédemment en service à la Direction générale de l’Administration territoriale, est nommé Sous-Préfet de l’Arrondissement de Ouadiour, Département de Gossas, en remplacement de Monsieur Ibrahima NDAO, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. Au titre Ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères Monsieur Mamadou GAYE, Général de division (2s), titulaire d’un Master en sciences militaires, est nommé Délégué général au pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam, en remplacement de Monsieur Boubacar SARR ; Monsieur Assane NDIAYE, précédemment Premier Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à RYAD et à la Représentation permanente du Sénégal auprès de l’Organisation de la Conférence islamique, est nommé Premier Délégué général adjoint au pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam, en remplacement de Monsieur Khadim SYLLA ; Monsieur Mohamed Mansour NDIAYE, titulaire d’un Master 2 en traduction et interprétation de conférence, est nommé Délégué général adjoint au pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam, en remplacement de Monsieur Ousmane NDOYE ; Au titre du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique Monsieur Habibou DIA, titulaire d’un Master 2 en Journalisme et Communication, est nommé Directeur de la communication au Ministère de la Communication, des télécommunications et du Numérique, en remplacement de Monsieur Ousseynou DIENG ; Monsieur Serigne Abdoul Ahad NDIAYE, Ingénieur en informatique et industriel, est nommé Président du Comité directeur du Fonds de Développement du Service universel (FDSUT), en remplacement de Monsieur Aly Coto NDIAYE ; Monsieur Mamadou Lamine SENE, Ingénieur en électronique et technologies numériques, est nommé membre du comité directeur du Fonds de développement du service universel (FDSUT), en remplacement de Monsieur Cheikh MBACKE ; Madame Ndeye Seynabou SY, titulaire d’un Master 2 en business and corporate law, est nommée Membre du Comité directeur du Fonds de Développement du Service universel (FDSUT), en remplacement de Mme Sophie NDIAYE ; Madame Sira Niang SY, titulaire d’un Master 2 en management et négociation, est nommé membre du comité directeur du Fonds de développement du service universel (FDSUT), en remplacement de Monsieur Abdoulaye NGOM ; Monsieur Souleymane NDIAYE, titulaire d’un Master 2 en informatique et réseau est nommé Membre du Comité directeur du Fonds de développement du Service universel (FDSUT), en remplacement de Monsieur Mamadou Yaya BA ; Monsieur Amadou Moctar NDIAYE, Ingénieur des télécommunications, est nommé Membre du comité Directeur du Fonds de développement du Service universel (FDSUT), en remplacement de Monsieur Mamadou Al Hadji LY. Au titre du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage : Monsieur Aboubakar Sidy SONKO, Ingénieur informaticien, Expert en Agritech, est nommé Directeur général de la Société de Développement agricole et industriel du Sénégal (SODAGRI), en remplacement de Monsieur Alpha Bocar BALDE ; Monsieur Fafa SOW, titulaire d’un Doctorat en sciences vétérinaires, est nommé Directeur des Industries animales au Ministère de l’Agriculture de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage, en remplacement de Madame Fat Cheikh NDIONE. Au titre du Ministère de la Formation professionnelle : Docteur Mamadou KANE matricule de solde 625481/L, précédemment Chef de Division du budget et de la comptabilité au Ministère de la Formation professionnelle, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Équipement, en remplacement d’Amadou Diallo, appelé à d’autres fonctions ; Madame Mame Diarra DIOP, Inspecteur de Spécialité de classe exceptionnelle, matricule de solde n° 514396/H, précédemment Directeur du Service national d’orientation professionnelle, est nommée Directeur général de la Formation professionnelle et technique en remplacement de Madame Maïmouna Kanté, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur El hadji Mamadou GNINGUE, Psychologue conseiller de 4ère classe – 1ème échelon, matricule de solde n° 714148/E, précédemment Chef de bureau SuiviEvaluation, est nommé Directeur de la Planification et du suivi-évaluation, en remplacement de Monsieur Cheikh Ahmadou Abdoul GUEYE, appelé à d’autres fonctions ; Madame Aminata NDOYE, Psychologue conseiller de 2ère classe – 2ème échelon, matricule de solde n° 632978/E, précédemment Chef du bureau du suivi au secrétariat général du ministère de la Formation Professionnelle, est nommée Directeur de l’Insertion, en remplacement de Monsieur Abdourahmane LY, appelé à d’autres fonctions. Au titre Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique : Monsieur Abdou DIONGUE, Conservateur des Parcs nationaux, matricule de solde n° 613 282 /L est nommé Inspecteur technique au Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique en remplacement de Madame Ndèye SENE ; Lieutenant-Colonel Assane NDOYE, Conservateur des Parcs nationaux, matricule de solde n°510 886/B est nommé Inspecteur technique au Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique. Au titre du Ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche et de l’Innovation : Monsieur Abdoul Aziz DIOUF, Professeur titulaire en droit privé, est nommé Directeur général de l’Enseignement supérieur, en remplacement de Monsieur Amadou Abdoul SOW, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur Hamidou DATT, Professeur titulaire de mathématiques, est nommé Directeur général de la Recherche et de l’Innovation, en remplacement de Monsieur Amadou Gallo DIOP, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur Pape Abdoulaye DIAW, Maître de conférences titulaire, est nommé Directeur de l’Institut supérieur d’Enseignement professionnel de Richard Toll, en remplacement de Madame Awa Niang, appelée à d’autres fonctions ; Monsieur Alassane DIEDHIOU, Professeur titulaire, matricule de solde 102524/D, précédemment vice-recteur de l’Université Assane Seck de Ziguinchor est nommé Recteur de l’Université Assane Seck de Ziguinchor. Au titre du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires : Monsieur Seydina Alioune NDJIM, titulaire d’un Master professionnel en Management et Administration des entreprises, est nommé Directeur des Paysages urbains et des Espaces publics, en remplacement de Madame Mame Marie Ousmane NDIAYE, appelée à d’autres fonctions ; Madame Aminata WANE, titulaire d’un Master 2 en Urbanisme et Aménagement, est nommée Directeur de la Planification urbaine et de la Réglementation, en remplacement de Monsieur Youssouph MANE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Sécou Oumar DIEDHIOU, titulaire d’un Doctorat en Géographie et d’un Master en Aménagement urbain, est nommé Directeur de la Promotion du Développement des Territoires, en remplacement de Monsieur Mbagnick DIOUF, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Arona BA, titulaire d’un diplôme d’études approfondies (DEA) en Politiques économiques et gestion et Ingénieur en travaux de planification, est nommé Directeur des Collectivités territoriales, en remplacement de Madame Fatoumata Bintou CAMARA, appelée à d’autres fonctions ; Monsieur Momar NDIAYE, Ingénieur en gestion des travaux de développement urbain, est nommé Directeur de l’Aménagement urbain et de la Restructuration, en remplacement de Madame Seynabou Oumy GOUMBALA, appelée à d’autres fonctions. Date de publication 2024-10-09

Revue de presse Ahmed Aïdara du Mercredi 09 Octobre 2024

lundi 7 octobre 2024

Diomaye Faye va lancer "Le Sénégal 2050" Article de Bob Barry Le nouveau président du Sénégal va présenter un plan d'action économique et sociale pour lutter contre la pauvrété© Dylan Martinez/AFP "Le Sénégal 2050", se veut être une feuille de route ambitieuse pour Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko. Elle est articulée autour de plusieurs axes prioritaires dont la souveraineté alimentaire, la transition énergétique, la modernisation du système éducatif et de santé, ainsi que le développement durable. Ces réformes visent non seulement à renforcer la compétitivité du Sénégal sur la scène internationale mais aussi à garantir un bien-être social accru pour l’ensemble de la population. Une nouvelle stratégie qui devra permettre au gouvernement de mobiliser des acteurs du secteur privé et ceux de la société civile afin d’assurer une transformation inclusive et durable de l’économie sénégalaise. Auteur: Bob Barry

Kepar Gui du Lundi 07 2024 Sur walf fm 99.0 avec le retour d'Awa Diop Nd...

Bull meteo wolof du lundi 07 octbr 2024

Revue de presse Ahmed Aïdara du Lundi 07 Octobre 2024

mercredi 2 octobre 2024

Conseil des ministres du 02 octobre 2024 Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 02 octobre 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. Le Président de la République s’est tout d’abord incliné devant la mémoire de Monsieur Amadou Mahtar MBOW, Enseignant hors pair, ancien Ministre de l’Education, de la Culture et de la Jeunesse, ancien Député et ancien Directeur général de l’UNESCO. Il a salué le parcours exceptionnel de ce grand commis de l’Etat qui a brillamment servi son pays et fortement contribué au développement du système éducatif national, à la promotion du vivre ensemble et au rayonnement international du Sénégal. Dans cet élan, le Chef de l’Etat a demandé aux Ministres en charge de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Culture de préparer un hommage national à cet illustre compatriote dont les écrits et l’engagement patriotique et panafricain doivent être vulgarisés auprès des jeunes générations d’élèves et d’étudiants à travers l’expression culturelle et les contenus d’enseignement. A l’occasion de la célébration « d’octobre rose », le Président de la République a exprimé sa compassion à l’endroit des femmes atteintes de cancer. Il a demandé au Ministre de la Santé et de l’Action sociale d’apporter son soutien aux différentes organisations et de participer activement à la réussite des actions entreprises durant ce mois. En cette veille de rentrée scolaire et universitaire, le Président de la République a adressé un message d’encouragement et ses meilleurs vœux de succès à toute la communauté éducative, en particulier au corps enseignant et aux apprenants. Il a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires, en relation avec les parties prenantes, pour, d’une part, accélérer la transformation consensuelle du système éducatif national et, d’autre part, garantir le bon déroulement de l’année scolaire et universitaire 2024-2025. Il a souligné la nécessité de veiller au renforcement du dialogue social dans le système éducatif mais également à l’amélioration du cadre de vie dans les écoles. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a invité le Gouvernement à procéder au lancement, sans délai, d’un vaste programme de résorption des abris provisoires, de réhabilitation et de construction aux normes d’établissements scolaires. Il a, en outre, indiqué l’impératif de finaliser le nouveau Programme national de l’Education et de la Formation en adéquation avec les valeurs historiques et culturelles de la Nation. Ce programme doit également tenir compte des défis de notre société et des enjeux liés au numérique et à l’Intelligence artificielle. Au regard de la jeunesse de notre population, le Président de la République a insisté sur l’urgence de rebâtir notre modèle d’école publique autour du civisme, de la citoyenneté, de nos langues nationales et de l’ouverture aux langues étrangères universelles mais également à la préparation aux aptitudes scientifiques, techniques, technologiques et professionnelles de nos élèves face aux évolutions du monde contemporain. Le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre et les Ministres concernés pour les efforts significatifs consentis pour redresser et réorienter le système éducatif national par la méthode, dans le consensus, la culture du résultat et la confiance des partenaires sociaux. Afin d’assurer un meilleur pilotage et une coordination optimale des activités scolaires et universitaires, le Président de la République a décidé de la création d’un Conseil supérieur de l’Education et de la Formation, organe de supervision logé à la Primature qui va assurer, avec la participation des acteurs impliqués, le suivi et l’évaluation systématique du Programme national de l’Education et de la Formation. Revenant sur la situation des finances publiques, le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre et l’ensemble du Gouvernement pour la présentation de l’état des lieux exhaustif des finances publiques. Parlant du lourd héritage du régime précédent, des constats d’écarts remarquables sur les statistiques des finances publiques et de leurs conséquences directes sur la gouvernance publique et les engagements présents et futurs de l’Etat, le Président de la République a invité le Premier Ministre à prendre, sans délai, les mesures impératives de redressement pour accélérer le retour rapide à l’orthodoxie budgétaire, financière et comptable conformément à la Constitution et aux textes législatifs et réglementaires en la matière. Le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre pour le pilotage abouti de la finalisation du nouveau référentiel de politique économique et sociale basé sur le Projet pour un Sénégal souverain, juste et prospère. Il s’est réjoui de la réussite de cet exercice délicat, inclusif et prospectif de refondation endogène de notre modèle de développement fondé sur les principes de patriotisme économique, de progrès social, de responsabilité et de redevabilité. Ce document national de présentation et de planification des axes de notre politique économique et sociale va révéler et refléter les choix stratégiques et opérationnels devant asseoir la transformation systémique du Sénégal. Il a, dans ce sens, informé le Conseil qu’il présidera, le lundi 14 octobre 2024 au CICAD, la cérémonie de présentation et de vulgarisation du Document de Politique nationale de Développement, en présence du Gouvernement, du monde socio-économique et de l’ensemble des partenaires du Sénégal. Evoquant le regain de pluviométrie constaté ces dernières semaines qui a provoqué des sinistres dans plusieurs localités du pays, le Président de la République a demandé au Ministre de l’Agriculture, au Ministre de l’Intérieur en charge de la Protection civile et au Ministre de l’Hydraulique, de faire le point sur les impacts de la pluviométrie et des crues des fleuves Sénégal, Gambie et Casamance sur les zones de cultures et d’habitation. Il a exhorté le Gouvernement à mobiliser les moyens logistiques adéquats en vue de faciliter le désenclavement rapide des localités isolées par l’effondrement d’ouvrages de franchissement causé par les fortes pluies et encouragé la solidarité nationale à l’endroit des populations sinistrées. Le Chef de l’Etat a également demandé au Gouvernement de réviser et de vulgariser le mécanisme d’assurance agricole. Il a, en outre, invité le Ministre de l’Agriculture à rendre compte du dispositif de préparation de la campagne de commercialisation agricole. Le Président de la République est enfin revenu sur sa visite aux Etats Unis d’Amérique, du 21 au 28 septembre 2024, où il a participé au Sommet de l’avenir et au débat de l’Assemblée générale des Nations Unies. Cette mission a été l’occasion d’exprimer à la communauté internationale la volonté du Sénégal d’œuvrer à la promotion de la paix et de la sécurité mondiale et d’impulser une nouvelle dynamique dans ses relations avec ses partenaires. C’est ainsi que les Etats-Unis d’Amérique ont exprimé leur disponibilité à aider le Sénégal pour la réalisation du « New Deal Technologique » faisant ainsi de notre pays un hub technologique et numérique en Afrique. Le Premier Ministre a, d’emblée, adressé à Monsieur le Président de la République, au nom du Gouvernement, ses félicitations pour la pertinence de son message délivré lors de l’Assemblée générale de l’ONU et les retombées positives attendues des audiences accordées à diverses personnalités et des visites effectuées dans certaines structures lors de son séjour aux États-Unis d’Amérique. Abordant les thèmes de sa communication, le Premier Ministre est revenu sur la situation de référence des finances publiques dévoilée lors du point de presse qu’il a tenu le jeudi 26 septembre 2024. Cet exercice illustre la détermination de Monsieur le Président de la République pour la transparence dans la gestion des affaires publiques. Le Premier Ministre s’est appesanti sur la priorité que représente, pour le Gouvernement, le rétablissement, dans des délais raisonnables, d’une saine gestion des finances publiques, au regard de l’étendue des dérives ressorties de l’état des lieux de la gestion du régime sortant. A cet égard, il a demandé au Ministre des Finances et du Budget et au Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, de prendre les dispositions appropriées à cet effet, en relation notamment avec le Fonds monétaire international (FMI). Le Premier Ministre a ensuite informé le Conseil des dispositions prises pour la bonne tenue, le 14 juillet 2024, de la cérémonie présidée par le Chef de l’Etat, consacrée à la publication du nouveau Référentiel des politiques économiques et sociales du Sénégal sur la période 2025-2050. Il a relevé la nécessité, pour les Ministres, chacun en ce qui le concerne, d’assurer le relais par la communication avec les parties intéressées au titre des politiques sectorielles. Enfin, le Premier Ministre a rappelé aux Ministres et Secrétaires d’Etat l’attention toute particulière à accorder au suivi rapproché de l’exécution des diligences relatives notamment à la rentrée des classes 2024-2025, à l’orientation des nouveaux bacheliers, à la lutte contre la migration irrégulière, à la gestion de l’impact sur les populations et les cultures des inondations d’origine pluviométrique ou fluviale, aux mesures préventives contre les accidents de la route ainsi qu’à l’apurement des arriérés de paiement dus aux opérateurs intervenant dans le secteur agricole. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur les principales conclusions du rapport de l’audit des finances publiques sur la période 2019-mars 2024, réalisé par l’Inspection générale des Finances, leur implication sur le cadrage macro-budgétaire et les axes de réforme nécessaires pour prendre en charge les déviations relevées. Cet audit a été effectué à la suite d’un ordre de mission qu’il a signé, adossé à des termes de référence basés sur les orientations qu’il a données à ses services. Les résultats de cet audit ont fait l’objet du point de presse tenu par Monsieur le Premier Ministre le 26 septembre 2024. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES, Le Conseil a examiné et adopté : le projet de décret portant organisation du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens. AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES, Le Président de la République a pris les décisions suivantes : Au titre de la Présidence de la République : Monsieur Mamadou Oumar NDIAYE, Journaliste, est nommé Président du Conseil national de Régulation de l'Audiovisuel, Poste Vacant ; Monsieur Mamadou Lamine DIANTE, est nommé Président du Haut Conseil du Dialogue social en remplacement de Madame Innocence NTAP NDIAYE ; Monsieur Moustapha DJITTE, Magistrat, matricule de solde n°602 388/E est nommé Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Commande publique (ARCOP), en remplacement de Monsieur Saer NIANG. Au titre de la Primature : Monsieur Hatab SANE est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC) Au titre du Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens : Monsieur Souleymane GUEYE, Expert en Transport aérien est nommé Directeur des Transports aériens en remplacement de Monsieur Oumar Xassimou Dia ; Monsieur Badara DIOP, Ingénieur d’exploitation de l’aviation civile est nommé Directeur des Infrastructures aéroportuaires en remplacement de Monsieur Cheikh DIOUF ; Monsieur Mandiaye FAYE, Ingénieur des transports est nommé Directeur de la circulation routière et de la mobilité en remplacement de Monsieur Mouhamadou Moustapha NIANG ; Monsieur Abdoul Siléye Fatah BA, Ingénieur des transports, matricule n°627472/L précédemment Chef de la Division du Centre de Contrôle Technique au Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et Aériens, est nommé Directeur des transports Routiers en remplacement de Monsieur Yaya Samba NIANG ; Monsieur Yancoba Ben Alfousseyni SONKO, Master QHSE est nommé Président du Conseil d’Orientation du Fonds de Développement des Transports terrestres. Au titre du Ministère de l’Industrie et du Commerce : Monsieur Babacar SEMBENE, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est nommé Directeur général de l’Agence de Régulation des Marchés au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Ansoumana SANE ; Madame Françoise FAYE, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise pour la Propriété industrielle et l’Innovation technologique au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Makhtar DIA. Monsieur Ahmed Tidiane DIA, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est nommé Directeur du Commerce extérieur au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Ansou BADJI. Monsieur Henri Fall CARVALHO, Ingénieur en Industries agricoles et alimentaires, matricule de solde n° 618 880/M, est nommé Directeur des Petites et Moyennes Entreprises au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Seydina Aboubacar Sadikh NDIAYE. Monsieur Issa WADE, Commissaire aux Enquêtes économiques, est nommé Directeur général de l’Organe de Régulation du Système de Récépissé d’Entrepôt au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Driss Junior DIALLO. Ali Fourou BA est nommé PCA du CICES Au titre du Ministère du Travail, de l'Emploi et des Relations avec les Institutions : Monsieur Babacar SY, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, est nommé Directeur de l'Emploi au Ministère du Travail, en remplacement de Modou Fall, appelé à d'autres fonctions. Au titre du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public : Monsieur Salif COLY, Professeur de l’Enseignement secondaire, matricule de solde n° 551.277/Z, est nommé Directeur du Centre national de Formation et d’Action, en remplacement de Monsieur Kalidou SOKOMA, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Ibrahima DIENG, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde n° 515.700/B, précédemment Directeur des Ressources humaines au Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération, est nommé Directeur général de la Fonction publique, en remplacement de Monsieur Amadou Matar CISSE, appelé à d’autres fonctions ; Au titre du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat : Monsieur Gora GAYE, titulaire d’un Diplôme d’Etudes approfondies en Géographie, est nommé Secrétaire général de l’Agence pour la Promotion et le Développement de l’Artisanat (APDA), en remplacement de Monsieur Youssoupha BA, appelé à d’autres fonctions. ANSOUMANA SANE, Promoteur touristique est nommé Président du Conseil de surveillance de l'Agence sénégalaise de Promotion touristique Au titre du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique : Monsieur Momar Diongue, Journaliste, titulaire d'une maitrise en Lettres Modernes est nommé Directeur de l'Agence de Presse Sénégalaise, en remplacement de Monsieur Thierno Amadou SY ; Cheikhouna BEYE, Enseignant-chercheur, Maître de Conférences en Sciences de l'Information et de la Communication, est nommé Président du Conseil d'Administration de la RTS. Au titre du Ministère de la Santé : Monsieur SEGA GUEYE, titulaire d'un Doctorat en Sociologie, est nommé Directeur général de l'Agence sénégalaise de la Couverture Maladie universelle en remplacement de Monsieur Cheikh Tacko DIOP. Au titre du Ministère de la Justice : Monsieur Mbossé SOW, Greffier, est nommé PCA de l'Office national de Recouvrement des Avoirs criminels (ONRAC). Au titre du Ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique : Monsieur Abdou Salam KANTE, Conducteur de travaux, retraité des armées, est nommé PCS de l’Agence d’assistance à la sécurité de proximité (ASP) en remplacement de Monsieur Hamidou Mbow ; Monsieur Cheikh NIANG, Magistrat matricule de solde 600 667/A est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique en remplacement de Monsieur Alioune Aïdara NIANG admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. Au titre du Ministère de l'Environnement et de la Transition écologique : Monsieur Sadibou DJIBA, Professeur d'Enseignement secondaire en Sciences naturelles est nommé PCA de l’Agence nationale de la Reforestation et de la Grande muraille verte. Au titre du Ministère de la Pêche et des Infrastructures maritimes et portuaires : Madame Sokhna Benga, Administrateur des Affaires maritimes, matricule de solde n° 618 080/U, est nommée Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Ibrahima CAMARA ; Monsieur Bécaye Diop, titulaire d’un MBA en Management, est nommé Directeur général de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Massamba Achille Edouard GUEYE ; Madame Mbeugué GAYE, Biologiste, est nommée Directeur général de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Massamba Achille Edouard GUEYE ; Monsieur Aliou Ba, Economiste des Ressources naturelles, Expert en Pêche et Aquaculture, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de l’Aquaculture au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Killé SAKHO. Au titre du Ministère des Finances et du Budget : Monsieur Idrissa SAMB, Inspecteur principal des Impôts est nommé Administrateur du Fonds de Garantie Automobile. Date de publication 2024-10-02

Kepar Gui du Mercredi 02 Octobre 2024 Sur Walf Fm 99.0

Revue de presse Ahmed Aïdara du Mercredi 02 Octobre 2024