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dimanche 5 septembre 2021

La littérature guinéenne — déjà reconnue à travers L'Enfant noir de Camara Laye, lauréat du prix Charles-Veillon en 1954, Soundiata ou l'épopée mandingue de Djibril Tamsir Niane qui popularisa le mythe de Soundiata Keïta en 1960 ou le prix Renaudot attribué à Tierno Monénembo pour Le Roi de Kahel en 2008 — trouve sa consécration lorsque Conakry est désignée « capitale mondiale du livre 2017 » par l'Unesco[1]. Toujours en 2017, Tierno Monénembo reçoit le Grand prix de la francophonie décerné par l'Académie française[2]. Parmi les autres grands noms de la littérature guinéenne moderne figurent notamment Fodéba Keïta (1921-1969), Sikhé Camara (1921-), Alioum Fantouré (1938-), Williams Sassine (1944-1997), Kesso Barry (1948-), Mariama Kesso Diallo (?) et Koumanthio Diallo (1956-[3]).

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