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jeudi 31 mars 2016

 Conseil des ministres du 30 mars 2016

Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, ce mercredi 30 mars 2016, à 10 heures, au Palais de la République.

Entamant sa communication autour de la célébration, le 4 avril 2016, du cinquante- sixième anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement de veiller à la bonne organisation du grand défilé civil et militaire qui aura lieu sur le Boulevard Général De Gaulle ainsi que des autres manifestations prévues à l’occasion de la Fête nationale de l’Indépendance, sur l’ensemble du territoire national et au niveau de nos missions diplomatiques et consulaires. Le Président de la République invite les populations, particulièrement les jeunes, à participer, dans la communion, aux différentes festivités, pour marquer l’attachement patriotique des citoyens à la consolidation de l’indépendance et du rayonnement international du Sénégal.
Abordant l’impératif d’asseoir une politique sportive pluridisciplinaire, exemplaire et performante, le Chef de l’Etat renouvelle ses félicitations aux équipes nationales de basket-ball, de handball et de football et rappelle que le développement du sport dans toutes les localités du Sénégal reste une priorité majeure. A cet effet, il demande au Gouvernement de prendre toutes les diligences requises en vue de réhabiliter le sport scolaire et universitaire, de poursuivre et d’intensifier le programme national de réalisation d’infrastructures sportives multifonctionnelles, de mettre en place un nouveau cadre de gouvernance du sport national, avec notamment, la signature systématique, entre l’Etat et les fédérations sportives, de contrats d’objectifs et de moyens.
Concluant sur ce point, le Président de la République rappelle au Gouvernement la nécessité de veiller, en rapport avec le Comité national Olympique et Sportif sénégalais (CNOSS), à la bonne préparation des athlètes sénégalais, en direction des Jeux olympiques d’été de Rio de Janeiro, au Brésil, et demande au Premier Ministre de présider une réunion spéciale sur la participation du Sénégal à cette importante compétition internationale.
Poursuivant son propos autour du soutien de l’Etat au développement du théâtre sénégalais, le Chef de l’Etat saisit l’occasion de la célébration, le 27 mars 2016, de la Journée mondiale du Théâtre, pour rendre un vibrant hommage à nos artistes comédiens, notamment ceux arrachés à notre affection, pour leur contribution remarquable au développement socio-culturel du Sénégal. Il félicite particulièrement les pensionnaires du Théâtre national Daniel SORANO et leur exprime la reconnaissance de la Nation pour le travail exemplaire accompli depuis la création de ce haut lieu de culture.
Le Président de la République indique également au Gouvernement la nécessité d’assurer une formation adéquate de nos comédiens, de mettre en place un système de financement adapté de la production et de la diffusion de pièces de théâtre, qui s’inspirent de notre histoire, de notre diversité culturelle, de nos valeurs traditionnelles, ainsi que des œuvres littéraires et épopées sénégalaises et africaines.
Enfin, le Chef de l’Etat exhorte le Gouvernement à mutualiser les fonctions du Théâtre Daniel SORANO et du Grand Théâtre national, à adopter une nomenclature officielle des métiers liés aux Arts et à la Culture et à préparer un projet de loi d’orientation et de promotion des Arts et de la Culture, en vue de faire de ce secteur un puissant levier du Sénégal émergent et du Sénégal, une plateforme internationale de référence.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique et le suivi de la coopération.
Le Premier Ministre dans sa communication du jour a rendu compte de la coordination de l’activité gouvernementale.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation africaine et internationale.
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait part au Conseil de la préparation de la campagne rizicole de contre-saison et du suivi de la campagne de commercialisation arachidière.
Le Ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions a rendu compte des travaux de la Commission mixte de sécurité sociale entre la France et le Sénégal qui s’est réunie à Paris, du 21 au 23 mars 2016.
Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a rendu compte de l’état d’avancement des différents projets et réformes.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le conseil a adopté :
  • le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier la Convention de l’Union africaine sur la Cyber sécurité et la Protection des données à caractère personnel.
  • le projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
  • Madame Ndéye Tické NDIAYE, Ingénieur en Technologie générale halieutique, précédemment Inspecteur des Affaires administratives et financières (IAAF), est nommée Secrétaire général du Ministère de la Pêche et de l’Economie maritime, en remplacement de Monsieur Moustapha LY, appelé à d’autres fonctions ;
  • Monsieur Diène NDIAYE, Ingénieur des Pêches et Aquaculture, est nommé Directeur des Industries de Transformation de la Pêche, en remplacement de Monsieur Diène FAYE, appelé à d’autres fonctions ;
  • Monsieur Diène FAYE, Docteur vétérinaire océanographe, précédemment Directeur des Industries de Transformation de la Pêche, est nommé Inspecteur technique au ministère de la Pêche et de l’Economie maritime ;
  • Monsieur Mahmoudane Ndiawar DIOP, Docteur vétérinaire, est nommé Inspecteur technique au ministère de la Pêche et de l’Economie maritime ;
  • Monsieur Kandioura DRAME, Economiste, est nommé Inspecteur des Affaires administratives et financières au ministère de l’Intégration africaine, du NEPAD et de la Promotion de la Bonne Gouvernance ;
  • Docteur Cheikh Amadou Mbacké NIANG, Chirurgien-dentiste, titulaire d’un Master en Management des établissements et services de santé, précédemment chargé des outils, du contrôle et de l’audit du service d’Odontostomatologie de l’Hôpital général de Grand-Yoff, est nommé Inspecteur technique de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale ;
  • Docteur Djiby FAYE, Pharmacien, titulaire d’un Master en Gestion des Etablissements de Santé, précédemment en service au Centre Hospitalier Universitaire de FANN, est nommé Inspecteur technique de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale ;
  • Monsieur Birame SENE, Planificateur, précédemment Agent-Vérificateur à la Direction centrale des marchés publics du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, est nommé Inspecteur de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale ;
  • Docteur Youssou Bamar GUEYE, Médecin, précédemment Chef du Service de prélèvement, de la préparation, de la conservation et de la distribution des produits sanguins labiles au Centre national de Transfusion sanguine (CNTS), est nommé inspecteur technique de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale.

Le Ministre, Porte-parole du Gouvernement

samedi 26 mars 2016

Scan of Shakespeare's Grave Indicates Skull Is Missing

by Reuters


Shakespeare's skull is likely missing from his grave, an archaeologist has concluded, confirming rumors that have swirled for years about grave-robbers and adding to the mystery surrounding the Bard's remains.
Four hundred years after his burial at the Church of the Holy Trinity in Stratford-upon-Avon, central England, researchers were allowed to scan the grave of England's greatest playwright with ground-penetrating radar. In the area under the church floor where the Bard's skull was expected to be, they found signs of interference.
"We have Shakespeare's burial with an odd disturbance at the head end, and we have a story that suggests that at some point in history someone's come in and taken the skull of Shakespeare,"  said archaeologist Kevin Colls from Staffordshire University. "It's very, very convincing to me that his skull isn't at Holy Trinity at all."
The findings deepen the mystery about Shakespeare's last resting place.
The grave does not bear his name, merely this warning rhyme: "Good friend, for Jesus' sake forbear, to dig the dust enclosed here. Blessed be the man that spares these stones, And cursed be he that moves my bones."
Second skull
In their quest to find Shakespeare's skull, Colls' team also investigated a long-standing tale that it was hidden in a sealed crypt in another church 15 miles (24 kilometers) across the English countryside in Worcestershire. But analysis of that skull showed it to be that of a woman who had been in her 70s when she died.
The story of Shakespeare's missing skull appeared in The Argosy magazine in 1879, which blamed the removal on trophy hunters from the previous century when grave-robbing was common.
Skulls were worth collecting because genius, thought some at that time, would be evident in the remains of a man like Shakespeare, whose character Hamlet famously holds a skull while musing on death.
The scan of the grave where Shakespeare's remains rest next to those of his wife, Anne Hathaway, was conducted in a nonintrusive way, said the team, who will present the results in a television documentary due to air in Britain on Saturday.
"There are so many contradictory myths and legends about the tomb of the Bard," Colls said in a statement. "These results will undoubtedly spark discussion, scholarly debate and controversial theories for years to come. Even now, thinking of the findings sends shivers down my spine."

Crise scolaire et universitaire : La Ligue Sénégalaise des Droits humains (LSDH) recommande au gouvernement le respect de ses engagements

La crise scolaire et universitaire s’enlise davantage dans un dialogue de sourds entre les syndicats enseignants et le gouvernement. Cette situation semble préoccupée au plus haut niveau la Ligue Sénégalaise des Droits humains (LSDH). C’est en tout cas ce que nous fait savoir le Secrétaire Exécutif, Alassane Seck.


« Les accords entre le gouvernement et les syndicats d’enseignements n’ont jamais été respectés conduisant ainsi à un cycle permanent de grèves et autres perturbations de l’espace de l’enseignement et de la formation », s’est désolé le secrétaire exécutif de la LSDH qui est d’avis que ce cycle de revendications a conduit à l’exacerbation des positions et tend à installer une situation d’enlisement de la crise qui, si on n'y prend pas garde, risque d’avoir des conséquences incalculables. 
C’est pourquoi, encourageant le gouvernement à la mise en œuvre d’un dialogue fécond empreint de dépassement et de concessions de part et d’autre pour permettre l’application des accords, Alassane Seck recommande fortement au gouvernement d’endiguer ces sombres perspectives et prendre à bras le corps cette situation extrêmement sérieuse en mettant en œuvre rigoureusement les accords signés entre les différents syndicats et l’Etat.

dakaractu

vendredi 25 mars 2016

Rufisque : Diouma Dieng Diakhaté rouvre sa maternité

La patronne de Shalimar couture, Diouma Dieng, a rouvert, hier, les portes de la maternité Dial Basse, du nom de sa mère. Une séance de dépistage gratuit du cancer du sein y a été organisé. Diouma Dieng a profité de la cérémonie de réouverture de ce centre de santé pour réitérer son engagement à servir ses concitoyens. «Je n’ai jamais donné l’ordre de fermer cette maternité.
C’est le ministère de la Santé qui en avait pris la décision», a fait remarquer Diouma Dieng Diakhaté , rapporte “L’Observateur”. «Tout mon souhait, c’est de venir en aide à mes concitoyens et c’est ce qui m’avait poussée à construire cette maternité pour les femmes de ma localité, longtemps confrontées à des difficultés liées à une prise en charge correcte de leurs accouchements», ajoute-t-elle.
La donatrice informe qu’elle a déjà signé une convention avec le ministère et installera un équipement neuf. En tant qu'ambassadrice itinérante, elle  a profité de cette occasion pour demander aux populations de voter “Oui” au référendum. Elle compte d'ailleurs organiser une manifestation pour le triomphe du «Oui » ce mercredi à la mairie de Rufisque.

Auteur: SenewebNews - Seneweb.com


jeudi 24 mars 2016

Résultats provisoires du Référendum constitutionnel

Dakar, 23 mars (APS)

APSDakar, 23 mars (APS) - La commission nationale de recensement des votes (CNRV) a proclamé, mercredi à Dakar, les résultats provisoires du référendum du 20 mars dernier dans les 12.381 bureaux de vote.
Au total, 12 381 bureaux de vote étaient ouverts dans les 14 régions, 45 départements et 552 communes du pays.
Sur les 5 504 592 d’électeurs inscrits, 2 163 696 ont effectivement participé à cette consultation populaire sanctionnée par 2 144 203 suffrages valablement exprimés. 19644 bulletins nuls étant recensés lors de ce référendum qui a enregistré un taux de participation de 38,26%
Le courant du Oui est sorti vainqueur du référendum avec 1 357 412 voix, soit 62,70% et le camp du Non engrangeant 807 255 voix, soit 37,29%
Le Conseil constitutionnel est la juridiction habilitée à proclamer les résultats définitifs de cette consultation lors de laquelle un peu plus de 5,5 millions citoyens sénégalais étaient appelés aux urnes pour valider ou rejeter une réforme constitutionnelle proposée par le président Macky Sall.
Le principal point de cette réforme est la réduction de sept à cinq ans du prochain mandat du président de la République.
De nouveaux pouvoirs de contrôle pour l’Assemblée nationale, la limitation à deux des mandats présidentiels, les droits pour les citoyens sur leur environnement et sur le foncier, l’élection de députés pour les Sénégalais de l’extérieur, ainsi qu’un statut de l’opposition, figurent aussi dans le projet de réforme.
BHC/PON

Conseil des ministres du 23 mars 2016

Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, ce mercredi 23 mars 2016, à 10 heures, au Palais de la République.

A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat félicite tous les sénégalais qui se sont mobilisés à l’occasion du Référendum du 20 mars 2016, pour accomplir, dans le calme et en toute responsabilité, leur devoir citoyen. Il associe à ses félicitations le Ministre de l’Intérieur, les Forces de défense et de sécurité, l’Administration territoriale, la Direction générale des élections, la CENA, les autres services de l’Etat et tous les acteurs du processus, qui ont permis la bonne organisation du scrutin sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger.
En attendant la proclamation officielle des résultats du référendum, les chiffres provisoires indiquent la victoire du « OUI » et consacrent la validation, par le Peuple sénégalais souverain, du projet de révision de la Constitution. Dès lors, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement d’engager les diligences nécessaires à l’adoption et à l’entrée en vigueur, dans les meilleurs délais, de tous les textes législatifs et réglementaires relatifs à la révision de la Constitution.
Concluant sur ce point, le Président de la République rappelle au Gouvernement l’importance primordiale qu’il accorde au dialogue politique, gage de la modernisation de notre système démocratique, et l’impératif d’intensifier les réalisations du Plan Sénégal Emergent, afin d’asseoir dans l’équité, le bien être durable des populations.
Saisissant par ailleurs la célébration de la fête de Pâques, le Chef de l’Etat adresse, au nom de la Nation, ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs vœux à la communauté chrétienne, en cette période sainte de communion, de ferveur religieuse exceptionnelle et de prière, pour la paix, la stabilité et la prospérité du Sénégal.
Poursuivant son propos autour de la priorité spéciale que constituent le désenclavement et la redynamisation économique de la Casamance, le Chef de l’Etat rappelle les efforts importants et soutenus consentis par l’Etat pour le développement durable de la zone Sud du Sénégal, notamment la réalisations d’infrastructures routières et maritimes de grande envergure, le statut de zone touristique prioritaire d’intérêt national conféré à la Casamance, la baisse du billet du bateau entre Dakar et Ziguinchor à cinq mille (5000) FCFA, le Projet Pôle de Développement de la Casamance (PPDC) dont les premiers résultats sont fort encourageants.
Dans cette dynamique, le Président de la République engage le Gouvernement à accélérer les travaux de la section restante de la RN6, à entamer, dans les meilleurs délais, des concertations régulières avec tous les acteurs du transport et à poursuivre le dialogue fécond avec le Gouvernement du pays frère de la Gambie, en vue de trouver des solutions durables pour assurer la continuité permanente de la desserte terrestre de la région naturelle de Casamance.
Abordant enfin la nécessité de renforcer le pilotage stratégique des grands projets présidentiels, notamment le Train Express régional (TER) Dakar-Diamniadio-AIBD qui est l’un des projets phares de son mandat, le Chef de l’Etat rappelle au Gouvernement l’urgence de faire prendre toutes les dispositions techniques, administratives et financières, afin d’assurer le lancement effectif des travaux du TER, dans le courant de l’année 2016, et de veiller au cadrage optimal du schéma de financement et de l’agenda de réalisation du TER.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique et le suivi de la coopération, notamment en informant le Conseil du voyage qu’il a effectué le samedi 19 mars 2016, en Côte d’Ivoire, pour présenter ses condoléances et celle de la Nation, au Peuple ivoirien frère et lui exprimer notre solidarité, suite à l’attentat terroriste perpétré à Grand Bassam le 13 mars dernier.
Le Premier Ministre a axé sa communication du jour sur l’accélération de la réalisation des projets d’infrastructures, le développement des secteurs productif et social, avant de rendre compte de la coordination de l’activité gouvernementale.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation africaine et internationale.
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale, avant de rendre compte de la mission effectuée par le Fonds Monétaire International (FMI), du 01er au 11 mars 2016, au Sénégal.
Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a rendu compte de l’organisation du référendum du 20 mars 2016 qui s’est bien déroulé sur toute l’étendue du territoire national et à l’étranger.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait part au Conseil de la préparation de la campagne de contre-saison et du suivi de la campagne de commercialisation agricole.
Le Ministre de la Fonction publique, de la Rationalisation des Effectifs et du Renouveau du Service public a fait le point de la préparation du Forum national de l’Administration prévu les 09 et 10 avril 2016 au Centre international de Conférences Abdou DIOUF de Diamniadio (CICAD).
Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a rendu compte de l’état d’avancement des différents projets et réformes.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
  • Monsieur Amadou DABO, Ambassadeur, précédemment Directeur des Partenariats et de la Promotion économique et culturelle au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Andrzej DUDA, Président de la République de Pologne, en remplacement de Monsieur Khaly Adama NDOUR, appelé à d’autres fonctions ;
  • Monsieur Abdourahmane KOITA, Enseignant-chercheur, est nommé Consul général de la République du Sénégal à Bordeaux, en remplacement de Monsieur Mbaye Lô TALL, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
  • Monsieur Papa Modou NDIAYE, Ingénieur polytechnicien option Génie civil, est nommé Administrateur du Fonds d’Entretien routier autonome du Sénégal (FERA), en remplacement de Monsieur Sagar DRAME, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
  • Docteur Chérif DIALLO, Enseignant chercheur en Informatique, est nommé Directeur des Technologies de l’Information et de la Communication au ministère des Postes et des Télécommunications, en remplacement de Monsieur Mallé NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.

Le Ministre, Porte-parole du Gouvernement

vendredi 18 mars 2016

15 choses que vous ne savez pas encore sur l’eau tiède au citron

La consommation d’eau tiède au citron chaque matin est bonne pour la santé. Mais savez-vous réellement pourquoi ? Boire de l’eau tiède au citron à jeun est excellent à plus d’un titre.
Le jus de citron est riche en antioxydants, en potassium, en protéines et en vitamines B et C. Il possède des propriétés qui renforcent l’immunité antivirale.
Riche en bioflavonoïdes, l’eau tiède au citron contribue au renforcement du système immunitaire et à la lutte contre les infections. Les bioflavonoïdes sont un composé des agrumes comprenant l’acide citrique, le magnésium, le calcium et la pectine.
Consommée sur un estomac vide, l’eau citronnée nettoie le corps. Cette action favorise la perte de poids, maintient l’équilibre du pH de l’organisme et soulage également les problèmes digestifs.
Besoin d’autres arguments pour vous convaincre d’en boire tous les jours ?
Voici les 15 bienfaits de l’eau tiède au citron :
Perdre du poids
L’eau tiède au citron aide à maintenir un poids sain et à réguler le taux de sucre dans le sang. La pectine permet aussi de lutter contre les envies de grignoter.
Renforcer le système immunitaire
L’eau tiède au citron renforce le système lymphatique qui va de pair avec le système immunitaire.
Prévenir le rhume et la grippe
Le citron renforce le système immunitaire et a des propriétés antivirales et antibactériennes. Il est riche en vitamine C, ce qui lui permet de prévenir et traiter le rhume et la grippe.
Traiter l’acné
Boire de l’eau au citron chaque matin aide à métaboliser l’acidité du corps et permet d’éviter les poussées d’acné.
Soulager la constipation
L’eau au citron peut prévenir et soulager la constipation en favorisant des selles régulières. Cette boisson est excellente pour la digestion.
Dissoudre les calculs rénaux
Le citron contient du potassium qui augmente les citrates dans l’urine, et de cette manière, empêche la formation d’oxalate et évacue les calculs rénaux.
Réduire la douleur des calculs biliaires
Vous pouvez réduire considérablement la douleur des calculs de la vésicule biliaire en buvant de l’eau citronnée pendant que vous mangez.
Prévenir le reflux gastro-œsophagien (RGO)
Les reflux gastro-œsophagiens peuvent être réduits grâce à l’eau au citron.
Réduire la colite
L’eau au citron peut aider à équilibrer les niveaux de pH. Or la colite est liée à un déséquilibre des niveaux d’acide et d’alcalinité dans le corps.
Prévenir et réduire la fibromyalgie
Les personnes souffrant de fibromyalgie peuvent boire de l’eau au citron et faire quelques quelques séances de yoga pour réduire les douleurs.
Calmer la douleur et l’enflure des articulations
L’eau au citron aide à réduire les quantités d’acide urique dans les articulations, réduisant ainsi l’inflammation. L’eau tiède au citron est bénéfique pour les personnes atteintes d’arthrite, car elle réduit considérablement la douleur.
Combattre l’inflammation
L’acidité est la principale cause de l’inflammation des tissus. Or le citron a des propriétés anti-inflammatoires qui neutralisent l’acidité.
Renforcer les ongles
L’eau au citron renforce les ongles et en éclaircit les taches blanches.
Réduire les douleurs musculaires
Après l’entraînement, favorisez la consommation d’eau au citron pour réduire les douleurs musculaires.
Prévenir les maladies d’origine alimentaire
Boire de l’eau au citron peut prévenir toute sorte d’intoxication alimentaire.

Auteur: santeplusmag.com - Webnews


Serigne Sidy Moctar Mbacké interdit la politique à Touba

La déclaration vient d'être faite par le Khalife général des Mourides lui-même. Juste après la prière du vendredi, Serigne Sidy Moctar Mbacké a pris la parole via la radio de la mosquée pour déclarer que désormais la pratique de la politique est interdite dans la ville sainte de Touba. Le Khalife d'avertir quiconque voudra faire de la politique à Touba, de l'avoir désormais en face de lui. Cette décision intervient après les actes de violence perpétrés à Touba et qui ont occasionné des coups de feu à 300 mètres de la Grande mosquée...
 

Dakaractu


mercredi 16 mars 2016

IMPOSSIBILITÉ TECHNIQUE D’ÉDITER LES CARTES D’ÉLECTEUR : Ce manque de consensus qui prive des citoyens du droit de voter 

 IMPOSSIBILITÉ TECHNIQUE D’ÉDITER LES CARTES D’ÉLECTEUR : Ce manque de consensus qui prive des citoyens du droit de voter

Les citoyens qui attendent leurs cartes d’électeurs ne participeront pas au référendum du dimanche 20 mars. Il est, en effet, apparu des problèmes techniques qui ont empêché la Direction de l’Automatisation des Fichiers (DAF) d’éditer l’ensemble des cartes concernées par la révision ordinaire de 2015. Le consensus recherché par le ministère de l’Intérieur pour leur permettre de voter avec leurs récépissés n’a pas été obtenu entre le front du NON et celui du OUI.

Les citoyens faisant partie de la révision ordinaire de 2015 et qui attendaient leurs cartes d’électeurs peuvent encore prendre leur mal en patience. Pis, ils vont rater le train du OUI et du NON. Pour cause, note-t-on dans un communiqué du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, ces derniers n’auront pas accès au fameux sésame.
En effet, souligne-t-on, «pendant l’impression des cartes d’électeurs issues de la révision ordinaire de 2015, il est apparu des problèmes techniques qui ont empêché la Direction de l’Automatisation des Fichiers (DAF) d’éditer l’ensemble des cartes concernées par cette révision». Le texte rendu public qui fait allusion à un cas de force majeure, mentionne que le ministère de tutelle, devant cette situation, a voulu trouver une alternative pour permettre à ces citoyens d’effectuer leur devoir civique. Cependant, la rencontre initié par le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo avec les représentants des courants du «OUI» et du « NON», en présence d’un représentant de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA), pour les informer de cet état de fait n’a pas fait l’objet d’un commun accord.
«L’idée était d’envisager une solution pouvant garantir la participation des citoyens concernés au référendum du 20 mars 2016», note dans le document. Cette rencontre avec les deux parties a été une occasion de leur faire une proposition de faire voter, avec leur carte nationale d’identité accompagnée du récépissé délivré par la commission administrative dûment visé par la CENA. Les citoyens figurant sur la liste d’émargement des bureaux de vote et qui n’auraient pas reçu à temps leur carte d’électeur», nous dit le texte. Seulement, cette proposition n’a pas reçu le consensus nécessaire à son application. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique «regrette l’absence du consensus requis en la matière et en informe l’opinion nationale». 

dakaractu

samedi 12 mars 2016



fois foie foi

Référendum Constitutionnel Du 20 Mars, Mode D’emploi
Les Sénégalais sont appelés à se prononcer par référendum, le 20 mars, pour ou contre le projet de révision constitutionnelle proposé par le président Macky Sall. Quels sont les principaux changements introduits par ce nouveau texte ?
Le référendum du 20 mars tient en quinze mesures qui, selon Macky Sall et ses alliés, permettront de « consolider » et de « moderniser » la démocratie sénégalaise. Mais le chef de l’État est largement critiqué pour ne pas avoir tenu sa promesse de réduire son mandat en cours de sept à cinq ans – un revirement sur lequel se basent des organisations de la société civile, comme Y’en a marre, et l’opposition pour appeler à voter « non » au projet de révision constitutionnelle. Le président met désormais l’accent sur la teneur des mesures soumises au vote des Sénégalais pour susciter leur adhésion. Jeune Afrique en décrypte les quinze dispositions.
POUVOIR DE L’ASSEMBLEE NATIONALE ET DE L’OPPOSITION
C’est probablement le chapitre le plus paradoxal de la révision constitutionnelle. Le pouvoir exécutif entend promouvoir « le renforcement des droits de l’opposition et de son chef », mais l’opposition, elle, n’en a cure. Le Parti démocratique sénégalais (PDS), Rewmi et AJ-PADS, les trois principaux partis de l’opposition, appelleront donc à voter contre le référendum. En effet, nombre de leaders et militants du PDS ont été incarcérés depuis 2012, et le groupe parlementaire de l’opposition, réunissant les trois mouvements, n’a pas été homologué par le bureau de l’Assemblée nationale depuis la rentrée parlementaire de septembre. Sidy Cissé, consultant et enseignant ayant fait partie de la Commission nationale pour la réforme des institutions (CNRI), instituée par Macky Sall en 2013, considère que « les propositions sont insuffisantes, car les droits de l’opposition sont déjà reconnus dans le préambule de la Constitution ». Il souhaiterait en outre connaître le détail des éventuelles innovations qui seront fixées ultérieurement par la loi.
Quant à « la modernisation du rôle des partis politiques dans le système démocratique », le problème ne porte pas tant sur le principe – consensuel – que sur l’opacité de la mesure. « Je n’ai pas bien compris », reconnaît Sidy Cissé, qui rappelle que la CNRI avait proposé la création d’une Agence de régulation de la démocratie, dans un pays qui croule déjà sous la prolifération de partis microscopiques. En revanche, l’ancien membre de la CNRI se réjouit de « l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale en matière de contrôle de l’action gouvernementale et d’évaluation des politiques publiques ». Une mesure de nature à tempérer une hypertrophie exécutive que l’opposition, fût-elle adepte du « non », est la première à dénoncer.
PREROGATIVES DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
Pas moins de quatre mesures, sur les quinze proposées, concernent le renforcement des compétences et de l’indépendance du Conseil constitutionnel. La moins novatrice porte sur « la soumission au Conseil constitutionnel des lois organiques pour contrôle de constitutionnalité avant leur promulgation ». Comme le fait remarquer Babacar Guèye, professeur de droit public à l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, « cette disposition avait été supprimée par Abdoulaye Wade en 2001, il s’agit donc uniquement de la remettre en vigueur ».
Concernant l’indépendance de la haute juridiction, Babacar Guèye considère que « la proposition par le président de l’Assemblée nationale de 2 des 7 membres du Conseil constitutionnel » est une innovation « appréciable ». « Jusque-là, les sages étaient nommés de manière discrétionnaire par le seul président de la République ; désormais, le président de l’Assemblée proposera quatre noms au chef de l’État, qui en retiendra deux ». L’universitaire relève tout de même que « d’autres pays africains vont plus loin en la matière », comme le Togo, le Mali ou le Bénin, où trois autorités distinctes se répartissent la nomination des membres du Conseil.
Selon Babacar Guèye, l’avancée la plus « incontestable » est « l’élargissement des compétences du Conseil constitutionnel pour donner des avis et connaître des exceptions d’inconstitutionnalité soulevées devant la Cour d’Appel ». Une possibilité pour les citoyens sénégalais de soulever l’inconstitutionnalité d’une loi à la faveur d’une procédure judiciaire, comme cela se pratique déjà au Bénin, au Niger ou au Gabon. Ces nouvelles prérogatives étant de nature à accroître de manière substantielle le nombre de recours soumis au Conseil constitutionnel, le projet de référendum prévoit également « l’augmentation du nombre des membres du Conseil constitutionnel de 5 à 7 ».
DROITS ET DEVOIRS DU CITOYEN
Le projet de révision constitutionnelle propose d’inscrire de nouveaux droits et devoirs du citoyen dans la loi fondamentale. Les articles concernés indiquent notamment que « les ressources naturelles appartiennent au peuple et sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie », que « l’État et les collectivités territoriales ont l’obligation de veiller à la préservation du patrimoine foncier », et que « chacun a le droit à un environnement sain ». « Ce droit à l’environnement sain est déjà présent dans plusieurs lois, explique Haïdar El-Ali, ancien ministre de l’Écologie de Macky Sall. En revanche, l’inscription du devoir de protection des ressources naturelles et de l’environnement par le citoyen est une véritable innovation. Cela signifie que la Constitution protège désormais ceux qui s’engagent dans la défense de l’environnement. »
Cette réforme constitutionnelle introduit également le droit, pour les Sénégalais de l’étranger, d’être représentés par des députés dédiés à l’Assemblée nationale. Une disposition qui sera probablement appréciée par les dizaines de milliers de ressortissants de la diaspora. Enfin, la modification constitutionnelle garantit désormais aux candidats indépendants de pouvoir participer à toutes les élections.
EVOLUTION DES INSTITUTIONS
La principale mesure institutionnelle de ce projet de révision constitutionnelle est la réduction du mandat présidentiel de sept à cinq ans à partir de 2019. Selon le nouveau texte, nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. Une limite d’âge est également fixée à 75 ans pour toute personne souhaitant se présenter à l’élection présidentielle (alors que la Constitution actuelle n’établit qu’un âge minimum de 35 ans).
Au-delà de la promesse, non-tenue, de Macky Sall sur la réduction de son mandat en cours, les détracteurs du référendum dénoncent l’intangibilité des dispositions relatives au mode d’élection, à la durée et au nombre de mandats consécutifs du président de la République. Si la nouvelle Constitution est adoptée le 20 mars, ces dispositions ne pourront plus être révisées. « De quel droit pose-t-on ainsi un verrou définitif sur les choix des générations futures ? C’est une insulte à leur intelligence et à leur capacité d’innover », dénonce Amadou Tidiane Wone, un ancien ministre d’Abdoulaye Wade qui milite aujourd’hui contre cette mesure. Pour d’autres, en revanche, la question mérite d’être posée. Car depuis 1960, la durée du mandat présidentiel a déjà fait l’objet de cinq modifications constitutionnelles. Soit quasiment une modification tous les dix ans. « Cette notion d’intangibilité est une fausse solution à un vrai problème, plus profond : le manque de maturité des dirigeants politiques », balaie Amadou Tidiane Wone.
La révision constitutionnelle qui sera soumise au vote le 20 mars prévoit enfin la création d’une nouvelle institution, le Haut-Conseil des collectivités territoriales. Présenté par les autorités comme un organe de promotion de la décentralisation, de la gouvernance locale et du développement territorial, il s’agira d’une assemblée consultative dont la composition et le fonctionnement seront fixées ultérieurement par une loi organique… si le référendum est adopté.
Jeune Afrique

mercredi 9 mars 2016

Référendum du 20 mars 2016 : deux grosses bourdes sur les affiches du ministère de l’ intérieur

Pour une campagne de sensibilisation pour le référendum du 20 mars 2016, on ne peut pas dire que le coup de com’ est passé. Non seulement, l’affiche présente deux bourdes monumentales. La première concerne « Foie » qui constitue la devise du pays. Un peuple, un but, une Foi. Vous l’avez compris, il s’agit de Foi, certainement, les initiateurs ont certainement consommé trop de « Foie » pour faire une faute pareille.
Référendum du 20 mars 2016 : Deux grosses bourdes sur les affiches
La seconde bourde pose un problème d’équilibre et d’équité. Sur ce tableau, le « Oui » est bien visible, contrairement au « Non ». Il s’agit dans une démocratie de laisser la liberté aux citoyens de choisir librement entre le Oui et le Non lors de ce référendum. Mais, à voir cette affiche, on incite clairement les sénégalais à voter Oui et le Non est à peine visible. Et on ne parle pas des couleurs.. Le ministre de l’Intérieur doit vite réagir pour corriger ces impairs.

Senejet  xalimasn 
 




iSchool, un produit Creative Art Graphique

De jeunes Sénégalais de la diaspora lancent l’application iSchool pour le suivi scolaire des élèves
iSchool est la toute première application de suivi de vie scolaire au Sénégal. iSchool est une application qui vous permet d’accéder à votre plateforme scolaire ou à celle de votre enfant à travers juste un Smartphone ou tout un autre appareil électronique disposant d’un navigateur et d’une connexion internet.
L’application en tant que telle dispose d’une interface sur laquelle peuvent se connecter aussi bien les parents que les élèves. Le parent peut rester au courant de tout ce qui est rattaché à la vie scolaire de son enfant. Il pourra s’informer de ses notes de devoirs, de ses absences ou des retards de son enfant ainsi que les blâmes en classe, les communiqués, les notes de renvois, les convocations, les heures de colle, le rappel des échéances de factures, la liste des fournitures etc. Beaucoup de fonctionnalités que l’application propose donc.
L’élève quant à lui pourra visualiser ses notes obtenues et les devoirs qu’il aura à faire. Il reste également très informé par rapport aux communiqués de l’école y inclus les renvois, les convocations… Il sera également informé de son emploi du temps et des dates d’examens. Il aura aussi l’avantage d’avoir une rubrique révision contenant les compléments de cours de son programme scolaire ainsi que des vidéos didactiques.
La plateforme sera disponible dès la rentrée 2016-2017. iSchool, la toute première application de suivi de vie scolaire au Sénégal. 

 dakaractu


lundi 7 mars 2016

 RAVAGES DE LA MALADIE DE MAREK :LE COLLECTIF DES AVICULTEURS INCRIMINE LA SEDIMA ET L’ETAT
Les aviculteurs dont la volaille est décimée depuis deux ans par la maladie de Marek exigent réparation de la part de Sedima dont ils incriminent la couveuse. Les amis d’Aboubakry Sarr ont également signalé un laxisme du ministère de l’agriculture dans ce dossier qui leur a fait perdre plusieurs millions. Ils étaient vendredi dernier 4 mars en conférence de presse, au centre socioculturel de Grand-Yoff.
 
Les membres du Collectif des Aviculteurs victimes du Marek disent avoir perdu en deux ans, entre 2014 et 2015, environ 400 millions FCFA. Ils mettent en cause la société SEDIMA dont la couveuse est «contaminée à la maladie de Marek» qui a décimé leurs poulaillers. En conférence de presse vendredi dernier 4 mars, au centre socioculturel de Grand-Yoff, ils n’ont pas également manqué d’incriminer le ministère de l’élevage dont ils estiment qu’il n’a pas pleinement assumé ses responsabilités dans cette affaire. 
 
«Nous avons tous acheté (factures à l’appui) des poussins pondeuses à la Sedima en 2014 et 2015. Nous les avons élevés jusqu’à 4 et 5 mois et ils ont commencé à mourir. Lorsque nous les avons amenés pour analyses à l’ISRA et à l’Ecole inter-état des sciences et médecines vétérinaires de l’Université Cheikh Anta Diop, les résultats nous ont indiqué qu’il s’agissait d’une maladie incurable appelée Marek», a lu Pape Amadou Ndiaye dans une déclaration. 
 
«Le préjudice dont il est question, à savoir les pertes réelles, sans parler des dommages collatéraux, est estimé à 400 millions de F Cfa environ. A quoi s’ajoutent les pertes subies par d’autres éleveurs non encore identifiés», a-t-il préalablement déclaré. Pour sa part, le secrétaire général du collectif, Aboubakry Sarr, a expliqué le problème en détail et accusé l’Etat pour son laxisme dans cette affaire. 
 
«Dans un premier temps, Sedima nous faisait croire que la maladie était une épidémie nationale mais à notre grande surprise nous nous sommes rendus  compte que les autres couvoirs n’avaient pas ce problème là», a-t-il signalé. «Il appartenait au ministère de l’élevage de faire des investigations avec les services compétentes pour essayer de comprendre l’origine de cette maladie. Toutes les victimes de la maladie ont pris leurs produits de SEDIMA», poursuit-il en laissant entendre qu’ils attendaient un soutien du ministère de tutelle.
 
«Nous attendions du ministère de l’élevage un accompagnement par le fond de calamité», fait-il. Les autres membres du collectif ont eux aussi fait les mêmes témoignages. Cheikh Fall dit avoir perdu à lui seul plus d’une vingtaine de millions de FCFA. Pour Mamadou Samb, le combat est dans la bataille judiciaire, car il faut que la Sedima rembourse le préjudice causé et les dédommage 

dakaractu




Actu Show : Maïmouna N'dour Faye délocalise son émission

L'émission de télévision "Actu Show" produite par la journaliste Maïmouna N'dour Faye va avoir un nouveau réceptacle. Après la 2STV, Maïmouna emporte dans ses bagages son émission à la DTV. 
Pour ce nouveau projet, Maïmouna N'dour Faye a innové et promet des sorties à la hauteur des attentes des sénégalais. 
Regardez le teaser.

dakaractu

samedi 5 mars 2016

Décès de l’épouse de Cheikh Anta Diop, à l’âge de 90 ans

Décès de l’épouse de Cheikh Anta Diop


 Louise Marie Diop née MAES, veuve de feu Cheikh Anta Diop, est décédée ce vendredi à Paris à l’âge de 90 ans suite à une longue maladie.  Elle sera inhumée au Sénégal. La date des funérailles sera communiquée ultérieurement informe l’APS...

Antadiop

 
 © koaci.com–Samedi 05 Mars 2016-Louise Marie Diop Maes, veuve de feu Cheikh Anta Diop, est décédée ce vendredi à Paris à l’âge de 90 ans suite à une longue maladie. Elle sera inhumée au Sénégal apprend KOACI.COM d’un communiqué qui ne précise pas la date des funérailles de la veuve.

Après la disparition de l’égyptologue, Louise Marie Maes Diop n'a jamais voulu se remarier. Chose qu'elle considérait comme un acte de trahison envers son époux.

Louise Marie Maes Diop était un Professeur certifiée d’histoire et géographie honoraire, Docteur d’Etat en géographie humaine. Elle a écrit un ouvrage comme l'Afrique noire, démographie, sol et histoire paru en 1996.

Cheikh Anta Diop (né le 29 décembre 1923 à Thieytou - mort le 7 février 1986 à Dakar) est un historien, anthropologue, égyptologue et homme politique sénégalais. Il a mis l'accent sur l'apport de l'Afrique et en particulier de l'Afrique noire à la culture et à la civilisation mondiale.

Ses thèses restent aujourd'hui discutées, et sont peu reprises dans la communauté scientifique, en particulier au sujet de l'Égypte antique.

Cheikh Anta Diop a cependant été un précurseur pour ce qui concerne l'importance et l'ancienneté de la place des Africains dans l'histoire, confirmée par les études actuelles.

Sa vision peut aussi être interprétée comme une anticipation de découvertes archéologiques majeures des années 2000 sur le continent africain, que ce soit Kerma ou, beaucoup plus ancien, Blombos.

Beaucoup d’écoles, d’instituts et d’universités à travers le monde portent le nom de l’intellectuel.

Sidy Djimby Ndao, Dakar


jeudi 3 mars 2016

Worldreader Pushes Digital Literacy in Sub-Saharan Africa

A reader uses the Worldreader app in Kenya. (Worldreader)
A reader uses a mobile phone to access the Worldreader app in Kenya. (Worldreader)
Mobile technology has put digital books in the hands of people in developing regions who otherwise have limited reading resources. But millions of schoolchildren in places like Africa still have few or no books to help them develop reading and writing skills. Worldreader aims to change that.
Focusing mainly on Sub-Saharan Africa, Worldreader is a non-profit group dedicated to increasing literacy, educational outcomes and positive perceptions of reading in developing countries. Its library is available in 43 languages and 69 countries, including India, as well as the Americas.
“Readers access a library of over 30,000 – actually, currently it’s 31,000 digital books on e-readers or mobile phones,” said Worldreader’s Director of Content Danielle Zacarias in an interview.
The library is accessible on the Web and via an e-reader mobile app, available globally.
In 2013, Worldreader Mobile had, on average, 335,000 active readers each month who collectively completed 657,475 books and stories.
Worldreader also targets schools and libraries, where reach is limited but more impactful. Content is localized to target different regions and languages. So “Kenya would have much more content than the U.S. relating to their languages, for example,” said Zacarias. “And the reason is because … our key focus areas are Sub-Saharan Africa.”
While most of the library’s content is in English and French, Zacarias said the next biggest language on e-readers in schools and libraries in the region is Swahili. “And Swahili books are fairly popular in that region.”
Sub-Saharan African schools are often lacking in infrastructure and sanitation, not to mention books. In many cases, only one textbook is available for two or more students to share, according to the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO). About 153 million adults in Sub-Saharan Africa lack basic literacy and math skills. Women account for more than 60 percent of the region’s illiterate population.
Amisha Vittal Khedekar, a student reading outside her school in India. (Worldreader)
Amisha Vittal Khedekar, a student reading outside her school in India. (Worldreader)
While there is little raw data to determine what people are reading on Worldreader, romance is high on the list. But the genre is often poorly-understood or downgraded in public perception because “it is female writing,” even though it “does capture some of the female experiences that are not captured elsewhere.”
“People kind of snub their noses at romance – it’s not proper fiction,” said Zacarias. “And it’s one of the few places you can find stories told from a woman’s perspective, like love stories told from a woman’s perspective.”
Depending on availability and current interest, health and sexual health books are also popular. Health topics “spiked tremendously” in West Africa during last year’s Ebola outbreak. And Zacarias suggested that the popularity of a book about malaria might reflect Sub-Saharan Africa’s continued problems with the disease.
Books about sexual health might not even be available in some markets. Zacarias said readers might be reluctant to check out this type of material at a public library – assuming they have a public library – and more inclined to access them in private on their mobile device.
But Zacarias is less concerned with what people are reading than with the fact that they are reading at all.
“When we think about the books that grabbed our attention and made us readers as kids, it’s often not high literature,” she said. “Like I was a fantasy nerd; and would I be the reader that I am today if I wasn’t allowed to just read whatever I wanted? Probably not.”


Aida Akl


Aida Akl is a journalist working on VOA's English Webdesk. She has written on a wide range of topics, although her more recent contributions have focused on technology. She has covered both domestic and international events since the mid-1980s as a VOA reporter and international broadcaster.

mercredi 2 mars 2016



The forgotten angel of Rwanda: Capt Mbaye Diagne Vol1



The Forgotten angel of Rwanda: Capt Mbaye Diagne Vol2



Hommage au Capitaine Mbaye Diagne



A Good Man in Rwanda

Chimamanda Ngozi Adichie reads her short story Olikoye

Chimamanda Ngozi Adichie is one of Africa's most celebrated writers – with Half of a Yellow Sun, Purple Hibiscus and Americana among the books to her name.
 She is also one of more than 30 artists to contribute to a special artistic project on vaccination in Africa and around the world.
"The art of saving a life" celebrates the powers of immunisation and draws attention to the fact that one in five children today still do not have access to vaccines.
The project was commissioned by the Bill & Melinda Gates Foundation.
From our BBC studios in Washington, she recorded this exclusive reading of her short story Olikoye to coincide with a major ministerial conference on immunisation in Africa which is taking place in Addis Ababa, Ethiopia.


mardi 1 mars 2016

Conseil des ministres du 29 février 2016

Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, ce lundi 29 février 2016, à 11 heures, au Palais de la République.

Entamant sa communication sur le référendum du 20 mars 2016 et l’impératif de sensibiliser les citoyens et les électeurs, à travers nos langues nationales sur les différents points du projet de révision de la Constitution, le Chef de l’Etat rappelle aux membres du Conseil que le référendum est l’aboutissement d’un long processus, entamé au mois de mai 2013, avec la mise en place de la Commission nationale de Réformes des Institutions (CNRI) qui, après avoir procédé à de larges consultations, inclusives et citoyennes, a remis son rapport au Président de la République qui l’avait chargé de ce travail. Ainsi, les propositions de réformes soumises au référendum par le Chef de l’Etat, sont tirées pour une très large part, des conclusions de la Commission Nationale de Réforme des Institutions.
Dès lors, le Chef de l’Etat invite le Gouvernement à mettre en œuvre toutes les diligences requises pour un bon déroulement du scrutin sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger. A ce titre, le Président de la République demande au Gouvernement de mener une vaste campagne nationale et internationale de communication, en vue d’une meilleure appropriation de la portée stratégique des réformes proposées, qui visent la modernisation et la stabilisation durable des institutions de la République.
Aussi, le Président de la République, appelle-t-il les citoyens et les forces vives de la nation à voter pour ce projet novateur et progressiste, qui va consacrer le Sénégal au rang des démocraties modèles. Il convient dès lors, d’assurer la mobilisation des électeurs et le vote massif pour le « Oui » lors du référendum du 20 mars 2016, qui constitue un rendez-vous historique pour notre démocratie et un tournant décisif de la vie de la nation.
Abordant par ailleurs la célébration de la Journée internationale de la Protection civile, le 1er mars, le Chef de l’Etat saisit l’occasion pour réitérer l’importance primordiale qu’il accorde à la sécurité civile des populations et invite le Gouvernement :

  • à adapter les plans de prévention et d’intervention, ainsi que tout le dispositif législatif et règlementaire en matière de protection civile ;
  • à veiller à la réactualisation du plan national d’organisation des secours (ORSEC), ainsi qu’au renforcement des instruments et moyens d’intervention de la Brigade nationale des Sapeurs-pompiers, de la Direction de la protection civile et du Samu national ;
  • à assurer un contrôle rigoureux des constructions et de l’occupation optimale des sols, conformément aux plans directeurs d’urbanisme ;
  • et à accélérer, en rapport avec les Collectivités locales, la mise en œuvre du Programme national de Modernisation des marchés.
Poursuivant sa communication autour de la consolidation de la place centrale du sous-secteur de la pêche dans la vie économique et sociale, le Président de la République demande au Gouvernement de procéder, dans les meilleurs délais, à l’évaluation des mesures qu’il a annoncées lors de la rencontre avec l’ensemble des acteurs de la pêche, le 16 janvier 2014 à Kayar.
En outre, le Chef de l’Etat demande au Premier Ministre de veiller au suivi de la situation de la Société des Conserveries d’Afrique (SCASA), fruit d’un partenariat entre l’Etat du Sénégal et le groupe coréen DONGWON, et lui indique l’urgence de procéder à l’évaluation globale des résultats de cette entreprise.
Par ailleurs, le Président de la République invite le Gouvernement à procéder au recensement effectif des navires de la flotte industrielle, à l’immatriculation intégrale et à la sécurité des pirogues de la pêche artisanale, en veillant au renforcement de la coopération sous régionale et à la sensibilisation de nos compatriotes sur les termes des accords signés.
Enfin, le Chef de l’Etat exhorte le Gouvernement à promouvoir davantage la transformation locale des produits halieutiques, à travers la mise en place d’un label « Origine Sénégal », en vue de soutenir la dynamique du consommer local, l’exportation des produits de la pêche, la création de richesses et d’emplois durables.
Le Premier Ministre a rendu compte, dans sa communication de la coordination de l’activité gouvernementale et de la mission qu’il a effectuée à New York, dans le cadre de la célébration du cinquantenaire du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation africaine, internationale et de l’organisation du pèlerinage à la Mecque 2016.
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le conseil a adopté :

  • le projet de loi portant révision de la Constitution ;
  • le projet de décret relatif à la publication du projet de loi portant révision de la Constitution.

Le Ministre, Porte-parole du Gouvernement