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jeudi 31 décembre 2020
Covid-19 : Un infirmier testé positif après avoir été vacciné Et si le vaccin contre la Covid-19 ne fait pas disparaître le virus ? Un infirmier urgentiste américain, âgé de 45 ans, a été testé positif au coronavirus une semaine après avoir reçu le vaccin de Pfizer. Selon Vox Populi qui reprend les médias internationaux, Matthew W. avait reçu sa première dose le 18 décembre et a déclaré à KGTV, filiale d'ABC News San Diego, que le seul effet secondaire du vaccin qu'il a subi était une douleur au bras. Six jours plus tard, après avoir travaillé dans l'unité Covid, Matthew a commencé à avoir des frissons, des douleurs musculaires et à ressentir de la fatigue. Un test effectué à l'hôpital confirme dans la foulée qu'il est bien positif au coronavirus
Conseil des Ministres mer, 30 déc 2020 Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL, a présidé le Conseil des ministres ce mercredi 30 décembre 2020 au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a adressé les condoléances de la Nation, aux familles et proches de compatriotes qui ont été récemment arrachés à notre affection. Il s’agit, notamment, de Monsieur Pierre NDIAYE, Secrétaire général du Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération, qui a fortement contribué à l’élaboration et à la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, avec une compétence remarquable et un engagement républicain modèle. Il s’agit, également, de Seyda Mariama Ibrahima NIASSE, une éducatrice exceptionnelle, qui a participé, de façon exemplaire, au développement et au rayonnement du système éducatif national à travers ses établissements scolaires réputés par la qualité de leurs enseignements et encadrement. Le Président de la République présente, à cet égard, ses condoléances au Khalife général de Médina Baye, Cheikh Mouhamadou Mahi NIASSE, et à toute la communauté éducative. Le Chef de l’Etat salue, aussi, la mémoire du Général Mamadou NIANG, un Homme de devoir loyal. Un Soldat de la République. Un Patriote digne et généreux, qui a toujours servi son Pays avec engagement, dévouement et désintéressement. Abordant l’évolution de la Pandémie de la Covid-19, le Président de la République invite les populations à redoubler de vigilance, à observer en permanence les gestes barrières, de même que la limitation généralisée des rassemblements et réunions, afin d’arrêter la circulation actuelle du virus. Le Chef de l’Etat demande, à cet effet, au Ministre de la Santé et de l’Action sociale d’améliorer, au quotidien, la sensibilisation des communautés et de veiller à une prise en charge adéquate des patients dans les Centres de Traitement et les services des hôpitaux. A cet égard, le Président de la République se félicite de l’inauguration, hier, du nouveau Service des Maladies infectieuses et Tropicales de l’Hôpital Fann, construit, équipé et fonctionnel en un temps record avec la mobilisation de ressources exceptionnelles et l’engagement notable de bonnes volontés, parmi lesquelles le Professeur Moussa Seydi et ses équipes. Le Chef de l’Etat invite, dans cet élan, le Ministre de la Santé et de l’Action sociale à accélérer les réformes du système de Santé, en vue de sa transformation rapide dans tous les domaines, en veillant à l’entretien adéquat des infrastructures et équipements, ainsi qu’à la productivité optimale des personnels de santé. Dans la perspective de la relance économique, avec le déploiement du Plan d’Action Prioritaire Ajusté et Accéléré (PAP2A), le Président de la République encourage la reprise et l’intensification des activités économiques sur l’ensemble du territoire national, en particulier au niveau des sites de production (artisanale et industrielle) et des zones touristiques. Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat indique toute l’importance qu’il accorde à la stabilité sociale et à la relance du secteur du tourisme. Il demande, à ce titre, au Ministre du Travail, en relation avec le Ministre du Tourisme et les partenaires sociaux, de consolider le dialogue permanent entre toutes les parties prenantes afin de protéger les droits des travailleurs du secteur de l’hôtelier durant cette période difficile, liée à la pandémie de la COVID-19. Le Président de la République engage le Gouvernement, les Ministres en charge du Travail, de l’Economie et du Tourisme notamment, à initier la conclusion d’un « Pacte de stabilité sociale » dans le secteur du Tourisme ; secteur qui doit jouer un rôle majeur dans la relance économique. Le Chef de l’Etat demande, enfin, au Ministre du Travail, de préparer la tenue, en 2021, de la troisième édition de la Conférence sociale, selon un format innovant et inclusif. S’agissant du suivi de la coopération et des partenariats, le Président de la République indique toute l’importance qu’il accorde à la réalisation du port de Ndayane. Il a, à cet effet, demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions appropriées afin d’assurer le lancement effectif, au cours du 1er semestre de 2021, des travaux de ce nouveau Port en eaux profondes, développé par l’Etat du Sénégal, le Port Autonome de Dakar et le Partenaire Dubai Port World (DPW). Le Chef de l’Etat indique au Gouvernement, l’impératif de finaliser, en priorité, le Plan Directeur d’Urbanisme de cette nouvelle zone portuaire stratégique, avec son interland (Bargny- Sendou- Yène - Toubab Dialaw, Daga Kholpa - Popenguine - Ndayane), qui deviendra un Pôle économique et industriel international de référence. Le Président de la République a ainsi rappelé l’urgence de la mise en cohérence de ce Plan Directeur d’Urbanisme avec le Plan National d’Aménagement et de développement des Territoires (PNADT) adopté en Conseil des Ministres le 24 janvier 2020. Le Chef de l’Etat a informé le Conseil avoir signé des décrets portant dénomination des infrastructures publiques suivantes : Université du Futur Africain (UFA) « Abdoulaye WADE » ; École nationale de la Statistique et de l'Analyse économique (ENSAE) « Pierre NDIAYE » ; Daara moderne public de Taïba Niassène « Seyda Mariama Ibrahima NIASSE » ; Le Chef de l’Etat a clos sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, le Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur l’exécution budgétaire 2020 et le Fonds « FORCE COVID 19 » ; le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ; le Ministre de la Santé et de l'Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie Covid-19 ; le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la campagne de commercialisation de l’arachide ; le Ministre de l'Urbanisme, du Logement et de l'Hygiène publique a fait une communication sur le Programme de 100 000 logements ; le Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes entreprises a fait une communication sur la mise en service du marché d’intérêt national et de la gare des gros porteurs. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : le projet de loi fixant les règles d’applicabilité des lois, des actes administratifs à caractère réglementaire et des actes administratifs à caractère individuel ; Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Madame Fatou DIANE, Economiste, précédemment Directeur de la Réglementation et de la Supervision des Systèmes financiers décentralisés (DRSFD), est nommée Coordonnateur national du Programme de Développement de la Microfinance islamique au Sénégal (PROMISE), en remplacement de Madame Yaye Fatou DIAGNE, appelée à d’autres fonctions ; Monsieur Begong - Bodoli BETINA, matricule de solde n° 607 855/O, Enseignant à l'UFR des Lettres et Sciences Humaines de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis est nommé Professeur titulaire de classe normale, pour compter du 1er octobre 2015 ; Monsieur Boubacar CAMARA, matricule de solde no 607 9811K, Enseignant Chercheur à l'UFR des Lettres et Sciences Humaines de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis est nommé Professeur titulaire de classe normale, pour compter du 1er octobre 2016 ; Monsieur Mouhamadou Mawloud DIAKHATE, matricule de solde no 607 839/N, Enseignant Chercheur à l'UFR des Lettres et Sciences Humaines de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis est nommé Professeur titulaire de classe normale, pour compter du 1er octobre 2016 ; Monsieur Cheikh Samba WADE, matricule de solde no 607 982/A, Enseignant Chercheur à l'UFR des Lettres et Sciences Humaines de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis est nommé Professeur titulaire de classe normale, pour compter du 1er octobre 2019 ; Monsieur Mamadou Felwine SARR, matricule de solde no 609 967/E, Enseignant Chercheur à l'UFR de Sciences Economiques et de Gestion de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis est nommé Professeur titulaire de classe normale, pour compter du 1er octobre 2017 ; Madame Ndeye Mery DIA, matricule n° 605 988/B, Enseignante à l'UFR des Sciences de la Santé de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, est nommée dans les fonctions de Professeur titulaire à compter du 1er octobre 2019 ; Monsieur Ibrahima KONATE, matricule de solde n° 605 987/C, Enseignant à l'UFR des Sciences de la Santé de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, est nommé dans les fonctions de Professeur titulaire à compter du 1er octobre 2016 ; Monsieur Adama KANE, matricule de solde n° 605 985/E, Enseignant à l’UFR des Sciences de la Santé de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, est nommé dans les fonctions de Professeur titulaire, à compter du 1er octobre 2016 ; Monsieur Abdoulaye NDOYE DIOP, matricule de solde no 605 986/ D, Enseignant Chercheur à l'UFR des Sciences de la Santé de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis est nommé dans les fonctions de Professeur titulaire de classe normale, pour compter du 1er octobre 2016
mercredi 30 décembre 2020
mardi 29 décembre 2020
lundi 28 décembre 2020
SENEWEB. Le jeune anglais qui a ému Sadio Mané Buteur ce dimanche avec Liverpool, Sadio Mané a égalé le nombre de buts de Luis Suarez. Le Sénégalais a mis fin aussi à une série de 9 matches sans but à Anfield. Mais ce qui a le plus marqué l'attaquant sénégalais, c'est hors des pelouses anglaises. Sadio a été touché par l'affection portée par un fan anglais sur Twitter. Un jeune garçon qui est prêt à changer de nationalité pour imiter son idole. "il aime tellement Sadio Mané qu'il veut jouer pour Liverpool et l'équipe du Sénégal. Sa tante lui a offert le maillot (des Lions) et les chaussures assorties comme cadeau de noël", a publié un internaute sur Twitter. Sadio Mané a reposté la photo avec le commentaire: "bien joué petit". Well done boy ??????????????????????? https://t.co/5Uazz82SaN — Sadio Mane #SM10 (@SadioMane10FP) December 27, 2020
APS. Alerte Vent fort sur l'axe Dakar-Petite Côte L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) alerte sur un vent "momentanément assez fort" de secteur nord pouvant atteindre ou dépasser 40 km/h sur Dakar et la Petite Côte, à partir à 16 heures. Cette situation sera de mise jusqu’au lendemain mardi à 6 heures, précise l’ANACIM dans un bulletin spécial.
dimanche 27 décembre 2020
samedi 26 décembre 2020
vendredi 25 décembre 2020
jeudi 24 décembre 2020
mercredi 23 décembre 2020
Avenue au nom de Macky Sall: Mary Teuw Niane tire sévèrement sur Mansour Faye La volonté affichée par le maire de Saint-Louis de rebaptiser l'avenue Charles De Gaulle au nom du Président Macky Sall n'en fini pas d'irriter des habitants de la région nord. Cette fois-ci, c'est au tour de l'ancien ministre de l'Enseignement supérieur d'élever la voix pour s'insurger contre l'initiative de Mansour Faye. Voici l'intégralité de son post Facebook. "Les petites gens peuvent avoir de grandes idées par contre les gens petits ont toujours de petites idées. Comment, à la fin de cette année 2020, penser un seul instant donner le nom d’un monument, d’une place, d’une rue, d’une avenue, d’un bâtiment, d’une école, d’une université, etc. à un Président de la République en exercice. La reconnaissance que l’on peut lui apporter c’est de soutenir ses actions au service des populations, du pays et de l’Afrique. Lorsque le Président de la République aura quitté le pouvoir, alors viendra, en toute indépendance, en toute honnêteté et avec le détachement qui sied, le moment de la grande évaluation, de la reconnaissance éternelle, des lauriers, des couronnes serties d’or, de son nom attribué à des infrastructures emblématiques du pays et surtout cet amour, à nul autre pareil, d’un peuple qui porte un Président dans son cœur. Ce cofeel (amour/sympathie) que chacun cherche et que Dieu n’attribue qu’à certaines personnes parmi nous. Les gens petits, ont perdu les rois, les empereurs du passé et les Présidents de la République de notre époque."
COMMENTAIRES Kakatar 2.0 il y a 13 heures (12:04 PM) HAHA "PETITES GENS" MDR MAIS QUEL PAYS JE PRENDS MON PIED LA WOYAYOYE ANA PAWLISH ?? KAY FI WAKHI DOF RÉPONDRE +0 -18 Signalier Permalink Reply_author il y a 8 heures (16:53 PM) ce que tu sais pas c'est qu'en te moquant du prof niane tu étales ton ignorance. vas fouiner un peu le français tu verras que gens au pluriel avec l'adjectif qualificatif épithéte devant est parfois féminin. gens - masculin ou féminin ? - cours les 'gens' : masculin ou féminin ? gens est féminin quand il est précédé d'un adjectif qualificatif épithète. on apprécie les bonnes gens. si l'adjectif qualificatif précédant immédiatement gens se termine par un 'e', il est donc le même tant au masculin qu'au féminin; dans ce cas, 'gens' est masculin. ecouter de tels honnêtes gens est un plaisir. ("honnêtes" se termine par "e" au masculin et au féminin, "tels" se met au masculin). si cet adjectif est lui-même précédé d'un pronom relatif interrogatif (qui, quel...) ou exclamatif (quel...!), ce pronom prend le genre de l'adjectif. quels honnêtes gens ! de quelles gentilles gens vous parlez ? les adjectifs ou pronoms placés avant "gens" sont féminins ; en revanche, ceux placés après sont masculins. toutes ces bonnes gens parmi lesquels j'ai grandi sont vertueux. quand on a plusieurs adjectifs avant gens, le genre de tous ces adjectifs est déterminé par celui qui le précède immédiatement. quels bons, gentils et braves gens ! ("braves" est masculin, "quels", "bons" et "gentils" se mettent au masculin aussi). le pronom "tout" placé seul avant "gens" se met au masculin sources: françaisfacile.com
Communiqué du Conseil des ministres du 23 Décembre 2020 Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL, a présidé le Conseil des ministres ce mercredi 23 décembre 2020 au Palais de la République. A l'entame de sa communication, le Président de la République a souhaité un Joyeux Noël à la communauté Chrétienne. Il a dans ce contexte, demandé au Gouvernement, en parfaite concertation avec le Clergé catholique, de prendre toutes les mesures d'accompagnement et de soutien nécessaires, en vue du bon déroulement des célébrations de Noël sur l'ensemble du territoire national. Abordant la question liée à la pandémie de la Covid-19, le Chef de l'État rappelle au Gouvernement et aux populations, l'impératif de réduire au strict minimum, les déplacements, réunions et rassemblements en faisant toujours observer la distanciation physique, le respect strict des gestes barrières et du port obligatoire du masque. Le Président de la République a également encouragé les personnels de santé et demande au Ministre de la Santé et de l'Action sociale de veiller au renforcement permanent de leur protection et à leur motivation durant ce contexte de rebond de la pandémie de la COVID-19. Le Chef de l'État a notamment insisté sur la nécessité de redoubler de vigilance au niveau de l'Aéroport International Blaise Diagne de Diass ainsi qu'au niveau de nos frontières. Poursuivant sa communication, le Président de la République a informé le Conseil avoir reçu le vendredi 18 décembre, une délégation représentative du "Caucus des Femmes Leaders", venue faire le plaidoyer pour la participation notable des femmes à la vie politique. A ce propos, le Chef de l'État demande au Gouvernement d'accroître, davantage, le soutien de l'État aux initiatives des femmes, et d'engager la mise en œuvre des diligences nécessaires au renforcement de la santé maternelle, de l'éducation et de la formation des femmes, de même que de la lutte contre les violences et discriminations en leur endroit. Le Président de la République a en outre indiqué toute l'importance qu'il accorde à la promotion des femmes, notamment dans les Institutions nationales et locales. Il a à ce sujet exhorté le Gouvernement à accentuer l'autonomisation économique des femmes par la mobilisation des dispositifs d'encadrement et de financement souples et efficaces. Le Chef de l'État demande, enfin, au Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants d'évaluer et d'actualiser la Stratégie nationale d'Equité et d'Egalité de genre. Abordant la question liée à la publication du rapport de l'Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE) 2019 et du suivi des recommandations et de réformes engagées dans le secteur extractif, le Président de la République se félicite de la publication régulière de ce rapport. Il a, ainsi, rappelé au Gouvernement son attachement permanent à la transparence dans la gouvernance des ressources minières, pétrolières et gazières du Sénégal, à travers les évaluations (nationale et internationale) régulières et indépendantes. Le Chef de l'État a dès lors demandé au Gouvernement de mettre en œuvre les recommandations du Rapport 2019 de l'ITIE, ainsi que l'application des réformes législatives et réglementaires dans les secteurs miniers, pétroliers et gaziers ce qui permettra au Sénégal d'effectuer avec succès sa seconde validation internationale en mai 2021. Le Président de la République a enfin insisté, en particulier sur l'urgence d'assurer l'application effective et intégrale de la loi numéro 2019-04 du 1er février 2019 sur le contenu local dans le secteur des hydrocarbures, mais également de développer la Responsabilité sociétale d'Entreprise (RSE) des entreprises minières, pétrolières, gazières et celles évoluant dans le secteur des Pêches et de l'Economie maritime. Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l'État a insisté sur la nécessité d'une régulation systématique des sites d'informations qui si on n'y prend garde risquent de porter fortement atteinte à la cohésion nationale, à l'image de l'État ainsi qu'à l'ordre public. Le Président de la République a, en conséquence, demandé au Ministre de la Culture et de la Communication, en relation avec le CNRA, de renforcer la sensibilisation des acteurs de la presse en ligne en vue de préserver nos valeurs culturelles, d'une part et de veiller au traitement professionnel de l'information d'autre part, conforment aux dispositions du Code de la Presse. Le Chef de l'État a clos sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, -le Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République, a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; -le Ministre de la Santé et de l'Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie Covid-19 ; -le Ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural a fait une communication sur la campagne de commercialisation de l'arachide ; -le Ministre de l'Elevage et des Productions animales a fait une communication sur la situation du ranch Djibo Leyti KA de Doli. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : -le projet de loi relatif aux contrats de partenariat public-privé ; -le projet de décret portant approbation des statuts de la Société nationale "Sociétés des Mines du Sénégal" (SOMISEN-SA). Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Monsieur Mamadou Mamoudou SALL, Docteur en Droit des Affaires, matricule de solde n°657.637/B, précédemment Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal au Qatar, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès du Serviteur des Deux Saintes Mosquées, Sa Majesté Salman Bin Abdulaziz AL-SAOUD, Roi d'Arabie Saoudite, en remplacement de Monsieur Cheikh Tidiane SY ; Monsieur Mouhamed Habibou DIALLO, titulaire d'un Doctorat en Mathématiques, matricule de solde n°709.053/R, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de son Altesse Cheikh Tamim Bin Hamad AL THANI, Emir de l'État du Qatar, en remplacement de Monsieur Mamadou Mamoudou SALL, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Abdoulaye BARRO, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°604.450/K, précédemment Ambassadeur, Représentant permanent adjoint de la République du Sénégal auprès de l'Organisation des Nations Unies à New York, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Sa Majesté Al-Sultan Abdullah Ri'ayatuddin Al-Mustafa Billahi Shah ibni Almarhum Sultan Haji Ahmad Shah Al-Musta'in Billah,Yang Di-Pertuan Agong XVI, Roi de Malaisie, avec résidence à Kuala Lumpur ; Monsieur Adama DIEYE, Chancelier des Affaires étrangères, de classe exceptionnelle, matricule de solde n°505.369/D, est nommé Consul général de la République du Sénégal à Guangzhou (République populaire de Chine), en remplacement de Monsieur Mouhamadou El Bachir DIACK, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Mamadou Bamba NDIAYE, Consultant, est nommé Président du Conseil d'Administration de la Société des Mines du Sénégal (SOMISEN-SA) ; Monsieur Ousmane CISSE, Ingénieur Géologue, matricule de solde n° 604507/B, est nommé Directeur général de la Société des Mines du Sénégal (SOMISEN-SA) ; Monsieur Abdou DIOUF, Ingénieur Statisticien Economiste, précédemment Directeur de l'Ecole nationale de la Statistique et de l'Analyse Economique de Dakar, est nommé Directeur général adjoint de l'Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), poste vacant ; Pour compter du 01 octobre 2019, les enseignants-chercheurs de l'UFR des Sciences et Technologies dont les noms suivent : Abdoulaye GASSAMA, matricule de solde no 168 133/B ; Moctar CAMARA, matricule de solde n° 176 132/Z ; Chérif BALDE, matricule de solde no 173 147/G. sont nommés professeurs titulaires à l'Université Assane SECK de Ziguinchor. Fait à Dakar le 23 Décembre 2020 Le Ministre des Collectivités Territoriales du Développement et de l'aménagement des territoires, Porte-Parole du Gouvernement Oumar GUEYE
mardi 22 décembre 2020
Covid-19 : "Le Sénégal peut être fier de sa gestion de la pandémie" (Pr Raoult) Grand défenseur de l'utilisation de la chloroquine face au Covid-19, le professeur français Didier Raoult, devenu une personnalité médiatique, donne son avis sur la gestion de la pandémie au Sénégal. "Le Sénégal peut être fier de la manière dont il a géré cette crise sanitaire. Un bon travail a été fait", se réjouit-il, dans un entretien accordé au quotidien national Le Soleil.
Pr Didier Raoult : "J'ai failli me noyer deux fois à Dakar où je suis né" SENEWEB Le Professeur Didier Raoult garde des liens forts avec le Sénégal où il a grandi. En effet, l'infectiologue est né à l'hôpital Principal de Dakar, avant de quitter la capitale sénégalaise à 9 ans. Du quartier du Plateau et de la plage d'Anse Bernard, Raoult, dans un entretien avec Le Soleil, dit avoir gardé des "souvenirs attachants" de son pays natal. "Je me rappelle que mon père nous amenait tous les dimanches à Popenguine. En tant que nutritionniste, il essayait d'introduire de nouveaux nutriments dans les aliments des habitants des villages de cette zone et essayait de voir si ces aliments seraient acceptés et tolérés", informe-t-il. Et d'ajouter : "J'avais la notion du terrain concret en allant dans ces villages. Nous avons aussi mené une étude dans deux villages (…) Mais, nous n'avons pas continué l'étude car ce n'était plus possible de faire la comparaison". Raoult, nostalgique, de poursuivre : "L'autre souvenir que je garde du Sénégal, c'est que j'ai failli me noyer à deux reprises à la plage Anse Bernard"
lundi 21 décembre 2020
dimanche 20 décembre 2020
Thiès : Explosion d’un puits de Gaz dans le Notto Gouye Diama Par: Ndeye Astou KONATÉ (correspondante) Thiès - Seneweb.com | 19 décembre, 2020 Réveil brutal pour les populations du village de Ngadiaga dans la commune de Notto Gouye Diama. En effet, tout est parti d’une exposition d’une conduite de gaz dans l’usine Fortesa selon nos sources. « Malheureusement on s’est réveillé avec une catastrophe qui est en train de se passer. Il y a un puits de gaz qui a explosé ce matin vers les coups de 09 h. Actuellement, tout le village est en danger. Certains ont quitté leurs maisons pour sauver leur peau par peur d’inhaler le gaz», témoigne Mame Samba Ngadiga, membre du collectif pour les intérêts de Ngadiaga. Les sapeurs-pompiers et la gendarmerie sont sur place, mais les soldats du feu n’arrivent pas à maitriser le feu. Selon les populations sur place, il y a un employé de l’usine qui s'en est sorti avec des blessures et qui se trouve présentement à l’hôpital. Les dégâts matériels sont énormes aussi. " A Ngadiaga, si l’on vous dit qu’il y a une entreprise qui produit du gaz, vous n’allez pas nous croire. Cela parce que les habitants ne se retrouvent pas dans cette entreprise qui ne fait rien pour les populations autochtones. Ici, il n’y a même pas d’eau potable ni un poste de santé et pourtant cette usine pouvait prendre tout cela en charge. Cette usine exploite du gaz ici depuis 1976 mais force est de reconnaitre nous sommes en danger", confie-t-on. " Récemment on a tenu une manifestation pour alerter, aujourd’hui l’histoire nous a donné raison" , conclut Mame Samba Ngadiga qui annonce une grande manifestation après la maitrise des flammes
samedi 19 décembre 2020
vendredi 18 décembre 2020
APS. Une houle dangereuse annoncée entre Dakar et Saint-Louis L’agence météorologique nationale met les populations en garde contre une "houle dangereuse" pouvant dépasser 2,5 mètres, sur la côte allant de Dakar à Saint-Louis, vendredi, à partir de 23 heures. La houle pourrait engendrer des "accidents" et des "inondations" le long de cette partie de la côte sénégalaise, selon un bulletin spécial de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM). L’ANACIM conseille "vigilance absolue" aux habitants de la zone côtière, aux pêcheurs et aux autres usagers de la mer
jeudi 17 décembre 2020
mercredi 16 décembre 2020
Gadgets alcoolisés pour enfants : Les non-dits d’une affaire suspecte Par: Marième Birame BA - Seneweb.com Une affaire de gadgets alcoolisés pour enfants commence à défrayer la chronique depuis ce mercredi matin. Il s’agit de gadgets contenant un liquide qui a une saveur d’alcool. Et un vendeur a déjà été arrêté, informait Seneweb un peu plus tôt. En fait, tout est parti le lundi 14 décembre 2020. Ce jour-là, le Commissariat central de Rufisque a été saisi par un élément de l'antenne du Service de renseignement de la Police de cas présumés d'ivresse d'enfants survenu le vendredi 11 décembre 2020 au crépuscule à Diokoul Rufisque. Ce, suite à la consommation d'un produit alimentaire conditionné dans de petits pistolets factices. Des recoupements sommaires ont été faits auprès de la mère des enfants. Cette dernière a affirmé qu'après la consommation du produit alimentaire, un de ses deux enfants s'est enivré et le second a dormi pendant longtemps. L'agent de Police a également mis à disposition deux paquets dudit produit contenant chacun 22 pistolets factices dont chacun est cédé à 100 francs, à en croire toujours la source de Seneweb. En tout état de cause, le Laboratoire d'Analyses et de Contrôle sis à la Direction du Commerce Intérieur a été saisi pour des analyses sur ce produit dénommé "Spray Candy" fabriqué en Côte d'Ivoire sous le label Made in China. D’après nos sources, la direction du Commerce a déclaré que le produit suspecté contient bien de l'alcool à six degrés (6°). En plus, il a été frauduleusement introduit au Sénégal et commercialisé, d’après toujours notre interlocuteur qui reprend toujours la version du département du Commerce. Hier, des commerçants ont été entendus au Commissariat de Rufisque. Il s’agit d’un boutiquier, d’un grossiste libanais, d’une dame fournisseuse. Cette dernière, après son interpellation, a conduit les enquêteurs à son grossiste établi à Cambérène. Et à l'occasion, le grand commerçant, repéré par la Direction du Commerce Intérieur complètera le groupe. Le présumé coupable qui est en même temps un agent commercial se nomme H. K. Il est domicilié au Point E. Le susnommé est le fournisseur de la boisson incriminée "Spry Candy". La perquisition effectuée dans son dépôt sis à Cambérène n'a pas permis de trouver le produit, qu'il dit avoir tout écoulé dans le marché, il y a de cela quelques mois. L’homme travaille avec un individu de nationalité guinéenne du nom de Barry, sans autres précisions. C’est ce dernier qui lui fournit la boisson depuis un an. Il soutient avoir ignoré la composition du produit. Pour l’heure, l'enquête ouverte suit son cours. Mais la question qui taraude est de savoir comment ce produit prohibé a atterri au Sénégal et échappé à la vigilance de la Direction du Commerce et de la douane sénégalaise?
Communiqué du conseil des ministres du mercredi 16 Décembre 2020 Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL, a présidé le Conseil des ministres ce mercredi 16 décembre 2020 au Palais de la République. A l'entame de sa communication, le Président de la République a indiqué au Gouvernement l'impératif d'adopter de nouvelles mesures sécuritaires et sanitaires afin de limiter la propagation actuelle de la pandémie de la COVID-19. A cet égard, le Chef de l'État, demande au Ministre de la Santé et de l'Action sociale de réactiver les Centres de Traitement des épidémies (CTE) ; de remobiliser et motiver davantage les personnels de santé et ; surtout, de renforcer les services d'urgence et de réanimation dans les hôpitaux. Abordant la question liée au vote de la loi de finances pour l'année 2021 le Président de la République a félicité le Président de l'Assemblée Nationale, les Honorables députés, le Ministre des Finances et du Budget, le Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions, et l'ensemble des membres du Gouvernement, pour le bon déroulement de la session budgétaire. Le Chef de l'État a indiqué au Gouvernement que l'année 2021 doit effectivement consacrer la relance de l'Economie nationale par un déploiement, en mode Fast Track du PAP 2A. Il a à ce sujet indiqué toute l'attention qu'il accorde à la transparence dans la gestion des affaires publiques, notamment dans l'exécution des marchés publics. Le Président de la République, demande dès lors, à chaque ministre, de veiller aux publications des Plans et Avis généraux de Passation des marchés conformément aux procédures et délais prescrits dans le Code des Marchés publics. Il a rappelé que la gestion axée sur les résultats (GAR) doit demeurer une priorité centrale du Gouvernement. Poursuivant sa communication, le Chef de l'État a informé le Conseil, avoir examiné la synthèse des rapports annuels (2018-2019) de l'Autorité de Régulation des Marches Publics (ARMP). Il a, à ce propos, apprécié particulièrement, le taux très satisfaisant de mobilisation et de consommation des crédits (3111 milliards cumulés sur les 2 exercices) par les structures ministérielles, mais également l'amélioration notable des délais de paiement des marchés publics (71 jours sur une norme internationale de 90 jours). Il a rappelé, la nécessité de la mise en place d'un système d'archivage (papier et numérique) performant des documents et pièces justificatives à détenir par les autorités contractantes. Abordant la place des systèmes financiers décentralisés (SFP) dans le développement socio-économique du Sénégal, le chef de l'État a informé le Conseil de l'audience qu'il a accordée à l'Association des Professionnels des Systèmes Financiers décentralisés (APSFD). Il a à cet égard magnifié le rôle de premier plan des acteurs de la microfinance dans le développement national et la création d'emplois : 8000 emplois directs et 430 milliards d'encours de crédits au 30 septembre 2020. Le Président de la République félicite les différentes composantes de ce secteur dynamique et stratégique, dont la place dans la relance de l'économie nationale, doit être renforcée par un encadrement soutenu et un accompagnement adéquat du Gouvernement. Le Chef de l'État demande, dès lors, au Ministre des Finances et du Budget et au Ministre de la Microfinance et de l'Economie sociale et solidaire en relation avec la BCEAO, de prendre les dispositions réglementaires et fiscales nécessaires pour une baisse, à court terme, des taux d'intérêt débiteurs appliqués au niveau des institutions de microfinance. Le Président de la République indique, par ailleurs, au Gouvernement, la nécessité de vulgariser, dans nos langues nationales, le Programme d'inclusion financière. Il s'agit d'accentuer l'éducation financière des femmes et des jeunes, à travers le soutien et le renforcement en ressources des Mutuelles d'épargne et de crédit (MEC) installées en milieu rural. Le Chef de l'État a demandé, enfin, aux Ministres en charge des Finances et de l'Economie Solidaire d'assurer la mise en œuvre optimale de la stratégie de développement du Fonds National de la Microfinance (FONAMIF) qu'il a déjà validée. Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Président de la République invite le Gouvernement à consolider un dialogue social permanent avec les syndicats d'enseignants afin d'assurer la stabilité durable du système éducatif et d'enseignement supérieur. Le Chef de l'État a enfin, invité le Gouvernement à veiller à la maitrise des dépenses liées au paiement régulier des bourses ainsi qu'à l'optimisation de la gestion budgétaire et financière des universités et centres des œuvres universitaires. Abordant la gestion de l'hydraulique rurale et l'amélioration de la distribution de l'eau potable, le Président de la République a demandé au Ministre de l'Eau et de l'Assainissement de finaliser son évaluation en veillant à la préservation des acquis du système national de production et de distribution de l'eau potable en milieu urbain et rural. Le Chef de l'État a clos sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, -le Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République, a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; -le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la session budgétaire 2021 et sur l'exécution budgétaire 2020 ; -le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ; -le Ministre de l'Economie, du Plan et de la Coopération a fait une communication relative à la tenue de la table ronde avec les partenaires au développement sur le PACASEN Rural ; -le Ministre de la Santé et de l'Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie Covid-19 et sur le rôle important des radiophysiciens dans la prise en charge du cancer ; -le Ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural a fait une communication sur la campagne de commercialisation de l'arachide ; -le Ministre de la Microfinance et de l'Economie sociale et solidaire a fait une communication sur le secteur de la microfinance au Sénégal ; -le Ministre auprès du Président de la République en charge du suivi du Plan Sénégal Emergeant a fait le point sur les projets phares du PSE. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : -le projet de loi modifiant la loi n°69-29 du 29 avril 1969 relative à l'état d'urgence et à l'état de siège ; -le projet de loi relatif à l'architecture et à l'exercice de la profession d'architecte. Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Monsieur Mor Khoudia GUEYE, Inspecteur de l'Education populaire, de la Jeunesse et des Sports principal, matricule de solde n° 510 8317/H, précédemment Directeur de la Jeunesse et des Activités Socio-éducatives, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Jeunesse, en remplacement de Monsieur Gabriel Luciano PREIRA, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur Jean Peerters, ancien Président de l'Université Bretagne-Sud, est nommé Président du Conseil d'Administration du Campus franco-sénégalais (CFS) ; Monsieur Serigne Magueye GUEYE, Professeur titulaire des universités, matricule de solde n° 102 389/A, est nommé Directeur général du Campus franco-sénégalais (CFS) ; Monsieur Babacar SENE, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 613.302/C, précédemment Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 de Kaffrine, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 2 de Kaffrine ; Monsieur Cheikh Mbaye SECK, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 518. 507/Z, précédemment Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 Youssou Mbargane DIOP de Rufisque, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 Roi Baudoin, en remplacement de Madame Ramata DANFAKHA, appelée à d'autres fonctions ; Docteur Cheikh Sidy Ahmed Bécaye NIASS, chirurgien-dentiste, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 603.207/Z, précédemment Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 de Sédhiou, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 de Richard Toll, en remplacement de Monsieur Moussa SENE, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Moussa SENE, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 513.935/D, précédemment Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 de Richard Toll, est nommé Directeur du Centre hospitalier Régional la Paix de Ziguinchor, en remplacement de Abdoulaye FALL, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur Mamadou NDIAYE, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 517.291/Q, précédemment Directeur du Centre hospitalier Régional de Ourossogui, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 Youssou Mbargane DIOP de Rufisque, en remplacement Monsieur Cheikh Mbaye SECK, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Bocar SOW, Administrateur des services de santé, matricule de solde 607.743/G, précédemment Directeur du Centre hospitalier régional de Matam, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional Heinrich LÜBKE de Diourbel, en remplacement de Monsieur El Hajj Amadou DIENG, appelé à d'autres fonctions ; Docteur El Hajj Amadou DIENG, Médecin, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 613.774/D, précédemment Directeur du Centre hospitalier régional Heinrich LÜBKE de Diourbel, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 2 de Kédougou ; Docteur Moustapha SOURANG, Médecin, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 600.825/E, précédemment Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 1 de Ndamatou, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 3 de Touba ; Docteur Ibrahima KA, Professeur agrégé de Chirurgie générale, Enseignant à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Ontologie de l'Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, matricule de solde n° 622.404/B, précédemment en service à l'Hôpital général Idrissa POUYE de Dakar, est nommé Directeur du Centre national d'Oncologie de Diamniadio (CNOD) ; Monsieur Samba GUEYE, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 607.735/D, précédemment Directeur du Centre hospitalier régional de Ndioum, est nommé Directeur du Centre hospitalier national psychiatrique de Thiaroye, en remplacement de Monsieur Ousmane SECK DAME, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Ousmane SECK DAME, Administrateur des services de santé, matricule de solde 603 046/G, précédemment Directeur du Centre hospitalier national Psychiatrique de Thiaroye, est nommé Directeur de l'Etablissement public de Santé de niveau 2 de Sédhiou ; Docteur Aladji Arona NDIAYE, Chirurgien-dentiste, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 603.201/F, précédemment Chef de la Division Planification, Etudes et Suivi-évaluation à la Direction des Etablissements publics de Santé, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional de Matam, en remplacement de Monsieur Bocar SOW, appelé à d'autres fonctions ; Docteur Ousmane GUEYE, Chirurgien orthopédiste, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 622.557/A, précédemment Chef de service au Centre Hospitalier Matlaboul Fawzeïni de Touba, est nommé Directeur du Centre hospitalier Régional de Ourossogui, en remplacement de Mamadou NDIAYE, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Abdoulaye SENE, Administrateur des services de santé, matricule de solde n° 607.742/H, précédemment Chef des services administratifs et financiers du Centre hospitalier national de Fann, est nommé Directeur du Centre hospitalier Régional de Ndioum, en remplacement de Samba GUEYE, appelé à d'autres fonctions ; Colonel Boucar NDIAYE, Conservateur des Parcs nationaux, matricule de solde n° 510 884/Z, précédemment Directeur des Parcs nationaux, est nommé Directeur de la Planification et de la Veille environnementale au ministère de l'Environnement et du Développement durable, en remplacement du Colonel Ibra Sounkarou NDIAYE, appelé à d'autres fonctions ; Colonel Bocar THIAM, Conservateur des Parcs nationaux, matricule de solde n° 502 533/B, précédemment Directeur des Aires marines communautaires protégées, est nommé Directeur des Parcs nationaux au ministère de l'Environnement et du Développement durable, en remplacement du Colonel Boucar NDIAYE, appelé à d'autres fonctions ; Commandant Mamadou SIDIBE, Conservateur des Parcs nationaux, matricule de solde n° 510 887/C, précédemment Chef de la Division Zones humides à la Direction des Parcs nationaux, est nommé Directeur des Aires marines communautaires protégées au ministère de l'Environnement et du Développement durable, en remplacement du Colonel Bocar THIAM, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Théodore Adrien Sadio NDIAYE, Inspecteur principal de l'Education Populaire, de la Jeunesse et des Sports, matricule de n° 632 058/B, précédemment Conseiller Technique, est nommé Directeur de la jeunesse et des activités socio-éducatives au Ministère de la Jeunesse, en remplacement de Monsieur Mor Khoudia GUEYE, appelé à d'autres fonctions ; Docteur Saliou NGOM, Maître de recherches, matricule de solde n° 917 223/L, précédemment Directeur du Laboratoire national des Recherches sur les Productions végétales de l'Institut sénégalais de Recherches agricoles (ISRA), est nommé Directeur de la Protection des Végétaux (DPV du ministère de l'Agriculture et de l'Equipement rural, en remplacement du Docteur Emile Victor COLY admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. Fait à Dakar le 16 décembre 2020 Le Ministre des Collectivités Territoriales du Développement et de l'aménagement des territoires, Porte-Parole du Gouvernement Oumar GUEYE
mardi 15 décembre 2020
lundi 14 décembre 2020
Exclusif.net. Pardonnez-moi Prési ! Parce que j'étais heureux et j'ai dansé le jour de votre chute( Papa Makhtar Diallo) Oui, pardonnez-moi, parce que j'étais heureux et j'ai dansé le jour de votre chute. Pardonnez moi parce que ce jour là, je n'avais pas retenu les universités et écoles érigées. Je ne me rappelais non plus de toutes ces infrastructures créées (autoroute, hôpitaux, échangeurs...) J'avais même oublié jusqu'aux Cases des touts petits, les centres de santé élevés... J'ai aussi eu à nier la liberté d'expression vitale, la sincère démocratie, la généralisation des bourses, l'égalité des chances, la parité fixe... J 'ai tout oublié de votre combat pour une Afrique unie, votre combat contre l'impérialisme barbare ; jusqu'à votre combat pour une justice indépendante et l'édification de l'État de droit j'avais oublié les jalons posés. Je vous présente mes excuses et vous exprime ma gratitude parce que je vous ai combattu sans savoir le pourquoi et je n'ai pas su vous défendre quand il le fallait. Pardonnez-moi ! Même si d'un autre côté je pensais bien faire en agissant aux côtés d'autres, tellement j'étais convaincu que la meilleure option c'était votre départ du pouvoir pour l'instauration d'un vrai et décisif changement. Aujourd'hui si c'était à refaire on ne m'y reprendrait et je ne ferai pas la même erreur assumée en agissant en aveugle sur la sphère politique. Assurément ! Car Prési rien n'a changé, à votre suite quand c'est votre successeur qui a finalement fait du "wax waxet" ; et avec lui c'est la dilapidation des ressources publiques qui continu, c'est la justice qui est instrumentalisée ; c'est la prison pour isoler ces adversaires politiques. Or nous n'avions juste voulu que le changement en optant pour l'alternance une seconde fois. Et ça s'est retourné contre nous. Les jeunes n'ont pas de boulots qu'on leur a promis. Les droits des travailleurs ne sont plus à négocier pour des conditions optimales de travail. Du jour au lendemain tout a changé radicalement changé mettant sous le boisseau 12 ans d'acquis occultés péremptoirement. La République des voleurs a détruit les valeurs de la République et dans le mauvais sens : en nous livrant pieds et points liés à l'occident, au capital financier étranger, au pouvoir des investisseurs accablants et surtout à la France ancienne tutelle coloniale. Nous en sommes là. Alors, face à cette situation je dis et je l'affirme : j'aurai encore préféré vous avoir VOUS au poste de commandement, malgré vos erreurs, malgré votre âge que vous portez très bien par ailleurs machala. En fait, ce qu'il y a dire c'est que, comme tout être humain, vous avez accumulé vos parts des erreurs de la vie, vous avez été tributaire de vos faiblesses ; mais, comme j'ai l'habitude de le dire, on apprend beaucoup de ses erreurs et les œuvres humaines si parfaites d'une personne noble sont à même d'effacer toutes ses faiblesses du passé. Tel est la foi de tout croyant qui aspire au généreux et beau pardon du divin : Sa Clémence recherchée à Allah SWT. Aujourd'hui je me sens responsable en partie de la situation que traverse notre beau pays doté en ressources précieuses par Dame Nature. Mon malheur comme celui de la majorité du peuple vient de notre naïveté à avoir cru à un trafiquant d'espoir. Comme beaucoup, j'ai voté pour lui, au lieu de m'astreindre une consigne de vote réfléchie et personnelle, croyant trop facilement aux idées qu'il véhiculait en toute démagogie. Mais aujourd'hui il est venu l'heure de faire son bilan comme vous dites, de passer au peigne fin sa gestion pendant qu'il est encore au pouvoir. En gros que reste-t-il de ses idées sur la bonne gouvernance sobre et vertueuse, à propos de la rupture qu'il présentait principe du "gagner ensemble gouverner autrement ensemble". Ce n'était en réalité que de la poudre au yeux au final. Aujourd'hui encore, les ressources minières sont vendangées, les ressources gazières et pétrolières sont en train d'être bradées aux moins disant, les ressources publiques sont dilapidées sur fond de scandales financiers jamais élucidés, la liberté d'expression bafouée en prend un sacré coup, la démocratie devient nuit et jour des salons de conspirateurs et des nids de coucous pour des espions anti-patrie confirmés. C'est à un désastre qu'on court en y concourant tous à ce rythme où le peuple des partisans et supporters se livre guéguerre permanente sur toutes les surfaces de communication, routes et rues y compris. Alors pardonnez à moi qui vous demande pardon humblement mon cher Papy, président de coeur à vie. Pour finir, permettez moi vous dire ceci en privé dans l'oreille de l'audient sage que vous êtes pour des millions de Sénégalais : «Vous êtes pour le Sénégal et l’Afrique, ce que Napoléon fut pour la France. À chaque fois que l’on eut besoin d’un homme et d’un seul, tous les esprits se sont tournés vers vous, Maître. Comme Roosevelt qui, en 1929, tira l’Amérique de la grande récession par la politique des grands travaux, vous avez mis le Sénégal sur orbite, pour en faire un pays émergent, grâce à vos vastes chantiers qui ont fini de redonner aux éléphants leurs couleurs naturelles». Vous devinerez aisément de qui peut-il s'agir pour vous élever à votre prééminence la plus digne qui soit, tout en paraphrasant le président actuel.
samedi 12 décembre 2020
Marie Aude Diop : "Comment j'ai connu Pape Bouba… Ma conversion à l'Islam…" Marie Aude Diop et Pape Bouba Diop se sont connus, il y a 18 ans : "J'ai rencontré mon mari grâce à un ami commun qui était capitaine de l'équipe de Lens, peu de temps avant qu'il n'aille à la Coupe du monde en 2002". Et d'ajouter dans Stades : "Après notre mariage, je l'ai suivi lorsqu'il est parti en Angleterre, en Grèce et en vacances lorsqu'il rentrait au Sénégal". Née à Lens, la veuve de Pape Bouba Diop est esthéticienne. Elle s'est convertie à l'islam et son nom musulman est Fatou Bintou Diop, SENEWEB
Mort du F Cfa : La France a franchi le dernier pas Par: Babacar WILLANE - Seneweb.com | 11 décembre, 2020 Arrivée de l'Eco après la mort du Francs Cfa La fin du Franc Cfa a été définitivement actée par Paris. L’Assemblée nationale a validé le projet de loi hier jeudi 10 décembre, après son adoption en conseil des ministres le 20 mai dernier. Et sans surprise, le projet de loi a confirmé les mesures phares qui ont été annoncées. Il s’agit du remplacement du Cfa par la monnaie Eco, du maintien de la parité fixe avec l’Euro, très décriée par une frange importante de la population ouest africaine. Cette loi met fin également à la centralisation des réserves de change au Trésor public français. Désormais, cet argent sera géré par la Bceao qui aura la latitude de le placer dans les banques de son choix un peu partout à travers le monde. De même, la France ne siègera plus aux instances de la Bceao. Cependant, il est peu probable que cette loi puisse calmer les anti-Cfa. Ils sont convaincus que cette ‘’transition’’ est le résultat d’une manœuvre de la France destinée à maintenir son influence sur les pays africains, francophones notamment. Un travail réussi avec la complicité de l’Ivoirien Alassane Ouattara qui, le 21 décembre 2019, a annoncé, à la surprise générale et à côté de Macron, que le F Cfa devient l’Eco
vendredi 11 décembre 2020
Calendrier académique 2020/2021: Macky Sall fixe les trimestres et suspend les vacances scolaires de fin d’année Par: AWA FAYE - Seneweb.com | 11 décembre, 2020 La Covid-19 est encore passée par là. L’Etat du Sénégal vient de réajuster le calendrier pour l’année académique 2020/2021. Ainsi, le Président de la République Macky Sall a publié, ce vendredi 11 décembre, le décret relatif aux trimestres et à la durée des congés et vacances dans les établissements scolaires durant cette période. A l’en croire, l'année scolaire 2020/2021 démarre le jeudi 12 novembre 2020 à 08 heures et se termine le samedi 14 août 2021 à 12 heures. En ce qui concerne la durée des trimestres, le premier va du jeudi 12 novembre 2020 à 08 heures au samedi 30 janvier 2021 à 12 heures. Soit 361 heures. Le deuxième s'étale du jeudi 04 février 2021 à 08 heures au vendredi 30 avril 2021 à 12 heures. Soit 420 heures. Le troisième trimestre est programmé du jeudi 06 mai 2021 à 08 heures au samedi 14 août 2021 à 12 heures. Soit 482 heures. Ainsi, un total de 1265 heures est répertorié pour l’année scolaire. En outre, pour les vacances du premier trimestre, ils sont calés du samedi 30 janvier 2021 à 12 heures au lundi 8 février 2021 à 8 heures. Pour le deuxième, c’est du vendredi 30 avril 2021 à 12 heures au lundi 6 mai 2021 à 8 heures. Puis, les grandes vacances du personnel enseignant sont fixées du samedi 14 août à 12 heures au lundi 11 octobre à 8 heures et du samedi 14 août à 2021 à 12 heures au lundi jeudi 14 octobre 2021 à 8 heures pour les élèves. Le Chef de l’Etat de déclarer que la répartition des congés et vacances scolaires dans les établissements de formation professionnelle est fixée par arrêté du ministre compétent. Macky Sall a, toutefois, précisé que le ministre des Forces armées, le ministre de l’Education nationale et le ministre de l’Emploi, de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent décret qui sera publié au journal officiel. Pour sa part, le ministre de l’Education Mamadou Talla a indiqué que les universités organisant leur propre découpage de l’année académique depuis l’entrée en vigueur du système Licence - Master - Doctorat (LMD), le présent décret ne dispose que pour les écoles et les établissements au titre de l’année scolaire 2020/2021. « L’année scolaire 2019 -2020 ayant subi les effets de la crise sanitaire, notamment dans le déroulement des enseignements apprentissages, sa prorogation était nécessaire entraînant ainsi des répercussions sur l’année scolaire 2020-2021. Dans ce sens, les dispositions du présent décret prévoient une révision des périodes classiques des congés de fin de trimestre et des vacances de fin d’année », a-t-il fait remarquer.
jeudi 10 décembre 2020
mercredi 9 décembre 2020
Communiqué du conseil des ministres du mercredi 9 Décembre 2020 Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL, a présidé le Conseil des ministres ce mercredi 09 décembre 2020 au Palais de la République. Poursuivant sa communication, le Chef de l'État est revenu sur la nécessité d'intensifier le déploiement du PSE Vert dans un contexte de montée en puissance de l'Agence Sénégalaise de la Reforestation et de la Grande muraille Verte. Il a, à cet égard, demandé au Ministre de l'Environnement et du Développement Durable et au Ministre des Finances et du Budget de prendre les mesures budgétaires et financières nécessaires à la réalisation accélérée des programmes de l'Agence sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille verte. À ce sujet, le Président de la République a rappelé au Gouvernement que l'objectif, sur la période 2020-2021, est de créer 2211 emplois verts pour renforcer la sensibilisation et l'appropriation par les populations du Programme national de Reforestation, qui matérialise la volonté du Sénégal de développer l'atténuation et l'adaptation face aux changements climatiques. Le Chef de l'État invite, dans le même élan, le Ministre de l'Environnement et du Développement durable à mettre en œuvre, après sa validation politique, le rapport de la Contribution Déterminée au niveau National (CDN) sur les changements climatiques. Sur la situation de la pandémie de la Covid-19, le Président de la République rappelle au Gouvernement, l'impératif d'accroître la vigilance et d'améliorer l'efficacité des dispositifs de sécurité publique et sanitaire afin d'assurer le respect par les populations des mesures barrières et du port obligatoire du masque dans les lieux et transports publics. Le Chef de l'État a, enfin, informé le Conseil qu'il présidera très prochainement une rencontre d'évaluation prospective de la stratégie de lutte contre la Covid-19. Abordant les conclusions de la réunion, qu'il a présidée le vendredi 04 décembre, relative au nouveau cadre juridique et institutionnel devant régir les PPP au Sénégal, le Président de la République a demandé au Gouvernement de toujours renforcer la place du secteur privé national dans l'exécution soutenue du PAP2A afin de consolider une économie forte, attractive, compétitive, inclusive et résiliante. Le Chef de l'État invite, dès lors, les Ministres en charge de l'Economie, des Finances et le Ministre, Secrétaire général du Gouvernement à intégrer, dans la cohérence et la pertinence juridique, les observations des parties prenantes publiques et privées, en vue de la présentation prochaine du projet de loi et de ses décrets d'application finalisés en Conseil des Ministres. Le Président de la République a, dans cette perspective, souligné que ce cadre innovant, qui va entrer en vigueur, nécessite une capacitation notable des acteurs, une évaluation précise des projets, dans le respect des procédures de passation des marchés et de signature des contrats. Le but est d'accélérer la réalisation, dans la transparence, des investissements publics, dans les délais prescrits, à la satisfaction des populations. Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l'État a informé le Conseil qu'il a remis, hier 08 décembre, le Prix Macky SALL, pour la Recherche initié par le Conseil Africain et Malgache pour l'Enseignement Supérieur (CAMES). Dans cette dynamique, le Président de la République s'est félicité des brillants résultats du Sénégal,75 candidats admis sur 85 présentés, au 20ème Concours d'agrégation de Médecine humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine vétérinaire et Productions animales, session 2020. Le Chef de l'État a clos sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, - le Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République, a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; - le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ; - le Ministre de la Santé et de l'Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie Covid-19 ; - le Ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural a fait une communication sur la campagne de commercialisation de l'arachide ; - le Ministre de l'Eau et de de l'Assainissement a fait une communication sur le financement des projets de l'Organisation pour Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) ; - le Ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l'Aménagement des Territoires, Porte-Parole du Gouvernement, a fait une communication sur le Projet de Protection Côtière de Saint Louis (PPCS) ; - le Ministre de l'Environnement et du Développement Durable a fait une communication sur la Contribution Déterminée au niveau National (CDN) ; - le Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes entreprises a fait une communication sur la 13eme session des Chefs d'État et de Gouvernement de l'Union Africaine consacrée à la ZLECAf ; - le Ministre auprès du Président de la République en charge du suivi du Plan Sénégal Emergeant a fait le point sur les projets phares du PSE. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : - Le projet de décret portant réglementation de la desserte par voie aérienne, des zones pétrolières gazières et minières du Sénégal ; - Le projet de décret portant statut général des établissements publics de formation Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Madame Khoudia DIAGNE, Conseillère aux Affaires culturelles, matricule de solde n° 615 451/J, précédemment Coordonnatrice de la Cellule des Etudes et de la Planification, est nommée Directeur des Arts au Ministère de la Culture et de la Communication, en remplacement de Monsieur Abdoulaye KOUNDOUL, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Germain COLY, Conseiller culturel, matricule de solde n° 516 898/C, précédemment Conseiller technique chargé de la Coopération, est nommé Directeur de la Cinématographie au Ministère de la Culture et de la Communication, en remplacement de Monsieur Hugues DIAZ, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Abdoulaye KOUNDOUL, Professeur d'Education artistique et musicale, matricule de solde n° 510 146/A, précédemment Directeur des Arts, est nommé Directeur général de la Compagnie du Théâtre national Daniel SORANO, en remplacement de Monsieur SahiteSarr SAMB, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur Ansoumane SANE, Titulaire d'un Master d'Etudes Diplomatiques supérieures, est nommé Directeur général du Grand Théâtre national Doudou NDIAYE Coumba Rose, en remplacement de Monsieur Keyssi BOUSSO, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Abdoulaye Racine SENGHOR, Professeur certifié de Lettres Modernes, précédemment Administrateur général du Monument de la Renaissance africaine, est nommé Président du Conseil d'Administration du Musée des Civilisations noires ; Monsieur Keyssi BOUSSO, Artiste Promoteur, est nommé Président du Conseil d'Administration de la Compagnie du Théâtre national Daniel SORANO, en remplacement Monsieur Alioune Badara BEYE, appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Hugues DIAZ, Conseiller aux Affaires culturelles, matricule de solde n°515 161/I, précédemment Directeur de la Cinématographie, est nommé Secrétaire général du Grand Théâtre national Doudou NDIAYE Coumba Rose, poste vacant. Fait à Dakar le 09 Décembre 2020 Le Ministre des Collectivités Territoriales du Développement et de l'aménagement des territoires, Porte-Parole du Gouvernement Oumar GUEYE
GREVE DE LA FAIM POUR ASSANE DIOUF, EN DETENTION PREVENTIVE DEPUIS 6 MOIS Quand l’Etat exerce ‘’sa’’ violence Assane Diouf est en grève de la faim, depuis samedi, au Camp pénal de Liberté 6. Le prisonnier proteste contre sa longue détention préventive, entamée le 5 juin dernier et ses mauvaises conditions de détention. Ses avocats dénoncent une violence d’Etat. Baye Modou Fall alias ‘’Boy Djiné’’ n’est pas actuellement le seul détenu en grève de la faim. Assane Diouf est également dans la même situation, depuis samedi. Sous mandat de dépôt depuis le 5 juin dernier, pour provocation à un attroupement armé et outrage à agent, entre autres, M. Diouf a décidé d’observer une diète pour alerter sur son cas. Cette décision est fortement approuvée par ses conseils, pour qui leur client fait l’objet d’une ‘’violence d’Etat sans nom’’. ‘’La meilleure des preuves est qu’il est poursuivi pour des faits pour lesquels d’autres, bien avant lui, ont été tout simplement traduits en flagrant délit, alors que lui, on l’a amené en instruction et n’a jamais été entendu. C’est comme s'il était gardé en otage’’, dénonce Me Khoureyssi Ba. L’avocat indique que, quelques jours avant la fin de son mandat de dépôt, le détenu a subi une audition de façade avec des questions surréalistes, en déphasage avec ce qu’on lui reproche. Assane Diouf avait d’ailleurs, dit-il, exigé la production des supports matériels pour pouvoir se défendre. Ce qui lui a été refusé. Contacté par ‘’EnQuête’’, Lamine Guèye Ndiaye dénonce lui aussi que son oncle, qui devait être entendu quelques jours après sa détention, reste 6 mois en prison pour l’être. Pire, regrette le sieur Ndiaye, il est incarcéré à la prison de Liberté 6 dans une zone à haute sécurité, réservée aux criminels et terroristes, alors qu’Assane Diouf n’est qu’un activiste qui dénonce l’injustice. ‘’Ses avocats, Mes Clédor Ly et Khoureyssi Ba, ont introduit quatre demandes de liberté provisoire dont deux dans une même journée, sans succès. Ce qui prouve à suffisance qu’ils veulent bafouer ses droits, ce qui est inacceptable pour Assane Diouf qui a décidé d’entamer une grève de la faim depuis samedi. L’Etat du Sénégal sera tenu responsable de toutes les conséquences de cette décision’’, avertit Lamine Guèye Ndiaye. Une plainte annoncée contre le doyen des juges et le procureur D’ailleurs, Me Ba indique que le juge a pris une ordonnance de renvoi, alors que la chambre d’accusation doit statuer le 17 décembre prochain sur leur énième demande d’appel. Ce qui représente ainsi, à ses yeux, ‘’une violence d’Etat’’. Les conseils, qui n’entendent cependant pas baisser les bras, prévoient de peaufiner une plainte contre le doyen des juges d’instruction et le procureur. ‘’Cela ne peut pas continuer de garder les gens en otage et de bafouer leurs droits. Qu’on nous explique pourquoi quand Guy Marius Sagna ou Assane Diouf sont en instruction, on les amène au quartier de haute sécurité du Camp pénal de Liberté 6 ?’’, s’interroge l’avocat. En plus de la longue détention préventive, les proches d’Assane Diouf s’inquiètent également de son état de santé jugé dégradant. Certains parlementaires avaient d’ailleurs profité du passage du ministre de la Justice à l’hémicycle, pour alerter sur ses conditions de détention. ‘’Assane Diouf souffre gravement en prison. Ses conditions de détention sont très dures. Il est malade et il risque de subir l’amputation de l’une de ses jambes. Donc, libérez-le. Je pense qu’il a déjà payé sa dette’’, avait plaidé Mame Diarra Fam devant Me Malick Sall. A ce propos, le neveu Lamine Guèye Ndiaye révèle qu’Assane Diouf a été victime d’une double fracture, lors son dernier séjour carcéral à la prison de Rebeuss. Il est, par la suite, poursuit notre interlocuteur, resté sans soins, depuis sa détention au Camp pénal de Liberté 6. ‘’Il traine, en plus de cela d’autres maladies, ce qui fait qu’il a beaucoup maigri. Et l’Etat du Sénégal a préféré rester muet face cette situation. Il a jugé utile d’entamer cette grève au péril de sa vie. C’est un combat qu’il souhaite mener personnellement pour être rétabli dans ses droits. L’Etat sera alors responsable de toutes les conséquences de cette décision’’, prévient M. Ndiaye. Maitre Khoureyssi Ba trouve, lui, qu’Assane Diouf n’est plus trop jeune pour supporter les rigueurs carcérales. L’avocat reste cependant optimiste sur une prochaine programmation de son audience. Au cas contraire, croit-il savoir, la justice risque d’assumer la responsabilité de son décès. HABIBATOU TRAORE
mardi 8 décembre 2020
lundi 7 décembre 2020
dimanche 6 décembre 2020
PAR AMADOU L. SALL – A LA JEUNESSE SÉNÉGALAISE, CELLE QUI VEUT ÉPOUSER LA MER POUR AVOIR ENFIN DES ENFANTS 3 Déc,2020 | Contribution1 | CONTRIBUTION – Pourtant notre pays n’est pas en guerre, mais ils partent comme s’ils étaient pourchassés. Aujourd’hui, notre actualité est engorgée, embouteillée, meurtrie par cette jeunesse – pas toute la jeunesse – qui se rue vers l’Europe glaciale, hystérique et inhospitalière. Elle s’y rue par des voies meurtrières avec tant de vies perdues, englouties, « sacrifiées » pour une cause plus indéfendable que défendable. Je n’ai pas sans doute la bonne réponse. Que ceux qui ont la réponse fassent plus preuve d’humilité et de responsabilité. Il est possible que l’État puisse être désigné comme le 1er coupable. L’État n’a pas d’alibi comme les autres. L’État est seul. L’État subit. L’État est toujours coupable. C’est aussi sa mission. Sa grandeur est de le reconnaître tout en bâtissant. Parce que l’État est le gardien de nos biens, il doit se résoudre à bien les utiliser et donner du travail à tous. Ce qui n’est humainement et structurellement pas possible. Mais tant pis pour lui ! C’est comme ça ! Il doit assumer, même si c’est injuste. Même si c’est impossible. Ce que même Dieu n’arrive pas à résoudre, l’État doit le résoudre. C’est comme ça ! Et on oublie toujours de dire que l’État, ce n’est pas uniquement et essentiellement l’autre. L’État, c’est chacune, chacun de nous. Mais on s’oublie. C’est plus commode. Le fer rougeoyant est toujours laissé entre les mains de l’État. Et il le tient, même s’il brûle ! C’est aussi sa mission. La posture qui consiste à prier Allah de gagner au loto… en oubliant d’aller acheter son ticket, est bien singulière dans notre pays. On peut donc gagner sans jouer ? D’aucun auront toujours le culot et la bave pour vous dire “oui, bien sûr que l’on peut gagner au loto sans jouer ! Vous avez vu tous ces politiciens quine foutent rien et qui sont devenus milliardaires au petit matin ? » Au Sénégal, dans notre si beau pays, les voies du seigneur sont sondables ! Le citoyen est roi ! Il dit tout. Dénonce tout. Se braque contre tout. Exige tout. Il a des droits et jamais des devoirs. Nous mesurons tous combien l’indiscipline et la violence menacent notre développement plus que toute autre forme de pauvreté ! Ne pas l’avouer, c’est choisir de jouer au muet. C’est plus reposant ! Revenons à cette jeunesse qui prend la mer pour vouloir et devoir combler une “mère”! Combler une mère n’a pas de prix. Je le confesse. Mais combler une maman ne veut pas dire la priver de sa chair et de son sang, c’est-à-dire de son enfant. Si elle pouvait savoir un seul instant qu’elle allait perdre son trésor – un fils est un trésor -, Elle hurlerait à réveiller les morts pour empêcher son enfant de partir pour ne plus revenir. Quand le sucre te dit-je pars rendre visite à l’eau, n’espère pas qu’il revienne. Vous êtes le sucre de votre maman. N’allez pas vous jeter dans la mer, en lui disant que vous reviendrez pour la rendre heureuse ! Elle prie, elle vend ce qu’elle possède de plus précieux, pour qu’enfin votre rêve de partir se réalise. Mais, elle ne sait pas que vous ne reviendrez plus et que votre rêve sera brisé par les flots. Si elle savait, vous n’auriez jamais quitté ses bras. Une tombe au fond de l’océan, n’est pas une réponse pour dire à maman “je t’aime et je veux te rendre heureuse ! ». Le bonheur d’une mère n’est jamais loin ! Pourquoi alors aller chercher si loin ? Peut-être qu’en disant tout cela, suis-je imprudent ou loin, très loin de connaître la psychologie humaine, pour comprendre les risques volontairement courus au risque de se tuer afin de servir ses géniteurs et les combler. Ce drame national que nous vivons est complexe. La seule réponse que l’on nous demande est de le résoudre, plutôt que de tenter de l’expliquer. On nous demande d’agir et non de piailler ! La réponse et les solutions, en vérité, n’incombent pas exclusivement à l’État et l’explication à la multitude. Nous devons tous nous rassembler autour de la réponse. Je crois très profondément que celle-ci n’est pas que dans la capacité financière de la puissance publique à trouver un emploi à tous et tout de suite. Certes, le travail est notre 1ère dignité. L’État doit y aider. Mais pas seul. Chacune et chacun de nous doit y mettre du sien. Je conclus : j’aurais dû commencer par ce qui m’a conduit à écrire cette humble et si frêle réflexion, quand il s’agit d’aborder un sujet aussi polémique, polémiste, sensible, douloureux. J’ai regardé une vidéo qui m’a été envoyée. Le brillant et si posé commentateur parle des Lions du football à la coupe du monde de 2002 et de leur légendaire victoire sur la France de Napoléon ! Il analyse cette victoire. Il évoque et décrit cette force de l’esprit qui a conduit l’équipe de Metsu à vaincre une équipe de France au zénith de sa gloire. À la jeunesse sénégalaise, en ces moments de deuil et d’errance, nous demandons d’écouter ce message qui explique cette conduite et cette transcendance des Lions du football pour vaincre ce qui apparaissait comme une montagne infranchissable ! Ce message peut aider. Ce message peut nous protéger. Ce message peut guérir. L’esprit est en effet notre meilleur refuge, quand tout semble s’écrouler. Ce message est le suivant :«… combien de fois on t’a fait douter sur tes capacités. Combien de fois as-tu reculé ?… ´Pour jouer dans la cour des grands, il faut arrêter de jouer les petits’… L’esprit, c’est de se voir grand… Ce qui compte, c’est de se voir comme un lion et non comme un chat…Quand je te vois, je vois un lion. Je vois un lion dans une cage qui ne demande qu’à sortir pour révéler son potentiel… Mais il n’y a que toi pour libérer le lion qui est en toi. Il n’y a que toi. » N’est-il pas beau ce message ? Croire en soi, c’est rester et faire face aux épreuves. J’en vois qui arrivent la hache à la main et la bave à la bouche et qui hurlent :«Non, ce qui est beau c’est de leur trouver du travail ! Tout le reste est… – je cherche le mot juste pas littérature, comme on a coutume de dire. La littérature est trop noble pour être ainsi minorée, voire insultée. Disons plutôt… « Tout le reste est de la politique » ! Que « la politique » me pardonne si je la désigne. Mais elle est plus habituée à l’offense et aux insultes. Elle est plus carapacée, plus flegmatique, même si elle sait être digne et hautement noble. Oui, la jeunesse a besoin certes de travail. Mais elle a aussi besoin d’un esprit puissant et conquérant qui puise sa force dans le don de soi, la foi en soi, la foi en son pays, sa terre natale, en ses propres capacités, sa propre dignité. Une jeunesse doit d’abord être armée. Pour aller au combat de la vie, il faut être armé. Et rien n’arme mieux que l’esprit ! Nos saints face à la barbarie coloniale, en ont donné la preuve ! Qui disait que « Le pouvoir est partout »? L’État seul ne détient pas seul le pouvoir. Chaque jeune sénégalais est un pouvoir. Utilisez-le pour servir votre pays et vous servir. Utilisez-le pour vaincre le mauvais infini. C’est comme le peuple. Il est insoluble ! L’État n’a aucune arme contre lui, sinon de servir, riche ou pauvre, le peuple ! Le vrai pouvoir c’est vous chère jeunesse et l’amour pour votre pays. Ne l’abandonnez pas ! Refusez de fuir. Prenons ensemble en charge notre destin en nous aidant les uns les autres. Ne laissons pas notre destin au seul État. C’est trop lourd à porter tout seul ! C’est « épaule contre épaule » que nous avançons mieux et vite. Si on laisse l’État être le seul et unique maître najeur, il sauvera 5 à 10 noyés et au bout des 100, il se noiera lui-même avec eux et sombrera, même si on dit que l’État ne sombre jamais. Elle est trop belle la jeunesse sénégalaise, trop digne, trop rebelle, trop entreprenante, ingénieuse, orgueilleuse, pour résister aux flots du lac de Guier jusqu’à bâtir à mains nues des canaux d’irrigation pour des champs et des champs de riz et de fruits jusqu’au pied au henné de nos mères si douces, silumineuses. Les pirogues cesseront leurs ballets meurtriers. Du pays natal, la jeunesse a juré d’assécher l’océan pour y bâtir champs, usines, maisons, foyer et enfant. Bâtissez pour vous et pour les générations futures ! L’argile est la mère du bronze, diton. Commençons ! Que Dieu garde le Sénégal !
NETTALI.COM – GRAVEMENT MALADE – L’ATHLÈTE KEN NDOYE LANCE UN CRI DU COEUR L’athlète sénégalaise, plusieurs fois championne d’Afrique, et détentrice d’une médaille mondiale, est aujourd’hui gravement malade. Ken Ndoye risque de franchir la dernière ligne droite de sa vie si l’Etat du Sénégal ne lui vient pas en aide. Aux débuts des années 2000, elle faisait partie des sportifs sénégalais qui ont réussi à hisser haut le drapeau sénégalais. Kene Ndoye est une ancienne athlète sénégalaise qui possède l’un des plus beaux palmarès dans ce sport. Elle est détentrice de treize (13) médailles d’or africaines et d’une médaille mondiale. Malade depuis 2012 Loin des pistes où elle dictait sa loi à ses adversaires, la “Lionne” des pistes est alitée depuis 2012. Pis, elle vit dans un dénouement total, laissée à elle-même et ne pouvant compter que sur sa mère qui la couche et la soulève. “Je suis malade depuis que je suis revenue au Sénégal. J’étais en Italie avant de revenir au Sénégal“, disait-elle. Le triste sort de la “Lionne” des pistes Rangée aux oubliettes, Kene Ndoye n’a reçu aucune assistance venant de la Fédération sénégalaise d’athlétisme ou du ministère du sport. “Je n’ai vu aucune assistance, ni du ministère ou de la fédération. La seule personne qui prend de mes nouvelles, c’est Jean Gomis (actuel Sg de la Fédération sénégalaise d’Athlétisme, ndlr). Le reste, je ne vois personne. C’est ma mère qui s’occupe de moi. C’est elle qui fait tout pour moi. Elle m’aide à me lever et à me coucher. Je la remercie vraiment“, confie-t-elle. Grosse révélation Kene Ndoye qui ne réclame qu’une reconnaissance de l’Etat sénégalais fait également une révélation de taille sur le non versement de ses primes par le ministère du Sport. “Je ne demande rien. Celui qui peut m’aider, il sera le bienvenu. Moi, ce que j’ai toujours réclamé, ce sont mes primes de 2006. Je n’ai jamais reçu de primes, malgré toutes les médailles que j’ai eues dans ma carrière, 13 médailles d’Afrique, 1 médaille mondiale et 2 médailles islamiques“, déclare-t-elle.
Triste sort pour Kene Ndoye : 13 médailles pour le Sénégal, malade et complètement délaissée Publié le 06/12/2020 à 16:52 - Mis à jour le 06/12/2020 à 16:52 Pendant que le Sénégal célèbre Pape Bouba Diop, un héros du football, une autre gloire dans une autre discipline (Kene Ndoye) risque de mourir dans le silence et le dénuement. Et pourtant, Kene Ndoye, ancienne athlète sénégalaise née le 20 novembre 1978 a fait rêver le Sénégal et l’Afrique. Deux fois championne d’Afrique de longueur 2000-2004, et du triple saut 2000-2004 et troisième du championnat mondial saut en 2003, Kene Ndoye a fait ses débuts en athlétisme avec une participation aux championnats d’Afrique de Dakar en 1998. Perdu de vue depuis des années, cette championne qui a marqué l’athlétisme sénégalais au début des années 2000 et qui a apporté 13 médailles pour le Sénégal, est terrassée depuis 2012 par une vilaine maladie qui l’oblige à rester au lit avec l’assistance unique de sa mère, renseigne Modou Guèye Seck, un proche de la famille. « Elle vit dans un dénouement total, laissée à elle-même et ne pouvant compter que sur sa mère qui la couche et la soulève. Sa situation actuelle est une honte pour le Sénégal », s’indigne Modou Guèye Seck. Ce dernier estime qu’il est temps de lui venir en aide car, elle a assez fait pour le Sénégal. « Qu’on n’attende pas qu’elle meurt pour lui rendre hommage : aidons la à retrouver sa santé, à défaut de lui payer ses primes de 2006 pour au moins soulager sa mère », a-t-il plaidé. Mis en ligne par Modou Mamoune Tine
samedi 5 décembre 2020
vendredi 4 décembre 2020
jeudi 3 décembre 2020
mercredi 2 décembre 2020
: liberation.fr - Seneweb.com | Giscard et les Français, la grande incompréhension A son corps défendant, il est le président qui aura permis l'alternance. Mais, à la différence d'un Chirac, il n'aura surtout jamais su comprendre intimement le pays. Que restera-t-il de Giscard?? D’abord et avant tout, parce qu’on a parfois tendance à l’oublier, cette belle conviction européenne, portée haut jusqu’au bout de sa vie politique. Il y a aussi toutes ces réformes sociétales qu’il a rapidement mises en œuvre après son élection à la présidence de la République, en 1974. Majorité à 18 ans, remboursement de la pilule et, bien sûr, loi Veil sur l’avortement, à laquelle il a d’une certaine manière apporté «un soutien sans participation», avant de se l’approprier une fois votée. C’est le Giscard modernisateur, longtemps plus jeune président élu, avant qu’Emmanuel Macron ne le détrône. Valéry Giscard d’Estaing, un septennat et au revoir Mais ce Giscard-là, qui est aussi celui qui a séduit les Français en innovant en termes de communication politique, n’aura pas tenu la distance de son propre septennat, relégué par le Giscard conservateur, le vrai, plus sincère en tout cas. Le problème, c’est que ce Giscard-là, pétri de certitudes économiques libérales, a été englouti par la vague du chômage de masse consécutive au premier choc pétrolier. Emporté, balayé, au point de laisser la place libre en 1981… à la gauche?! Le vrai héritage de Giscard est là?: avoir été le président qui aura permis l’alternance. Elle est aujourd’hui entrée dans les mœurs. Elle fut, en 1981, un événement historique. Giscard aura évidemment ouvert cette voie à son corps défendant. Ce corps qui à la télévision dira «au revoir» si maladroitement aux Français. Ces images font aujourd’hui sourire. Mais elles symbolisent si bien la faille giscardienne?: cette incompréhension qui finalement définit le mieux le rapport qu’il a entretenu avec les Français. Giscard se sera plaint toute sa vie d’avoir été incompris d’eux. Fatale erreur, sans doute liée à cette arrogance si fortement ancrée en lui. En fait, c’est Giscard obnubilé par l’écriture de sa propre histoire, qui n’a pas compris les Français –?à l’inverse d’un Jacques Chirac, qu’il aura poursuivi toute sa vie. Alors, quand ils se décident à voter à gauche, Giscard ne peut pas le comprendre. Il ne s’en remettra jamais. Il aura à ses dépens écrit un chapitre de la grande histoire
Un camion gros porteur a fini sa course dans une salle de classe de l’école élémentaire Barack de Rufisque Est de Arafat. ( Senego , Khadre Sakho )L’accident s’est produit ce mardi. Le chauffeur qui a perdu le contrôle du camion, a heurté violemment le mur de l’école avant de se retrouver dans une salle de classe. Les tables-bancs et autres matériels ont été détruits. Cependant, l’accident n’a causé aucune perte en vie humaine
Communiqué du conseil des ministres du mercredi 02 décembre 2020 2 décembre 2020 ALIMANEWS-XLe Président de la République, Son Excellence Macky SALL, a présidé le Conseil des ministres ce mercredi 02 décembre 2020 au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a demandé au Gouvernement, face au relâchement constaté et à l’augmentation relative des cas communautaires, de renforcer les contrôles systématiques du port du masque dans les transports, lieux et établissements publics. Le Chef de l’Etat rappelle l’impératif de veiller à l’observance des règles et mesures barrières lors des manifestations et rassemblements qui doivent être réduits au strict minimum. ADVERTISEMENT A cet égard, il a demandé au Ministre de la Santé et de l’Action sociale de lui proposer de nouvelles mesures préventives visant à endiguer durablement la pandémie de la Covid 19 et éviter l’engorgement de nos structures sanitaires. Le Président de la République indique, par ailleurs, au Ministre de la Santé et de l’Action sociale, l’urgence de prendre toutes les dispositions pour assurer le fonctionnement adéquat des centres publics de dialyse et la prise en charge des patients (insuffisants rénaux) dans les meilleures conditions. Le Chef de l’Etat demande, enfin, au Ministre de la Santé et del’Action sociale, en relation avec le Secrétariat exécutif du Conseil national de Lutte contre le Sida (CNLS), d’accentuer la mobilisation des partenaires autour du Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme qui vient d’allouer,au Sénégal, 45 milliards 668 millions FCFA. Abordant la question relative à l’amélioration des conditions économiques et sociales des personnes vivant avec un handicap,le Président de la République a réaffirmé l’engagement de l’Etat à poursuivre sans relâche les politiques d’accompagnement et d’insertion socio-économiques des personnes vivant avec un handicap. Le Chef de l’Etat a rappelé, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des personnes handicapées prévue le 03 décembre 2020, la nécessité de poursuivre le programme d’extension des cartes d’égalité des chances, le financement des projets et des activités génératrices de revenus permanents pour les cibles, ainsi que le recrutement régulier dans la fonction publique et les structures de l’Etat de personnes vivant avec un handicap suivant un quota à fixer. Aussi le Président de la République invite, dans cet élan, le Gouvernement à veiller à l’application rigoureuse de la loi d’orientation sociale n° 2010-15 du 06 juillet 2010 relative à la promotion et à la protection des droits des personnes handicapées. Le Chef de l’Etat demande également au Ministre de l’Educationnationale d’engager les travaux de réhabilitation et demodernisation de l’Institut national des Jeunes aveugles (INEFJA)de Thiès. Sur la place de l’élevage dans le « produire et consommer local », le Président de la République, a rappelé au Gouvernement l’importance qu’il accorde au développement de l’élevage et des productions animales dans le Plan Sénégal Emergent(PSE). Il a, à ce sujet, en saisissant l’opportunité de la Journée nationale de l’élevage célébrée le 26 novembre 2020, magnifié la contribution des éleveurs et opérateurs du secteur à la sécurité alimentaire du Sénégal et à la richesse nationale. Le Chef de l’Etat a, dans cette dynamique, demandé, au Ministre de l’Elevage et des Productions animales, de poursuivre l’exécution du Plan national de Développement de l’Elevage en mettant l’accent sur : -l’autonomisation du Sénégal en moutons, volaille, viande et lait ; -l’intensification des cultures fourragères. Enfin, le Président de la République a informé le Conseil qu’ilrecevra, courant décembre 2020, les représentants des organisations d’éleveurs et d’autres acteurs du secteur. Abordant le sujet relatif à l’amélioration durable de l’environnement des affaires pour asseoir l’attractivité du Sénégal et la relance de l’Economie, le Chef de l’Etat exhorte le Gouvernement à assurer l’attractivité du Sénégal aux investissements directs étrangers (IDE), et l’attractivité desplateformes d’investissement et des services de proximité, mis en place avec le concours de APIX SA. Le Président de la République invite enfin le Gouvernement à finaliser les mesures restantes de la feuille de route du Doingbusiness 2021, afin de permettre au Sénégal d’intégrer le TOP 100 des meilleures pratiques à l’horizon 2021. Au titre des Communications, -le Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République, a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; -le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ; -le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait une communication sur la signature avec Dubaï logistics Word d’un accord cadre pour marquer l’adhésion de notre pays à l’initiative Word Logistics Passport Global ; -le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie Covid 19 et sur les centres de dialyse ; -le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la campagne de commercialisation de l’arachide. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : -Le projet de loi relatif au taux de l’intérêt légal ; -Le projet de loi portant définition et répression de l’usure ; -Le projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement du Centre des Hautes Etudes de Défense et de Sécurité (CHEDS). Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante : Monsieur Abdoulaye DIASSE, titulaire d’un DESS en Finance et d’un Master en Banque, est nommé Secrétaire général du Fonds de Garantie des Investissements prioritaires (FONGIP), en remplacement de Monsieur Souleymane BASSOUM, appelé à d’autres fonctions. ? Fait à Dakar le 02 Décembre 2020 ????? ? Le Ministre des Collectivités Territoriales duDéveloppement et de l’aménagement des territoires, Porte-Parole du Gouvernement Oumar GUEYE
mardi 1 décembre 2020
lundi 30 novembre 2020
samedi 28 novembre 2020
vendredi 27 novembre 2020
jeudi 26 novembre 2020
mercredi 25 novembre 2020
Communiqué du conseil des ministres du mercredi 25 Novembre 2020 Par: Seneweb News - Seneweb.com | 25 novembre, 2020 à 20:11:24 | Lu 708 Fois | 2 Commentaires Communiqué du conseil des ministres du mercredi 25 Novembre 2020 Le Président de la République, son Excellence Macky SALL a présidé le conseil des ministres ce Mercredi 25 Novembre 2020 au Palais de la République. A l'entame de sa communication, le Président de la République abordant la communication gouvernementale a félicité le Porte-Parole et les Ministres du Gouvernement pour leurs éclairages et prestations de qualité lors de la première édition de l'exercice d'information des populations :"le Gouvernement face à la Presse". Sur le rapport de la mission d'information parlementaire relative à la gestion des inondations, le Président de la République remercie et félicite l'Assemblée nationale, son Président, l'Honorable Moustapha Niasse, les Députés et membres de la Mission d'information parlementaire, suite à la réception de leur rapport le 19 novembre 2020. A ce propos, le Chef de l'État demande au Gouvernement d'examiner avec attention et diligence les pertinentes recommandations de la représentation parlementaire, en vue de consolider les acquis et les réalisations notables du Programme décennal de lutte contre les inondations (2012 - 2022) dont le taux d'exécution financière, à ce jour, est de 66, 07 %, soit 506.714.000.000 FCFA dépensés sur 766 milliards FCFA. Il invite, dans la même dynamique, le Gouvernement à veiller à l'interdiction systématique des constructions dans les zones non aedificandi. Il demande également au Gouvernement de poursuivre le programme d'extension des réseaux d'assainissement (eaux usées/eaux pluviales) sur l'ensemble du territoire. Le Président de la République demande, dans ce contexte, au Ministre des Finances et du Budget et au Ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l'Aménagement des Territoires de veiller à la mobilisation effective du financement d'amorçage (de 15 milliards FCFA), nécessaire au lancement des travaux de la phase d'urgence, dans la zone de Keur Massar, du Projet de Gestion des Eaux pluviales et d'Adaptation au changement climatique (PROGEP 2) ; projet de seconde génération dont la requête de financement global s'élève à 344 millions de dollars US. Le Chef de l'État demande, par ailleurs, au Ministre de l'Intérieur de lui faire parvenir l'évaluation exhaustive du Plan ORSEC (déclenché le 05 septembre 2020). Abordant la question liée à la mise en œuvre du programme de sécurisation et de modernisation des marchés, le Président de la République exprime, au nom de la Nation, sa compassion et manifeste davantage le soutien de l'État aux sinistrés des incendies des marchés Ocas de Touba - et du marché de Mbacké. Le Chef de l'État demande au Ministre de l'Intérieur, à travers la Direction de la Protection civile et les Gouverneurs de région, de finaliser, dans les quinze jours, en relation avec les maires, un Rapport national sur la situation des marchés sur le plan sécuritaire (sécurité incendie, sécurité des installations électriques etc…). Le Président de la République demande au Ministre du Commerce, en relation avec les Ministres en charge des Finances, de l'Economie et de la transformation du secteur informel, de lui faire parvenir des propositions innovantes, visant la construction rapide de nouveaux marchés "aérés", "sécurisés" respectant toutes les normes en terme de construction, dans les chefs-lieux de région. Dans cette perspective la Caisse de Dépôts et Consignations fera des propositions dans le cadre d'un Partenariat Public Privé. Le Chef de l'État demande, enfin, au Ministre en charge du Commerce et au Ministre en charge de l'Economie de veiller, avec la SOGIP et le secteur privé national, à l'entrée effective en exploitation du Marché d'Intérêt national et de la Gare des Gros porteurs de Diamniadio. Poursuivant sa communication, le Président de la République a informé le Conseil qu'il présidera, demain Jeudi 26 Novembre au CICAD, la 2ème édition du Forum du Numérique et la remise du Grand Prix du Chef de l'État pour l'Innovation Numérique. Il a à ce propos indiqué au Gouvernement l'impératif de faire du SENEGAL NUMERIQUE en 2025, une réalité au cœur de toutes les activités académiques, économiques, sociales et culturelle. Le Chef de l'État exhorte ainsi le Gouvernement, les structures de l'État impliqués (ARTP, ADIE, les directions et services informatiques des ministères), les opérateurs de télécommunications et acteurs privés du secteur à travailler ensemble pour asseoir, en permanence et dans la qualité, l'aménagement numérique optimal du territoire. Le Président de la République invite également les ministres à engager, chacun en ce qui le concerne, l'exécution d'un plan de transformation digitale de leurs administrations afin d'accentuer la célérité, l'efficacité, la transparence et la performance des services publics. Il a à ce sujet demandé, en particulier, au Ministre des Finances et du Budget d'assurer, en priorité, la convergence intégrale des systèmes informatiques des régies financières (Impôts, Douanes, Trésor) ainsi que la dématérialisation générale du cadastre et du livre foncier. Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l'État abordant la problématique de la maladie des gens de mer qui touche certains pêcheurs demande au Ministre de la Santé et de l'Action sociale, au Ministre de l'Environnement et du Développement Durable de faire un suivi rapproché de ce phénomène en vue d'en déterminer les causes. Il demande également au Ministre de l'Environnement et du Développement durable de veiller avec le Ministre des Forces Armées, le Ministre des pêches de l'Economie maritime et la HASSMAR, à la surveillance renforcée des risques de pollution des eaux sur notre espace maritime. Abordant la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles, célébrée ce 25 Novembre 2020, le Chef de l'État réaffirme son engagement et son soutien à cette lutte et appelle à la mobilisation de toute la communauté nationale et internationale pour éradiquer ce fléau. Au titre de la coopération et des partenariats, le Chef de l'État demande au Ministre du Pétrole et des énergies de diligenter le projet d'électrification par voie solaire de 300 villages, exécuté par la compagnie allemande GAUFF. Le Chef de l'État a terminé sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, -Le Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; -Le Ministre des finances et budget a fait une communication sur la mobilisation du Fonds Force COVID et sur l'exécution budgétaire ; -Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ; -Le Ministre de la Santé et de l'action sociale a fait une communication sur la concertation nationale accès sur le rôle et la place des personnes âgées dans le développement économique et social du Sénégal ; -Le Ministre de l'Agriculture et de l'équipement rural a fait une communication sur la campagne agricole 2020-2021 ; -Le Ministre du Commerce et des PME a fait une communication sur le "mois du consommer local" ; -Le Ministre auprès du Président de la République en charge du suivi du Plan Sénégal Emergeant a fait le point sur les projets phares du PSE. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : -Le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier l'accord relatif aux services aériens entre la République du Sénégal et le Royaume d'Arabie Saoudite signé à Djeddah, le 22 Juillet 2019 ; -Le projet de décret portant érection du Centre national d'Oncologie de Diamniadio(CNOD) en Etablissement public de Santé (EPS) de niveau 3 ; -Le projet de décret portant création d'un Etablissement public de Santé (EPS) de niveau 3 à Touba ; -Le projet de décret portant création d'un Etablissement public de Santé (EPS) de niveau 2 à Kaffrine ; -Le projet de décret portant création d'un Etablissement public de Santé (EPS) de niveau 2 à Sédhiou ; -Le projet de décret portant création d'un Etablissement public de Santé (EPS) de niveau 2 à Kédougou. Docteur Momar TALLA SECK, Chercheur, matricule de solde n°608 289/K, précédemment Directeur du Laboratoire national de l'Elevage et de Recherches vétérinaires (LNERV) est nommé Directeur général de l'Institut sénégalais de Recherches agricoles (ISRA) en remplacement du Docteur Alioune FALL admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Madame Mbossé NDIAYE GUEYE, Enseignante-chercheur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, matricule de solde n° 605 670/L, est nommée Directeur de l'Institut supérieur d'Enseignement professionnel (ISEP) de Diamniadio, en remplacement du professeur Oumar NIANG appelé à d'autres fonctions Fait à Dakar le 25 Novembre 2020 Le Ministre des Collectivités Territoriales du Développement et de l'aménagement des territoires, Porte-Parole du Gouvernement Oumar GUEYE
mardi 24 novembre 2020
TER : Énième report de la mise en service, Macky interdit… Philippe Lalliot, ambassadeur de France au Sénégal, n'avait-il pas raison ? Le diplomate avait affirmé que le TER de Dakar ne sera pas opérationnel à la date prévue. Des propos qui avaient fait bondir Me Oumar Youm, alors ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, qui affirmait que la mise en service de la phase 1 du TER est calée à fin décembre 2020. Mais, selon L'Observateur, après une évaluation de l'exécution des travaux réalisés à 95%, les autorités misent sur le premier semestre de 2021. Le journal indique que le chef de l'État a interdit à ses ministres d'annoncer une nouvelle date de mise en service du Ter. "Une date exacte de mise en service du TER a été retenue, mais il nous est interdit de communiquer là-dessus", confie une source à L'Observateur
lundi 23 novembre 2020
Données personnelles : comment l'appli Muslim Pro s'est retrouvée au cœur d’un scandale Par: RFI - Seneweb.com | 23 novembre, 2020 à 22:11:27 | Lu 4674 Fois | 14 Commentaires Données personnelles : comment l'appli Muslim Pro s'est retrouvée au cœur d’un scandale L’application singapourienne était jusque-là connue pour son considérable succès auprès des musulmans du monde entier, mais elle se retrouve aujourd’hui au cœur d’un scandale : une enquête du média américain Motherboard assure que les données et la géolocalisation d’utilisateurs ont été vendues à l’armée américaine. Publicité Avec notre correspondante en Asie du Sud-Est, Gabrielle Maréchaux C’est l’image du téléphone arabe qui semble venir à l’esprit à la lecture de l’enquête du média américain Motherboard, qui décrypte les différents intermédiaires à l’origine de la transmission de données personnelles d’utilisateurs à l’armée américaine. Intermédiaires Le premier maillon de cette longue chaîne est l’utilisateur de Muslim Pro. Il peut se trouver partout dans le monde d’aprèsle site de l’application singapourienne, qui revendique 98 millions d'utilisateurs dans plus de 150 pays. Lorsqu’il a téléchargé l’application, il a dû accepter d’activer la géolocalisation. Une requête qui n'attire cependant pas vraiment la suspicion pour un service qui donne la direction de La Mecque, l’heure exacte des 5 prières musulmanes à l’endroit où vous vous trouvez, ou bien les mosquées ou restaurants halal à proximité. Si c’est un utilisateur scrupuleux et anglophone, il a peut-être lu lesconditions d’utilisation et les règles de confidentialité de l'application, rédigées en 2017 et 2014. Cela lui aura pris au moins 30 minutes montre en main, mais cela ne lui aura pas appris grand-chose sur l’affaire qui agite aujourd’hui Muslim Pro. L’application ne cache certes pas le possible partage de données à des tiers, mais n’évoque pas le nom du courtier X-Mode. Or, cette société est le trait d’union entre l’application Muslim Pro et divers prestataires de la défense américaine. Un logiciel d’analyse de réseau a permis à Motherboard de prouver cela, et le sénateur américain Ron Wyden assure également avoir eu la confirmation que cette société vend des données à des clients de l’armée américaine. Ces données sont censées être anonymes, mais le média américain note cependant dans son article qu’il est aisé, pour qui sait y faire, d’ôter cet anonymat. Antiterrorisme et cybersécurité Le but de cette transaction de données n’est pas non plus évoqué dans les règles de confidentialité de l’application. C’est X-Mode qui a renseigné Motherboardà ce sujet : le courtier de données assure avoir des contrats dans les domaines de l’antiterrorisme, de la cybersécurité ou plus encore récemment pour prédire des futurs clusters du Covid-19. Si une telle utilisation des données mobiles d’utilisateurs a pu inquiéter des internautes du monde entier, suite à la parution de l’enquête journalistique, ce n’est cependant pas la première fois qu’un média révèle comment des données mobiles sont utilisées à des fins militaires par les États-Unis. En 2015 Intercept avait déjà explicité le rôle du traçage de téléphone individuel pour planifier des attaques de drones. Un processus qui n’était alors pas considéré comme infaillible et qui était à l’origine de nombreuses victimes civiles sur des terrains d’opérations extérieures. Une enquête ouverte à Singapour Aujourd’hui sous les feux des projecteurs, l’application Muslim Pro n’a pas tardé à riposter de manière parfois contradictoire. Elle a d’abord nié vendre des données à l’armée américaine. Chose dont elle n’a jamais été accusée car l’enquête journalistique explique bien le nombre d’intercesseurs entre l’application et le Pentagone. Elle a ensuite annoncé ne plus collaborer avec le courtier X-Mode. Il reste ainsi difficile de savoir si l’application savait à quoi pouvait servir les données de ses utilisateurs que possédaient X-Mode. Elle n’est bien sûr pas la seule à se retrouver épinglée dans l’enquête journaliste. Les données d’autres applications ont pu se retrouver dans ce grand business de données. Certains dirigeants de celles-ci et n’ont pas caché leur surprise face aux révélations du média. En attendant, les dénégations de Muslim Pro n’ont pas empêché divers utilisateurs énervés de partager leur colère via des avis sur l’Apple Store par exemple. Basée à Singapour, l’application fait également depuis les révélations de Motherboard l’objet d’une enquête de la Commission de protection des données personnelles. Le Conseil religieux islamique de Singapour a lui invité les croyants à la prudence lors d’utilisation d’applications dans les colonnes du Straits Times. Le fondateur de Muslim Pro n’a lui pas pris la parole publiquement depuis le début de l’affaire, mais une interview donnée en 2018 permet d'en savoir un peu plus sur la genèse de l’application. Créée en 2010 par un Français qui n’est pas de confession musulmane, elle aurait pour devise : « Il ne faut pas réparer quelque chose qui n’est pas cassé ». Une phrase qui résonne de manière singulière aujourd'hui. Suite à notre publication, Muslim Pro a souhaité réagir. « Face à des allégations non fondées, Muslim Pro a été l’objet d’une perversion éhontée et flagrante de la vérité qui a créé une émotion sans précédent dans notre communauté d’utilisateurs », indique la direction de l’application. Muslim Pro affirme notamment n’avoir « jamais fourni à un tiers des données non anonymes » et annonce le « lancement officiel d’une enquête complète sur les parties concernées
dimanche 22 novembre 2020
samedi 21 novembre 2020
vendredi 20 novembre 2020
jeudi 19 novembre 2020
Mort du Doyen d'Iran Ahmad Soufi L'Iran a perdu son "doyen", un Kurde, décédé à l'âge de 138 ans selon ses papiers d'identité, rapporte jeudi l'agence officielle iranienne Irna. Ahmad Soufi s'est éteint mercredi à Saqqez dans la province du Kurdistan (ouest de l'Iran), écrit Irna, précisant qu'il est "mort de vieillesse". L'agence publie des copies de son "chenasnameh" (équivalent du livret de famille) et de sa carte d'identité, indiquant l'une et l'autre une date de naissance remontant au XIXe siècle, le 28 février 1882, ce qui ferait de Soufi un contemporain du président américain Franklin D. Roosevelt, mort en 1945, trois ans avant que ne soit établi le "chenasnameh" du vieil homme défunt. Selon ses papiers, Soufi serait mort à un âge bien plus avancé que celui de la doyenne actuelle reconnue de l'humanité, la Japonaise Kane Tanaka, née le 2 janvier 1903. Les Kurdes sont réputés en Iran pour faire de solides centenaires.
Accusation de Diffamation: Aliou Sall perd son procès contre Ameth Aidara et Bougane Gueye. Seneweb. Le maire de Guédiawaye qui réclamait la somme de 1 milliard au titre de dommages et intérêts a été finalement débouté par le tribunal de Dakar. Ce jeudi, le juge correctionnel a rendu sa décision en relaxant Bougane Guèye Dany et Ameth Aïdara. Les prévenus ont été poursuivis suite à la reprise, au cours d'une revue de presse, d'un article de Direct News accusant l'édile d'avoir vendu à 1 milliard de F Cfa, le siège de la municipalité à Auchan. Pour dire que le frère du President de la République a perdu son procès devant le groupe D-medias.
mercredi 18 novembre 2020
Conseil des Ministres mer, 18 nov 2020 Le Président de la République, son Excellence Macky SALL a présidé le conseil des ministres ce Mercredi 18 Novembre 2020 au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a abordé la question liée à la rentrée scolaire 2020-2021. Il a à ce sujet adressé ses encouragements et ses meilleurs vœux de succès à l’ensemble de la communauté éducative du Sénégal (enseignants, apprenants, parents, surveillants et personnels administratifs et techniques). Dans un contexte marqué par la pandémie de la COVID-19, il a demandé au Gouvernement, aux ministres en charge de l’Education, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur, de la Fonction publique, des Finances et du Budget, de prendre toutes les dispositions nécessaires afin de consolider, avec les partenaires sociaux, la stabilité globale et durable du système éducatif national. Poursuivant sa communication, le Président de la République a insisté sur la nécessite d’asseoir la durabilité des résultats obtenus par le Sénégal dans la lutte contre la pandémie de COVID- 19, en évitant tout relâchement et en renforçant de façon notable la vigilance au niveau de nos frontières. Il a à ce propos donné des instructions au Ministre de la Santé de poursuivre, par une communication adaptée, la sensibilisation permanente des populations sur le respect strict des mesures barrières et du port correct du masque. Abordant la nécessité et l’urgence d’implémenter le PSE Vert dans les établissements scolaires, le Président de la République exhorte les acteurs de la communauté éducative à renforcer la veille environnementale et à consolider la transition écologique en mettant en œuvre, avec le soutien des services compétents de l’Etat, des programmes permanents de reboisement, de plantation d’arbres et d’aménagement d’espaces verts, dans nos écoles, collèges, lycées et universités. Il a par ailleurs rappelé aux ministres en charge de l’Education, de la Formation professionnelle et de l’Enseignement supérieur, l’urgence de transformer davantage les modes et méthodes d’enseignement et de formation par le développement de l’e-Education avec l’intégration systématique du Numérique et l’actualisation des curricula de formation à des métiers et vocations conformes aux évolutions du monde contemporain. Sur la stratégie d’intensification de l’insertion professionnelle des jeunes apprentis et diplômés, le Chef de l’Etat a insisté sur l’importance qu’il lui accorde et qui s’est traduite par le renforcement du Ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle, des volets stratégiques « Apprentissage » et « insertion professionnelle » afin, d’une part, de former les jeunes à des métiers qui répondent aux besoins de l’économie et du marché du travail et, d’autre part, d’accompagner les diplômés et les apprentis à bien entrer dans la vie professionnelle et économique. A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre de l’Emploi de lui soumettre dans les plus brefs délais, une stratégie nationale d’insertion professionnelle (SNIP) qui accorde une priorité fondamentale aux jeunes diplômés, en cohérence avec les dispositifs publics (DER F/J, ADEPME, FONAMIF….). Le Chef de l’Etat a également souligné l’impératif d’actualiser la cartographie des demandeurs d’emplois au Sénégal (en intégrant l’âge, le genre, la région et la formation).Dans ce cadre, il a donné des instructions au Ministre en charge de l’Emploi de veiller à une meilleure maîtrise des flux de sortants « diplômés » des écoles de formation professionnelle. Il invite, également le Ministre en charge de l’Insertion à engager, sur le terrain des initiatives sectorielles pragmatiques d’aide à l’embauche des jeunes en relation avec le Ministre en charge du Travail, les organisations patronales, les structures et mouvements de jeunesse (Conseil National de la Jeunesse, ONCAV…), des. Le Chef de l’Etat a enfin informé le conseil de sa décision de créer, auprès du Président de la République, UN CONSEIL NATIONAL POUR L’INSERTION ET L’EMPLOI DES JEUNES (CNIEJ), organe consultatif stratégique d’impulsion, qui sera mis en place dans la deuxième quinzaine de décembre 2020. A ce propos le Chef de l’Etat a donné des instructions aux Ministres en charge de l’Emploi, de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, du Travail et de la Jeunesse de lui soumettre, par le biais du Ministre, Secrétaire général du Gouvernement, un projet relatif à la création du CNIEJ qui sera examiné, en Conseil des ministres avant la fin du mois décembre 2020. Abordant la question liée à la recrudescence de l’émigration clandestine à partir de nos côtes, et sa médiatisation, le Chef de l’Etat insiste auprès des ministres concernés et des forces de défense et de sécurité, sur la nécessité impérative et systématique de renforcer les dispositifs de surveillance et de contrôle de l’espace maritime national, et particulièrement du littoral, en mettant l’accent sur les zones de pêche qui sont les principaux points de départ des migrants clandestins. Il a à ce propos, demandé au Gouvernement d’accorder une attention plus soutenue à la redynamisation économique et à la situation sociale des populations des zones de pêche. Ces dernières doivent être davantage sensibilisées et accompagnées, avec diligence et efficacité, par les mécanismes d’encadrement et de financement publics à déployer rapidement et efficacement dans les localités ciblées. Rappelant, les nombreuses réalisations faites par le Gouvernement dans le secteur de la pêche, le Chef de l’Etat a donné des instructions au Ministre des Pêches et de l’Economie maritime pour accentuer la sensibilisation des acteurs de la pêche sur les problématiques de sécurité en mer : il lui a, à ce propos, demandé de veiller à la reprise satisfaisante du programme de dotation des pêcheurs en gilets de sauvetage. Le chef de l’Etat a également invité le Ministre des Pêches et de l’Economie maritime , en rapport avec le Ministre des Finances et du Budget, à faire le point sur la situation du programme de constructions des quais de pêche, des aires de transformation moderne, des complexes frigorifiques de stockage des produits de pêche, du programme relatif à l’acquisition de moteurs hors-bord, du programme de géolocalisation des pirogues de la pêche artisanale et du programme d’acquisition de camions frigorifiques destinés aux acteurs de la Pêche. Le Chef de l’Etat exhorte enfin le Ministre des Pêches et de l’Economie maritime à accélérer l’entrée en service progressive des pirogues en fibre de verre afin de remplacer les pirogues en bois qui favorisent « l’agression » et « la destruction » de nos massifs forestiers. Abordant la lancinante question de la préservation durable des Niayes et de nos forêts, le Chef de l’Etat a ordonné aux forces armées, une mission spéciale de renforcement, aux côtés des services des Eaux et forêts, de la lutte contre le trafic illicite de bois sur l’ensemble du territoire national, notamment dans la zone forestière du Sud du Sénégal (département de Médina Yéro Foulah) et Bignona. Il a à ce propos demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions pour apporter aux forces de défense et de sécurité tout le concours nécessaire en vue de sauvegarder notre patrimoine forestier. Le Chef de l’Etat invite également le Ministre en charge de l’environnement à intensifier, avec ses services, les actions préventives de sensibilisation et de lutte contre les feux de brousse en accélérant l’aménagement de pare-feu dans les zones potentiellement vulnérables. Le Président de la République, signale, en outre, l’impératif d’accorder une importance primordiale à la préservation de la vocation des Niayes comme zone spéciale de Production maraichère durable. Il demande, enfin, aux Ministres en charge de l’Agriculture, de l’Environnement, de l’Eau et de l’urbanisme, d’asseoir un dialogue permanent avec les producteurs maraichers du Sénégal. Sur le climat Social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat a insisté sur : La gestion des écoles privés nationale dans le contexte de la Covid 19, à ce propos il a demandé au Ministre de l’Education de veiller au bon fonctionnement des écoles. Aussi, les ministres en charge de l’Education et de la Formation professionnelle, doivent veiller à la supervision renforcée des activités et du fonctionnement régulier des établissements scolaires privés. Sur la régulation du marché du sucre le Chef de l’Etat demande au Ministre du commerce de veiller à une régulation rigoureuse de ce marché pour éviter de fragiliser le tissue industriel dans ce secteur. Le Chef de l’Etat, demande au Ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique de prendre toutes les mesures nécessaires en vue du règlement définitif du dossier des Immeubles désaffectés et démolis de Hann Maristes, notamment les loyers à payer pour les ex occupants. Sur le suivi de la coopération et des partenariats, Le Président de la République a demandé au Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération et au Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du Désenclavement d’accélérer l’exécution du Projet de Construction de l’Autoroute Mbour – Fatick-Kaolack, dont les travaux doivent être lancés dans les meilleurs délais. Relativement au rapport MO IBRAHIM 2020 sur la Bonne Gouvernance le Chef de l’Etat s’est félicité du classement remarquable du Sénégal dans les Top 10 Africain et de la conclusion positive de la deuxième revue du programme triennal au titre de l’Instrument de Coordination des politiques Economiques (ICPE) avec le FMI. Le Chef de l’Etat a clos sa communication sur son agenda Au titre des Communications, Le Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République a fait le point sur le suivi des directives présidentielles ; Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur a fait une communication sur la situation internationale Le Ministre de l'Économie du Plan et de la Coopération a fait une communication sur le portefeuille de partenariat de l’Etat ; Le Ministre de la Santé et de l'action sociale a fait la situation de la pandémie à la COVID 19 et a informé le Conseil du lancement de la plateforme DIATROPIX pour la fabrication des tests de diagnostic rapide par l’Institut Pasteur de Dakar en relation avec la firme Mologic; Le Ministre de l’Agriculture et de l’équipement rural a fait le point sur la campagne agricole et la préparation de la campagne de commercialisation 2020-2021 ; Le Ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries a fait une communication sur la mise en œuvre de l’Agropole Sud ; Le Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions a fait une communication sur la mensualisation des pensions de retraites par l’Institution de Prévoyance Retraite du Sénégal (IPRES) ; Le Ministre auprès du Président de la République en charge du suivi du Plan Sénégal Emergeant a fait le point sur les projets phares du PSE. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : Le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier le protocole de mise en œuvre de l’aide financière entre le Gouvernement de la République du Sénégal et le Gouvernement de la République de Turquie signé à Dakar le 28 janvier 2020. Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Monsieur Lamine SARR, Professeur d'Enseignement secondaire, principal, matricule de solde no 519 024/K, est nommé Secrétaire général adjoint du Gouvernement, en remplacement de Monsieur Opa NDIAYE appelé à d'autres fonctions ; Monsieur Allé Nar DIOP, Ingénieur Statisticien Economiste, précédemment Directeur général adjoint de l'Agence nationale de la Statistique et de la Démographie, est nommé Directeur général de l'Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), en remplacement de Monsieur Babacar NDIR admis à faire valoir ses droits à la retraite ; Madame Maïmouna CISSOKO, Experte en éducation et genre, titulaire d’un Master en Genre et communication, est nommée Directeur général de l’Agence nationale de la Petite enfance et de la Case des Tout-petits (ANPECTP), poste vacant ; Monsieur Assane NDIAYE, titulaire d'un Doctorat en Sociologie, matricule de solde n° 619 853/H, est nommé Directeur du Développement du Capital humain à la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DGPPE) du Ministère de l'Economie, du Plan et de la Coopération, en remplacement de Monsieur Bacary DJIBA, admis à faire valoir ses droits à la retraite ; Monsieur Oumar SOCK, Professeur titulaire des universités de classe exceptionnelle, est nommé Président de la Commission d’évaluation des décisions issues du Conseil présidentiel sur l’Enseignement supérieur et la Recherche du 14 août 2013
mardi 17 novembre 2020
Annoncé mort par Rfi : Abdoulaye Wade réagit Par: Ndeye Safietou NAM - Seneweb.com | 16 novembre 2020. Annoncé mort par Rfi : Abdoulaye Wade réagit L'ancien président du Sénégal, Abdoulaye Wade, n'a pas tardé à réagir, suite à l'annonce de son décès sur le site de Rfi, à la suite d'une erreur informatique. A travers sa page Facebook, il a tenu à rassurer les Sénégalais. "Après l’annonce de mon décès sur le site internet de Rfi, à la suite d’une erreur informatique, je tiens à rassurer que je suis en pleine forme. Il n’est pas donné à tout le monde de pouvoir prendre connaissance de sa nécrologie de son vivant J’en profite pour rappeler à quel point il est important de vérifier ses sources avant de partager une information. - Abdoulaye Wade", a-t-il posté
lundi 16 novembre 2020
dimanche 15 novembre 2020
samedi 14 novembre 2020
vendredi 13 novembre 2020
jeudi 12 novembre 2020
mercredi 11 novembre 2020
mardi 10 novembre 2020
lundi 9 novembre 2020
samedi 7 novembre 2020
vendredi 6 novembre 2020
jeudi 5 novembre 2020
Décès de Iba Der Thiam : Le président Abdoulaye Wade rend hommage à celui qu’il surnommait « Mon Professeur ». Author : Buzzsenegal05 novembre, 2020 á 22:11 C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le rappel à Dieu du Professeur d’Université émérite Iba Der THIAM. Gand intellectuel, responsable syndical, historien de renommée mondiale, homme politique, panafricain convaincu, il était un homme multidimensionnel au savoir immense. Je retiens de lui son amour pour l’islam et pour son pays. Le Sénégal perd une de ses grandes figures qui aura été utile à son pays jusqu’à son dernier souffle puisque responsable de la rédaction, en cours, de l’histoire générale du Sénégal. Je l’avais surnommé ‘’Mon professeur’’ tant il m’avait appris de choses sur l’histoire du Sénégal et de l’Afrique. Bien que je fusse Premier Prix d’Histoire à Van Vo et que j’aie continué depuis à m’intéresser à l’histoire de notre continent, restant l’étudiant qui ne laisse rien passer sans en profiter pour s’instruire, je le considère comme un des plus éminents maîtres de l’histoire de l’Afrique. Ibar Der a été à l’origine de la CAP 21, regroupement de plusieurs partis, qui a eu à me soutenir et soutenir ma politique. Si la dévotion inaltérable, la fidélité sans faille aux prescriptions du Tout Puissant, la générosité et la bonté vis à vis des autres, surtout les plus démunis, sont parmi les attributs qui nous font distinguer les fidèles, Iba der Thiam, toute sa vie, aura été un modèle du bon musulman. Je présente mes sincères et affectueuses condoléances à son épouse, Marième, à sa famille, ainsi qu’à tout le peuple sénégalais. Je prie Allah, le Tout Puissant, de lui accorder son pardon et de l’accueillir dans son paradis. Que la terre de Yoff, lui soit légère. Dakar, le 1 er Novembre 2020 Abdoulaye WADE, Ancien Président de la République du Sénégal
mercredi 4 novembre 2020
LE COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DES MINISTRES DU 04 NOVEMBRE 2020 4 novembre 2020 Dakar, 4 nov (APS) - Le Président de la République, son Excellence Macky SALL a réuni le conseil des ministres ce Mercredi 04 Novembre 2020 au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a adressé ses chaleureuses félicitations à l’ensemble des membres du Gouvernement, Ministres et Secrétaires d’Etat nommés par décret n°2020-2098 du 1er Novembre 2020. Il a rappelé que le Gouvernement en vertu de l’article 54 de la Constitution « conduit et coordonne la politique de la Nation sous la direction du Président de la République’’ De surcroit, ’’Le Gouvernement est une institution collégiale et solidaire’’ Le Gouvernement, qui bénéficie de la confiance du Président de la République est un collectif au service des populations. C’est donc une ’’Equipe d’attaque’’ qui doit incarner la vision du Chef de l’Etat et sa doctrine à savoir le ’’Fast Track’’. Chaque ministre, chaque Secrétaire d’Etat, chaque membre du Gouvernement est un pilier déterminant de l’action gouvernementale, un socle indispensable de l’excellence du travail gouvernemental. Le Chef de l’Etat a dès lors, invité le Gouvernement à asseoir en permanence, son accessibilité, l’écoute et la prise en charge optimale des aspirations des populations. Le Gouvernement doit maintenir à un haut niveau, les performances sectorielles et interministérielles dans la mise en œuvre des politiques publiques, à la satisfaction de nos concitoyens. Poursuivant sa communication, le Chef de l’Etat a exhorté les membres du Gouvernement de hisser le travail à un niveau de culte et de veiller à chaque instant à l’atteinte des résultats en privilégiant la gestion axée sur les résultats. Le Chef de l’Etat a indiqué qu’il faudra plus que jamais agir avec détermination, méthode, courage et résilience pour faire face aux défis complexes nés des incertitudes liées à la pandémie de la Covid-19. ’’Nous sommes, alors, plus que jamais dans le temps de la transformation et des réformes pour impulser et intensifier, dans tous les secteurs, la relance économique, et assurer la stabilité sociale durable » a indiqué le Président de la République. Dans la perspective de la continuité de l’action gouvernementale, le Chef de l’Etat a demandé aux nouveaux ministres de former sans délais leurs cabinets. Il a également indiqué la nécessité pour les membres du Gouvernement de veiller scrupuleusement, à l’assiduité, à la réactivité et à l’efficacité des cabinets ministériels. Le Chef de l’Etat a également instruit les ministres sectoriels concernés de tout mettre en œuvre pour assurer une exploitation et une rentabilisation optimale des ouvrages et infrastructures déjà réalisés et réceptionnés tels que le marché d’intérêt national, Arène Nationale, Dakar Aréna, Port de Foundiougne Dakhonga etc. Abordant la prochaine rentrée scolaire 2020-2021, le Chef de l’Etat a instruit les ministres en charge de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle de prendre toutes les dispositions nécessaires pour assurer une bonne rentrée scolaire et universitaire en veillant particulièrement à une orientation harmonieuse des nouveaux bacheliers. Sur la gestion des affaires de l’Etat, le Président de la République a rappelé aux ministres l’impératif de veiller à l’impulsion régulière, à la supervision permanente des activités gouvernementales et à la gestion vertueuse et transparente des ressources des administrations, établissements publics, agences et sociétés placés sous leurs tutelles ou sous leurs contrôles. Pour cela, instructions ont été données aux ministres de signer des contrats de performance avec les structures relevant de leur responsabilité. Abordant la prochaine campagne de commercialisation agricole le Chef de l’Etat a instruit le Gouvernement à prendre toutes les dispositions pour assurer un bon déroulement de celle-ci. Poursuivant sa communication le Président de la République a insisté sur les priorités suivantes : 1- La sécurité, la souveraineté alimentaire, la santé, l’éducation et la formation professionnelle. 2- La jeunesse, l’emploi et l’insertion socioéconomique des jeunes et des femmes 3- L’Artisanat et la transformation du secteur informel (érigé en ministère) pour intensifier les processus de valorisation du potentiel économique et du savoir-faire séculaire local 4- L’accélération d’une part des programmes d’inclusion et d’équité sociale et territoriale (Programme des bourses sécurité familiale, CMU, PUDC, PUMA, Promoville, PACASEN Urbain, PACASEN Rural et d’autre part, des réalisations d’infrastructures routières, portuaires ( Ndayane), aéroportuaires, ferroviaires, hydraulique et d’assainissement pour lutter efficacement contre les inondations. 5- La relance économique, l’industrialisation en mettant en exergue le produire et le consommer local, l’intensification des reformes de l’administration, l’amélioration de l’environnement des affaires et le développement du secteur privé. 6- L’exécution optimal du PAP2A qui traduit le programme « Liggeyal Euleuk » avec la réalisation du programme 5-3-5 à savoir les cinq initiatives, les trois programmes phares et les cinq accès universels. S’agissant de la mise en œuvre des quatre (4) agropoles, le Chef de l’Etat a indiqué toute l’importance qu’il accorde à leur mise en œuvre car étant des projets structurants et créateurs d’emplois. Il en est de même pour les Pôles Urbains et les dix (10) métropoles d’équilibre validés dans le Plan national d’Aménagement et de Développement territorial. Le Chef de l’Etat a terminé sa communication sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures en présentant, au nom de la Nation, ses condoléances les plus attristées à la famille du Professeur Iba Der Thiam. Le Chef de l’Etat s’incline devant la mémoire du Professeur Iba Der Thiam, Coordonnateur du projet de l’Histoire générale du Sénégal et a décidé de donner le nom du Professeur Iba Der Thiam, à l’Université de Thiès. Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Monsieur Maguette SENE, Administrateur civil, est nommé Directeur du Centre des Œuvres universitaires de Dakar (COUD) ; Monsieur Doudou KA, Ingénieur des Ponts et Chaussées, Expert en financements de projets, est nommé Directeur général de la Société « Aéroport International Blaise DIAGNE » (AIBD SA) ; Madame Thérèse FAYE DIOUF, Titulaire d’un Master II en Sociologie, est nommée Administrateur général du Fonds de Garantie des Investissements prioritaires (FONGIP) ; Monsieur Oumar NDOYE, Enseignant Chercheur, est nommé Président du Conseil d’Administration du Fonds de Garantie des Investissements prioritaires(FONGIP) ; Monsieur Moussa Bocar THIAM, Avocat, est nommé Agent Judicaire de l’Etat. Fait à Dakar le 04 Novembre 2020 Le Ministre des Collectivités Territoriales du Développement et de l’aménagement des territoires, Porte-Parole du Gouvernement Oumar GUEYE AKS Tweet
mardi 3 novembre 2020
lundi 2 novembre 2020
Sénégal: décès de l’éminent historien Iba Der Thiam Publié le : 01/11/2020 - 14:21 Le professeur Iba der Thiam, historien et auteur du livre «Le Sénégal dans la Guerre 14-18», est décédé dans la nuit de samedi à dimanche (photo d'illustration). RFI/Bineta Diagne Texte par : RFI Suivre 2 mn Le célèbre intellectuel sénégalais Iba Der Thiam est décédé samedi 31 octobre, dans la soirée, à l’Hôpital principal de Dakar, à l’âge de 83 ans. Professeur agrégé d’histoire, syndicaliste, parlementaire et homme politique, il a marqué le Sénégal et l’Afrique par ses écrits et par sa contribution à la vie démocratique de son pays. Le président Macky Sall a présenté ses condoléances pour cet « historien de notoriété mondiale » et « figure capitale du Sénégal contemporain ». PUBLICITÉ Avec notre correspondante à Dakar, Théa Ollivier Les hommages se multiplient ce dimanche matin, en mémoire d’Iba Der Thiam, éminent historien sénégalais décédé à Dakar. Cet enseignant à l’université Cheikh Anta Diop a marqué le Sénégal par ses nombreux ouvrages, notamment sur le syndicalisme. Membre du comité de l’Unesco chargé de rédiger l’Histoire de l’Afrique, il a aussi été coordonateur de L’Histoire générale du Sénégal à partir de 2013. Ce projet scientifique avait pour objectif de réécrire l’Histoire sénégalaise qui jusqu’à présent reflétait la vision coloniale française. Mais Iba Der Thiam est aussi connu pour son rôle politique. Leader syndical pendant près de 20 ans, il a aussi été ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur de 1983 à 1988. Fondateur du parti politique Convention des démocrates et des patriotes en 1992, il a également été député puis vice-président de l’Assemblée nationale. Entretemps, il s’est présenté à l'élection présidentielle de 2 000 qu’il perd au premier tour. Impliqué dans la vie politique, d’abord proche des anciens président Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, puis de l’actuel chef de l’État Macky Sall, il a continué, en parallèle, à former des générations d’historiens.
dimanche 1 novembre 2020
dakaractu / liste complète des membres du nouveau Gouvernement du président Macky Sall Fini le suspens, après plusieurs jours d’attente. Les Sénégalais qui attendaient la liste des membres qui vont former le nouveau gouvernement ont été édifiés. Dakaractu vous présente ces nouveaux ministres et Secrétaire d’État qui, selon le ministre Seydou Guèye, constitue ce ‘’gouvernement de combat et de résultats’’. Sont nommés ministres et secrétaires d'État, membres du Gouvernement : 1. Monsieur Sidiki KABA : Ministre des Forces armées, 2. Monsieur Abdoulaye Daouda DIALLO : Ministre des Finances et du budget ; 3. Monsieur Malick SALL : Garde des Sceaux, Ministre de la Justice; 4. Madame Aïssata TALL SALL : Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur ; 5. Monsieur Antoine Félix Abdoulaye DIOME : Ministre de l'Intérieur ; 6. Monsieur Mansour FAYE : Ministre des Infrastructures, des Transports temestres et du Désenclavement; 7. Monsieur Amadou HOTT : Ministre de l'Economie, du Plan et de la Coopération ; 8. Madame MariamA SARR : Ministre de la Fonction publique et du Renouveau du Service public; 9. Monsieur Abdoulaye DIOUF SARR : Ministre de la Santé et de l'Action sociale ; 10. Madame Ndèye Saly DIOP DIENG : Ministre de la femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants ; 11. Monsieur Oumar SARR : Ministre des Mines et de la Géologie; 12. Monsieur Moussa BALDÉ : Ministre de l'Agriculture et de l'Équipement rural; 13. Monsieur Serigne MBAYE THIAM : Ministre de l'Eau et de l'Assainissement : 14. Monsieur Alioune SARR : Ministre du Tourisme et des Transports aériens; 15. Monsieur Oumar GUÈYE : Ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l'aménagement des Territoires, Porte-Parole du Gouvernement : 16. Monsieur Mamadou TALLA : Ministre de l'Education nationale; 17. Monsieur Cheikh Oumar ANNE : Ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation; 18. Madame Sophie GLADIMA : Ministre du Pétrole et des Energies ; 19. Monsieur Samba NDIOBÈNE KA : Ministre du Développement communautaire, de l'Equité sociale et territoriale; 20. Monsieur Moustapha DIOP : Ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries; 21. Monsieur Alioune NDOYE : Ministre des Pêches et de l'Économie maritime: 22. Monsieur Samba SY : Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions ; 23. Monsieur Abdou Karim SALL : Ministre de l'Environnement et du Développement durable; 24. Monsieur Matar BA : Ministre des Sports ; 25. Monsieur Abdoulaye Seydou SOW : Ministre de l'Urbanisme, du Logement et de l'Hygiène publique : 26. Madame Aminata Assome DIATTA : Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes entreprises; 27. Monsieur Abdoulaye DIOP : Ministre de la Culture et de la Communication; 28. Monsieur Aly Saleh DIOP : Ministre de l'Elevage et des Productions animales; 29. Madame Néné Fatoumata TALL : Ministre de la Jeunesse; 30. Madame Zahra lyane THIAM : Ministre de la Microfinance et de l'Economie sociale et solidaire ; 31. Monsieur Dame DIOP : Ministre de l'Emploi, de la Formation professionnelle, de 1'Apprentissage et de l'Insertion; 32. Monsieur Papa Amadou NDIAYE : Ministre de l'Artisanat et de la Transformation du Secteur informel; 33. Monsieur Yankhoba DIATTARA : Ministre de l'Economie numérique et des Télécommunications; 34. Monsieur Moïse Diar Diégane SARR : Secrétaire d'Etat auprès du Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur, chargé des Sénégalais de l'extérieur ; 35. Monsieur Mamadou Saliou SOW : Secrétaire d'État auprès du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, chargé de la Promotion des Droits humains et de la Bonne gouvernance; 36. Monsieur Mayacine CAMARA : Secrétaire d'État auprès du Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, chargé du réseau ferroviaire : 37. Madame Victorine NDEYE : Secrétaire d'État auprès du Ministre de l'Urbanisme, du Logement et de l'Hygiène publique, chargé du Logement.
samedi 31 octobre 2020
vendredi 30 octobre 2020
jeudi 29 octobre 2020
Conseil des Ministres mer, 28 oct 2020 Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 28 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République. Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communication, adressé ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs vœux à la communauté musulmane à l’occasion du Maouloud. Il a, en outre, exprimé sa solidarité à la communauté catholique en perspective de la célébration de la Toussaint. Le Chef de l’Etat a, ensuite, informé le Conseil avoir présidé, le 22 octobre, la première Journée nationale de la Décentralisation. Il a félicité le Ministre des Collectivités territoriales, les présidents de conseil départemental et les maires pour leur mobilisation exceptionnelle et la pertinence des recommandations. Le Président de la République a réaffirmé la place primordiale de la décentralisation et de la déconcentration dans la modernisation de l’Etat et la transformation optimale de l’action publique, autour de principes directeurs suivants : proximité, subsidiarité, modularité, efficacité, progrès, équité sociale et territoriale. Revenant sur les enseignements et perspectives de cette Journée, qui est désormais une date repère dans le calendrier républicain, le Président de la République a invité le Ministre des Collectivités territoriales, le Ministre des Finances et du Budget, les ministres sectoriels, les élus et acteurs territoriaux, à veiller à la mise en œuvre accélérée et consensuelle des décisions présidentielles issues de cette Rencontre. Le Chef de l’Etat a, dans cet élan, signalé l’urgence de mettre à la disposition des collectivités territoriales, avant la fin de l’année 2020, les cinq (5) milliards mobilisés au titre du Fonds d’appui au Développement local, institué par le Code minier de 2016. Le Président de la République a également demandé au Ministre en charge des collectivités territoriales, en relation avec les ministres concernés, de finaliser le statut de l’élu local, de préparer, d’une part, l’organisation d’une table ronde pour le financement du PACASEN rural, estimé à 352 milliards de FCFA sur cinq (5) ans et, d’autre part, l’acquisition et l’installation, dans les communes, de 100.000 nouveaux lampadaires solaires. Le Chef de l’Etat, pour conclure sur ce chapitre, a exhorté les partenaires de la décentralisation à consolider l’harmonisation des actions de développement territorial et de coopération décentralisée ; à améliorer les systèmes d’information territoriale et à promouvoir la réalisation rapide d’un Cadastre rural numérisé. Le Président de la République, a exprimé sa compassion et sa solidarité aux familles éplorées par la disparition en mer de jeunes compatriotes. Il a par ailleurs, au sujet de la politique nationale de jeunesse et de promotion de l’emploi des jeunes, rappelé au Gouvernement la haute priorité qu’il consacre à la mise en œuvre, avec une action urgente de la DER, pour venir en appui aux jeunes concernés. Il a demandé au Ministre, en charge de la Formation professionnelle, et au Délégué général à l’Entreprenariat rapide des femmes et des jeunes, face à la recrudescence de l’émigration clandestine, d’orienter et de renforcer leurs programmes de capacitation et d’accompagnement de la jeunesse. Le Chef de l’Etat a, à ce titre, demandé au Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, ainsi qu’au Ministre de la Coopération, d’accélérer la mobilisation des ressources dédiées au programme de construction des 45 centres départementaux de formation professionnelle. Le Président de la République a aussi exhorté les ministres en charge de la Jeunesse et des finances de faire prendre toutes les dispositions pour engager la construction et la mise en service des Maisons de la Jeunesse et de la citoyenneté prévues dans tous les départements du pays. Il a, par ailleurs, requis l’intensification des interventions en faveur de l’employabilité et du développement de l’entreprenariat des jeunes. Le Président de la République, abordant la question du soutien de l’Etat aux acteurs privés et à la relance du secteur du Tourisme, a indiqué au Ministre du Tourisme l’urgence d’examiner avec les ministres et services compétents de l’Etat, les possibilités et modalités de prise en charge consensuelle des requêtes contenues dans le mémorandum du secteur privé touristique. Le Chef de l’Etat a, au titre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures demandé aux ministres de l’Agriculture et au Ministre du Commerce de préparer le lancement officiel, en novembre 2020, de la campagne de commercialisation de la production agricole. Le Chef de l’Etat a, enfin, invité le Gouvernement à veiller au renforcement permanent du dialogue entre les acteurs de la Communauté portuaire, en vue d’améliorer durablement les performances et la compétitivité du port autonome de Dakar, ainsi que l’environnement des affaires au Sénégal. Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République dans sa communication a fait le point sur le fonctionnement de la Commission de suivi, mise en place par le Chef de l’Etat, pour exploiter les décisions et recommandations de la cour des Comptes, suite au dépôt de leurs rapports 2015, 2016 et 2017. Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la mobilisation des ressources financières, l’exécution des dépenses du FORCES COVID-19, et l’exécution du budget. Le Ministre de l’Economie, du Plan et de la coopération a fait une communication sur la nécessité d’actualiser les données structurelles sur lesquelles se fonde l’élaboration des comptes nationaux. Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur la gestion de la pandémie de COVID-19. Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait le point sur le suivi des cultures, et l’exportation des produits horticoles. Il a également rendu compte de l’état de la mise en œuvre des directives du Conseil des Ministres du 23 septembre 2020. Le Ministre de l’Education nationale a fait le point sur les préparatifs de la rentrée scolaire prévue le 05 novembre pour les enseignants, l’administration et le 12 novembre 2020 pour les élèves. Le Ministre de l’Emploi, de la Formation professionnelle et de l’Artisanat a fait une communication sur le recensement des artisans devant bénéficier du soutien de l’Etat dans le cadre du Plan de Résilience économique et social (PRES). Le Ministre, en charge du suivi du Plan Sénégal Emergent a fait le point sur les avancées et la mise en œuvre des projets prioritaires. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : Projet de loi complétant la loi n°81-52 du 10 juillet 1981 portant code des Pensions civiles et militaires de retraites, modifiée ; Projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement du Campus franco-sénégalais (CFS). Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Madame Mariama TRAORE, Administrateur civil, matricule de solde n° 616 281P précédemment Préfet du Département de Saint-Louis, est nommé Préfet du Département de Louga, en remplacement de Monsieur Mamadou KHOUMA, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Mamadou KHOUMA, Administrateur civil, matricule de solde n° 517 781K précédemment Préfet du Département de Louga, est nommé Préfet du Département de Fatick, en remplacement de Monsieur Demba TOURE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Ousmane NIANG, Administrateur civil, matricule de solde n° 510 358B , précédemment Préfet du Département de Goudomp, est nommé Préfet du Département de Koungheul, en remplacement de Monsieur Abdou Khadre Ndiack NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Abdou Khadre Ndiack, Administrateur civil, matricule de solde n° 514 529D, précédemment Préfet du Département de Koungheul, est nommé Préfet du Département de Bakel, en remplacement de Monsieur Mamadou MBAYE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ; Monsieur Ibrahima FALL, Administrateur civil, matricule de solde n° 516 434E , précédemment Préfet du Département de Sédhiou, est nommé Préfet du Département de Goudomp, en remplacement de Monsieur Ousmane NIANG, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Modou NDIAYE, administrateur civil, matricule de solde n°516 238/C, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Dakar, chargé des affaires administratives, est nommé Préfet du Département de Saint-Louis en remplacement de Madame Mariama TRAORE, appelée à d’autres fonctions ; Madame Ngoné CISSE, administrateur civil, matricule de solde n°661 356/C, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Thiès, chargée des affaires administratives, est nommée Préfet du Département de Sédhiou en remplacement de Monsieur Ibrahima FALL, appelé à d’autres fonctions Monsieur Mbaye DIONE, Administrateur civil, matricule de solde n° 661 346/D, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Ziguinchor, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Dakar chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Modou NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Babacar NIANG, Administrateur civil, matricule de solde n° 681 544/F, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Ziguinchor, chargé développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Dakar chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Mbaye DIONE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Maurice Latyre DIONE, Administrateur civil, matricule de solde n° 611 935/E, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Sédhiou, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Thies chargé des affaires administratives, en remplacement de Madame Mame Ngoné CISSE, appelé à d’autres fonctions ; Monsieur Modou GUEYE, Administrateur civil, matricule de solde ° 681 541/C, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Sédhiou, chargé développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Sédhiou chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Maurice Latyre DIONE, appelé à d’autres fonctions ; Madame Fatou Moctar FALL, Administrateur civil, matricule de solde n° 681 543E précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Saint-Louis, chargé développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Tambacounda chargé des affaires administratives, poste vacant ; Madame Safiatou Joséphine DIENG, Administrateur civil, matricule de solde n° 696 368E précédemment Chef du Bureau de suivi au Secrétariat général du ministère de l’Intérieur, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Ziguinchor chargé développement, en remplacement de Monsieur Babacar NIANG, appelé à d’autres fonctions
mercredi 28 octobre 2020
mardi 27 octobre 2020
Caricature contre De Gaulle : Quand la France censurait Charlie Hebdo Par: Babacar WILLANE - Seneweb.com | 28 octobre, 2020 à 01:10:42 Caricature contre De Gaulle : Quand la France censurait Charlie Hebdo La France se montre si déterminée à poursuivre les caricatures insultantes contre le Prophète Mouhamed. Pourtant, ‘’le pays de la liberté’’ a voulu liquider Charlie Hedbo, parce que simplement le journal avait caricaturé De Gaulle. « Nous ne renoncerons pas aux caricatures, aux dessins, même si d'autres reculent ». Tel a été le verdict du président français Emmanuel Macron, mercredi dernier lors de la cérémonie d’hommage à Samuel Paty, le professeur décapité aux abords de son école à Nantes pour avoir montré à ses élèves une caricature de Charlie Hebdo sur le Prophète Mouhamed (Psl). Ainsi, le premier des Français semble inscrire sur du marbre cette liberté de caricaturer, même si on blasphème la référence de près de 2 milliards d’individus dans le monde. Pourtant, la France a eu à interdire des journaux simplement parce qu’ils ont caricaturé. D’ailleurs, ce même journal Charlie Hedbo qui s’appelait Hara-Kiri à l’origine a été interdit de parution en 1970. « À la suite de la fameuse « une » ‘’Bal tragique à Colombey – 1 mort’’, parue le 16 novembre 1970, après la disparition du général de Gaulle, Hara-Kiri a été interdit de vente aux mineurs, officiellement pour avoir publié des bandes dessinées pornographiques », écrit le journal Le Monde dans son magazine du 19 septembre 2020 à la page 38. En réalité, souligne Le Monde, les ‘’bandes dessinées pornographiques’’ n’étaient qu’un prétexte, l’arrêté avait pour but d’interdire la parution du journal. « Tous voient dans le motif invoqué par les autorités un simple prétexte dissimulant ‘’une censure politique qui n’ose dire son nom’’», mentionne le magazine. Ainsi donc, en 1970, la France, terre de liberté, a liquidé l’ancêtre de Charlie Hedbo, parce que tout simplement elle a fait des caricatures sur la mort du général De Gaulle. Ministre de l’Intérieur à l’époque, Raymond Marcellin déclare : «Pour éviter toute équivoque à l’avenir, j’ai prescrit aux services compétents de toujours motiver ces arrêtés. (…) La liberté de la presse sera d’autant mieux garantie dans notre pays que les abus aussi grossiers que ceux qui ont été incriminés seront réprimés conformément à la loi. » Le certificat de décès est donc désormais officiel. Pour ne pas laisser le journal mourir, Les éditions du Square qui gère le titre ont décidé de créer un supplément hebdomadaire dénommé Charlie, «afin de pouvoir continuer à faire face à leurs engagements financiers et permettre aux collaborateurs de l’ex-Hebdo Hara-Kiri, ainsi qu’aux autres employés de la société, de ne pas perdre leurs moyens d’existence ». En vérité, ce subterfuge était juste un moyen de relancer le journal sous un autre nom. D’aucuns disent même que le nom de Charlie vient du fait que l’équipe de Hara-Kiri voulait narguer le gouvernement qui a censuré le journal. Ils ont voulu le nommer Charles en référence à Charles De Gaulle, mais ils ont compris que ça n’allait pas prospéré. Ils ont donc opté pour Charlie. Contre l’armée et Mme Pompidou Trois ans après cette première censure, Charlie Hedbo sera poursuivi en justice. En mai 1973, le journal a publié une série de bandes dessinées intitulées ‘’Les aventures de Mme Pompidou’’. Le dessinateur n’est autre Cabu, l’une des victimes des attentats de Charlie Hedbo le 7 janvier 2015. Le caricaturiste et son journal seront condamnés à des peines d’amende. Et c’est loin d’être fini. « Six ans plus tard, revoici les mêmes devant la justice, cette fois pour ‘’injures envers l’armée’’ », rapporte encore le magazine du Monde à travers la plume de Agnès Gautheron. Le journal de l’irrévérence sera à nouveau condamné. Le Monde qui semble se solidariser rend compte de l’affaire avec un titre ironique : «Pour 15 200 francs, l’armée est lavée de ses injures. » En 1981, Charlie Hedbo disparaît, parce que intéressant de moins en moins les Français. De 500 mille exemplaires par semaine de 1970 à 1974, les ventes ne cessent de chuter jusqu’à la disparition. Ce n’est que 10 ans plus tard que le journal refait surface. Non sans difficulté. Il avait même commencé à sombrer à nouveau traversant des difficultés financières avant que l’attentat perpétré par les frères Kouachi ne lui offre un second souffle. C’est cette France là qui n’accepte pas des caricatures contre De Gaulle, Mme Pompidou et l’armée qui défend aujourd’hui Charlie pour les caricatures sur le Prophète Mouhamed. C’est dire donc si l’élite française (politiques, intellectuels, médias) s’attache à la production du journal ou bien si ce sont les insultes contre l’Islam et le Prophète qui fait plaisir.
lundi 26 octobre 2020
Lettre à Monsieur le Président Macron: Mawluud ne rime point avec Caricatures, ni Islam avec Violence (Par Pr Malick Ndiaye) senegal7.com De la Question de principe La solidarité proactive, la compassion sincère, sinon les Condoléances attristées, à la famille et aux Parents, aux Enseignants, aux Citoyens et au Peuple de France ne sont pas négociables. Autrement dit, c’est bien à l’Humanité entière de prendre ses responsabilités concernant les termes et les circonstances ainsi que les conditions de la disparition du Professeur Samuel Paty, dont nous saluons la mémoire… Telle est la première raison pour laquelle M. le Président Macron devrait s’éviter le dérapage de M. Sarkozy à Dakar, en juillet 2007, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Mieux, le Président Macron devrait faire dans les meilleurs délais – et nous espérons que le Président Macky Sall l’instruira dans ce sens -, son autocritique concernant ses déclarations troublantes relativement aux Caricatures du Prophète Mohammad dans le système éducatif français. Et pour cause ! En aucun cas, l’Islam ne saurait se confondre avec la Violence ni le Terrorisme : « Laa Ikraha Fii Diini Qad Tabayna Rushd Minal Khay/Il n’est point de contrainte en religion. Le Vrai est désormais distinct de l’erreur…. » (Sourate n° 2, Al-Baqarah, v. 256). Moyennant quoi, au cas où il y aurait dans ce cas vraiment regrettable du Professeur Samuel Paty, un détournement de la Religion musulmane à des fins politiques partisanes, idéologiques, ethniques ou raciales, etc., ce dérapage ne saurait justifier d’houspiller ou de s’en prendre à l’Islam ni aux Musulmans, A Nani ? Qui plus est, un Islam dont la démarche Djihaadu Nafsique a été réhabilitée et assumée jusqu’au bout par Ahmadou Bamba le 5 septembre 1895, devant le Gouverneur Général Mouttet et le Conseil privé des 4 Communes, du Régime de l’Indigénat et de l’ex-Colonie du Sénégal et dépendances, à Saint-Louis du Sénégal. Monsieur le Président de la France, pays ami et allié du Sénégal, notamment durant la première et la seconde guerre mondiale, il nous faudrait éviter présentement de compromettre la Paix des religions et des ethnies, des races et des cultures dans le monde, mais aussi pour ne pas exposer davantage et son pays et ses concitoyens, notamment dans les pays musulmans du monde entier. Pour une Pédagogie de la Réformation du Monde et une Didactique de la Réorganisation des Relations internationales Monsieur le Président, ce vers quoi le monde devrait, en effet, tourner le regard et partager, ce devrait être plutôt sur des Approches rigoureuses et concertées d’une Pédagogie de la Réformation inévitable du monde actuel, sans oublier l’élaboration concertée au niveau planétaire d’une Didactique de la Réorganisation des Relations internationales, non ? Autant de choses, Monsieur le Président, qui appellent une Recomposition des Savoirs d’une Humanité aujourd’hui dispersée et émiettée ; et ce, avec comme Objectif le Réenchantement de l’Univers, d’une part, et d’autre part, l’Accomplissement de l’Homme comme Finalité. Autrement dit, Monsieur le Président – et quel que soit alpha -, si à quelques jours seulement du Mawluud Nabi, décapiter un Citoyen français au nom de l’Islam, sinon de toute autre religion en pleine rue, jamais au grand jamais ne pourra s’autoriser de l’Islam ni des Religions révélées (y compris Tawraat et Injiila) , il n’est pas interdit de penser – pour les mêmes raisons -, que vouloir justifier et légitimer les caricatures de Mohammad Ibn Abdallah, de Jésus ou d’Abraham ou de Moïse, de Thierno Souleymane Baal, sinon de Serigne Tuuba et d’El Hadj Malick, de Monseigneur Thiandoum et de Jean-Paul II ou de l’Abbé Léon Diouf, etc., de la part d’un Président de la République française en plein XXI ème siècle, appelle un examen rigoureux des prémisses doctorales et des conséquences doctrinales… Et ce, autant dans votre pays et en Europe que chez nous au Sénégal, en Afrique de l’Ouest et au Maghreb comme dans le monde entier… Partant, ce qui est à l’ordre du jour dans le monde et ce qu’on est en droit d’attendre de la France des Lumières, ce n’est point l’Invective d’Etat ni la disqualification des Religions universelles, mais plutôt une invite à la Recomposition des Savoirs et à la Réformation des sociétés de l’Homme partout dans le monde ; à commencer par les pays dits « développés » et/ou les nations « riches »… Sans oublier, évidemment, l’urgence et la nécessité d’une évaluation concertée des Relations internationales destinée à reconsidérer les formules et les systèmes d’une Gouvernance universelle qui n’aura nullement donné les résultats escomptés depuis la fin de la dernière guerre. Une Réorganisation du Monde, à commencer par les Nations Unies, la Banque Mondiale, l’OMS, etc., voilà ce qui est de vous attendu, nullement l’érection des Caricatures de Mohammad en symboles de la Liberté d’expression dans l’univers éducatif de la France et/ou du monde ! En un mot, Monsieur le Président, la Mal Gouvernance d’un Monde de l’Homme totalement déconnecté de la Nature, de l’Environnement et des Territoires, laquelle aura conduit l’Humanité entière à la pandémie dite de la Covid-19, nous interpelle tous et toutes. Alors, Lu Waraal Lu Bonn ? Non et non ! Excellence, Monsieur le Président Macron Assumer publiquement, et devant le monde entier, une défense et illustration des caricatures du Prophète Mohammad au nom de la « Liberté d’expression », n’est-ce pas en rajouter aux problèmes gigantesques qui agitent le monde aujourd’hui ? N’est-ce pas, de quelque manière, exposer les Français partout où ils pourraient se trouver, y compris en France ? Réveiller les démons de l’Anti-Islamisme radical, ne reviendrait-il pas à encourager le Terrorisme et le Djihadisme, y compris dans votre propre pays ou en Europe, comme dans le Sahel comme en Afrique de l’Ouest… ? En d’autres termes, si la Solidarité proactive avec le monde enseignant de l’ex-Métropole comme avec la Citoyenneté de la France des Lumières et du Progrès doit être affirmée et actée dans tous les pays du globe – car la chose n’est pas discutable ni négociable – à l’inverse, quid de l’institutionnalisation des caricatures du Prophète de l’Islam dans le système éducatif, académique et universitaire de votre pays ? Toutes nos Condoléances donc au Peuple de France et à l’intelligentsia internationale. Encore faudrait-il – cela va de soi – bien faire la différence entre la culture livresque des Diplômés et les valeurs morales et les vertus éthiques des Intellectuels dont la motivation première consiste dans l’élévation de l’Humanité au-dessus de l’Animalité des Bayyima et des Rab, des Rawhaan et des Lupus… Autrement dit, Monsieur le Président, cestui-là qui promet de consolider et d’étendre les caricatures de Mohammad Ibn Abdallah dans le système éducatif, académique et universitaire français, voire dans tous les pays francophones du monde – et ce, à quelques jours seulement du Gamou, du Mawlid ou encore Mawluud Nabi – jusqu’où disons-nous, cette personnalité mériterait-t-elle il de recevoir des condoléances de la part d’une Humanité irritée et vexée par vos propos ? De l’Humanisme universel du Réenchantement qui accompagne la Recomposition des Savoirs Monsieur le Président, nos deux pays France et Sénégal appellent des rapports de Nawlé entre l’ex-Métropole et le pays de Senghor et de Mamadou Dia, de Khadimu Rassoul et de Mawdo Malick Sy, c’est-à–dire des rapports de vérité et de sincérité, et non de Colon/Colonisé, Maître/Esclave, Citoyen français/Sujet Indigène, de Buur et de Baadoolo ! Monsieur le Président, ne troublons donc point aucunement la stabilité d’un monde déjà confronté à des défis majeurs qui appellent une solidarité internationale sans faille entre toutes les nations du monde ; et ce, au-delà des questions de religions et de croyances, d’ethnies ou de races et de nationalité… Une Humanité confrontée à des problèmes récurrents et graves, y compris dans les pays dits « développés » et les nations jugées « prospères » – je me permets de vous rappeler les manifestations de plusieurs millions de « Gilets Jaunes » dans votre propre pays, ok ? Au total, je me permets d’espérer que le Président Macky Sall communiquera avec vous concernant les conséquences probables de votre sortie sur les caricatures Mohammad Ibn Abdallah, non seulement dans notre pays, mais dans la sous-région, mais aussi dans le monde entier sans doute… Autrement dit, l’urgence et la nécessité d’une Recomposition universelle des Savoirs destinée à promouvoir le Réenchantement d’une Humanité réconciliée avec les prolégomènes et des Révélations et des Lumières, voilà ce que nous attendons de vous et de votre Nation historique de l’Humanisme de la Renaissance et du Siècle des Lumières ! Et pour cause ! Dans une situation mondiale marquée par des tensions politico-ethniques au Mali, en Guinée et en Côte d’Ivoire, entre autres religieuses, comme aux Etats-Unis ou en France – n’est-ce pas ? – il ne s’agit point d’en rajouter en dressant les peuples musulmans de la planète contre les Français et/ou la France. Même s’il est vrai que la France est votre pays, il n’est pas moins vrai que le Sort des Français concerne l’Humanité globalement considérée. Autrement dit, que ce soit en France métropolitaine ou en Afrique noire, au Moyen-Orient et au Maghreb ou en Asie, dans la Péninsule arabique ou en Amérique Latine et aux USA, l’Homme aura toujours le souci de la Protection et de la Prévention selon les préceptes de l’Evangile et du Nouveau Testament : « Aime ton Prochain comme toi-même », « Ne fais pas à Autrui, ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse » ! L’Humanité dans un Guutë, Mbaa Ng’iro Ci Biir Guutë Comment s’en sortir, sinon par une réhabilitation raisonnée d’une 6 ème Science qui aura été visiblement ratée jusqu’ici, notamment en France ? Et ce, à partir du moment où un Président de tous les espoirs en matière de Renouvellement de la classe politique française, aura repris sans aucun discernement apparent, les thématiques ayant mené l’Humanité dans un Guutë sans précédent ! Alors ? En avant pour une Recomposition des Savoirs du monde entier en vue d’un Réenchantement de l’Humanité comme précondition pour la sortie du Guutë et/ou de la fin du Ng’iro. Mais, à quelques jours du Gamou, il y a lieu de rappeler que Mawluud ne rime point avec Caricatures du Prophète ! Ni en France ni au Sénégal. Merci donc Président Macron. Encore toutes nos Condoléances à votre Nation des Lumières, mais Vigilance et Discernement ! Pr. Malick Ndiaye, Sociologue, Coordonnateur du Comité d’Initiatives des Intellectuels du Sénégal – CIIS et Directeur du Laboratoire de Prospective et de Science des Mutations du Département de Sociologie, FLSH, UCAD et de la Revue Africaine de Stratégie de Prospective Cours nouveau, Fait à Dakar, le 25 octobre 20
TRAVAUX DU TER : COLÈRE NOIRE DE THIAROYE GARE CONTRE L’APIX Par: Seneweb News - Seneweb.com | 26 octobre, 2020 à 16:10:26 TRAVAUX DU TER : COLÈRE NOIRE DE THIAROYE GARE CONTRE L’APIX Les désagréments causés par les travaux du Train Express Régional (TER) à Thiaroye Gare ont fait sortir les populations de leur gond. Menaçant de descendre dans la rue, si l’APIX continue de faire la sourde oreille à leurs revendications, elles réclament la construction de passerelles qui est devenue une urgence sociale pour cette zone. Selon L’AS, leur porte-parole, Libasse Diagne, a tiré à boulets rouges sur le Directeur général de l’APIX, en l’occurrence Mountaga Sy, qui, dit-il, n’a respecté aucun de ses engagements. D’ailleurs, à l’en croire, la localité de Thiaroye Gare sera coupée du reste du monde avec la traversée du TER et l’éventuelle construction du mur du camp militaire
vendredi 23 octobre 2020
"Kaaw Cheikh", un film-mémoire consacré au patriarche Cheikh Hamidou Kane Par: APS - APS | 23 octobre, 2020 à 11:10:37 | Lu 1200 Fois | 17 Commentaires "Kaaw Cheikh", un film-mémoire consacré au patriarche Cheikh Hamidou Kane Le réalisateur sénégalais, Moe Sow, retrace le parcours de l’écrivain et homme d’Etat Cheikh Hamidou Kane, 92 ans, à travers un film documentaire consacré aux convictions de l’auteur de "L’Aventure ambiguë", son regard sur le monde actuel et sur le devenir du Sénégal et de l’Afrique. D’une durée de 52 minutes, ce film intitulé "Kaaw Cheikh’’ (oncle Cheikh) a été projeté à Dakar, à l’Institut supérieur des arts et de la culture (ISAC). Il propose des va-et-vient sur la vie de ce descendant de Alpha Ciré Kane de Matam, "un homme qui a marqué son temps et la vie sociale, politique et économique de son pays, le Sénégal, et de son continent, l’Afrique", dit de lui le journaliste Mamadou Ibra Kane, un des producteurs exécutifs du film. Le cinéaste s’attarde, dès l’entame du film, sur une époque matérialisée par un vieux poste radio et une télévision d’époque diffusant tour à tour un entretien accordé par l’écrivain au journaliste, dans lequel le premier revient sur la genèse et le contenu de ses deux livres ayant marqué son parcours littéraire à savoir "L’Aventure ambiguë", un classique publié en 1961 et traduit en plusieurs langues, et "Les gardiens du temple" (1995). Le documentaire "Kaaw Cheikh" est un film biographique qui incite, dans le même temps, à la découverte du terroir de Cheikh Hamidou Kane, la région de Matam et la zone du fleuve Sénégal, symbole de l’enracinement de tous les "Foutankés". Cette incursion dans cet univers culturel déterminé justifie le rappel constant de la filiation de Cheikh Hamidou Kane par son griot de naissance, le musicien et chanteur Samba Ciré Guissé, dont le récit est ponctué de la voix permanente du chanteur pulaar Baaba Maal, un choix qui contribue à faire de la musique un personnage central dans le film. Le film se veut aussi une fenêtre sur des évènements marquants de la vie politique du Sénégal postindépendance, notamment la crise de 1962 dont Cheikh Hamidou Kane fut un témoin important. Il donne sa version des faits sur cette crise politique, comme l’ont fait d’autres avant lui, dans par exemple "Président Dia" (2012) du réalisateur Ousmane William Mbaye, un document historique qui a contribué à une meilleure compréhension des enjeux de l’époque et même d’aujourd’hui, à travers la confrontation entre le premier président du Sénégal indépendant, Léopold Sédar Senghor, et le président du Conseil Mamadou Dia. Ce dernier, accusé d’avoir voulu perpétré un coup d’Etat, fut arrêté, jugé et mis en prison avant d’être élargi quelques années plus tard. Cheikh Hamidou Kane ayant pris parti pour ce dernier, démissionne de la Fonction publique depuis Monrovia où il était affecté à l’ambassade du Sénégal au Libéria. Le film est aussi agrémenté de témoignages recueillis lors de la célébration des 90 ans de l’auteur et du colloque organisé en son honneur en 2018 sur le thème "Cheikh Hamidou Kane. Questions d’avenir". L’intérêt du film tient aussi au fait que des personnalités de renom y sont revenues sur leurs liens avec l’écrivain, comme l’historien guinéen Djibril Tamsir Niane, compagnon de longue date de Cheikh Hamidou Kane. Il compte aussi sur la valeur des témoignages de proches de l’écrivain - le ministre Abdoulaye Elimane Kane, philosophe et écrivain lui aussi, ses enfants -, et surtout de ses lecteurs situés dans des pays d’outre-Atlantique et qui s’identifient à Samba Diallo, personnage principal de son célèbre roman ’’L’Aventure ambigüe’’. Le documentaire "Kaaw Cheikh", qui s’appuie sur une démarche pédagogique, tente de lever un coin du voile sur les convictions politiques de Cheikh Hamidou Kane, qui a toujours cherché à savoir "comment lier le bois au bois ?". Il essaie également de traduire son regard sur le monde d’aujourd’hui et le devenir du Sénégal et de l’Afrique. Moe Sow a déjà produit un film sur le mythique groupe de musique sénégalais "Xalam" et compte sortir un autre sur le batteur Doudou Ndiaye Coumba Rose, autant de projets comptant pour son entreprise d’archivage de la mémoire culturelle du Sénégal. "Je favorise en tant que cinéaste d’archiver notre histoire. Les autres viennent nous les prendre, nous sommes assis dessus et restons là à faire des séries et autres. Il faut que l’on documente notre propre histoire, il faut que les jeunes puissent voir ces histoires, puisqu’ils ne lisent pas beaucoup", indique le cinéaste
jeudi 22 octobre 2020
LE COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DES MINISTRES DU 21 OCTOBRE 2020 21 octobre 2020 à 22h24min88444%Tags: Dakar, 21 oct (APS) - Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 21 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République. Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communication, abordé la question de l’intensification du processus d’industrialisation au Sénégal. Il a, à ce titre, demandé aux Ministres en charge de l’industrie et de l’économie de finaliser l’actualisation consensuelle de la Stratégie nationale de Développement industriel, tout en invitant le secteur privé à relever, avec le Gouvernement, le défi de l’industrialisation. Le Chef de l’Etat a également indiqué aux Ministres en charge de l’industrie et de la Coopération, l’urgence d’assurer le développement soutenu de la deuxième phase de la plateforme industrielle de Diamniadio, en veillant à la fixation, avec les acteurs institutionnels et partenaires, de ses modalités de gestion. Le Président de la République a, au titre de la mise en place des agropoles pour intensifier l’aménagement et le développement territorial, demandé aux ministres sectoriels impliqués de prendre les dispositions appropriées pour la réalisation des quatre (4) agropoles prévus dans les zones et collectivités territoriales ciblées. Il a aussi rappelé au Conseil, qu’il rencontrera, le jeudi 22 octobre 2020, les élus territoriaux, à l’occasion de la tenue de la 1ère édition de la Journée nationale de la Décentralisation. Le Président de la République, revenant sur le développement des activités des minoteries installées au Sénégal, a signalé au Ministre du Travail l’importance d’accorder une attention particulière à la situation des travailleurs dans les grandes entreprises de ce secteur fortement créateurs de richesses et d’emplois ; Le Chef de l’Etat a, enfin, invité le Ministre du Commerce et le Ministre de l’Industrie à travailler de concert avec les industriels, les boulangers et les opérateurs économiques actifs dans le domaine, afin de faire du secteur de la minoterie, un pilier essentiel de la politique du « Produire et du Consommer local ». Le Président de la République, abordant la mobilisation optimale des ministères durant la session budgétaire, relative à l’examen du projet de loi de finances pour l’année 2021, a rappelé au Gouvernement l’impératif, pour chaque ministre, d’œuvrer, avec ses services, pour une participation de qualité aux travaux de l’Assemblée nationale. Le Chef de l’Etat a, au chapitre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, magnifié les brillants résultats des enseignants-chercheurs sénégalais à l’issue des travaux de la 42ème session des Comités consultatifs interafricains du CAMES. Il a, dans cette dynamique, engagé les ministres concernés, en relation avec les autorités académiques à veiller à la préservation de certains enseignements spécifiques dans nos universités, ainsi qu’à la réorganisation académique de nombreuses formations dans des établissements publics spécialisés en adéquation avec les besoins et l’environnement. Le Président de la République a, notamment, invité le Ministre de l’Education, en relation avec le Ministre de la Famille, à mener des concertations avec les représentants des associations de maîtres coraniques, pour le traitement de leurs doléances dans le cadre de la consolidation du système éducatif et de la stabilité sociale. Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, félicité et exhorté les établissements de crédits à poursuivre les initiatives visant à accorder aux entreprises et aux salariés des reports d’échéances sur les encours de crédits jusqu’en fin 2020. Le Président de la République, pour conclure ce chapitre, a requis des Ministres en charge de l’Environnement et de la Géologie, un rapport exhaustif sur les risques géologiques qui menacent certains sites de la capitale et d’autres localités du pays. Le Chef de l’Etat a, abordé le suivi de la coopération et des partenariats en informant le Conseil des initiatives visant la réhabilitation et l’amélioration de l’exploitation de la ligne ferroviaire Dakar-Bamako. Le Président de la République a terminé sa communication sur son agenda diplomatique. Au titre des Communications, Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République dans sa communication sur la cérémonie d’ouverture des Ateliers thématiques du forum portant sur le « Bilan d’étape du Code minier de 2016 » qui s’est tenu à Diamniadio le 13 octobre 2020 sous sa présidence. Le Ministre des Finances et du Budget a rendu compte de la mobilisation des ressources financières, des dépenses liées à la pandémie de la COVID-19 et de l’exécution du budget Le Ministre du Développement communautaire, de l’équité sociale et territoriale a fait une communication sur l’évaluation du Programme national de Bourse de Sécurité familiale. Le Ministre des Infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement a fait une communication portant sur la modernisation, la sécurisation et la rationalisation des services délivrés aux usagers des transports routiers. Le Ministre de la Santé et de l’action sociale a fait une communication sur la gestion de la pandémie, sur la démobilisation de certains centres de traitement épidémiologiques (CTE). Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait le point sur la situation de la pluviométrie, le suivi des cultures, les exportations des produits horticoles. Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a fait une communication sur le système LMD, la restructuration de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et le Campus franco- sénégalais (CFS). Le Ministre, en charge des Collectivités territoriales a fait le point sur l’organisation prochaine de la première journée de la Décentralisation qui se tiendra à Diamniadio le 22 octobre 2020. Le Ministre du Développement industriel a fait le point sur les agropoles et sur l’actualisation de la politique industrielle. Le Ministre en charge des Relations avec les Institutions a fait le point sur l’agenda de la session budgétaire. Le Ministre, en charge du suivi du Plan Sénégal Emergent a fait le point sur les avancées et la mise en œuvre des réformes. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : - Le projet de décret fixant les modalités de participation des investisseurs sénégalais dans les entreprises intervenant dans les activités pétrolières et gazières et classement des activités de l’amont pétrolier et gaziers dans les régimes exclusif, mixte et non-exclusif ; - Le projet de décret portant organisation fonctionnement du comité national de suivi du contenu local (CNSL) dans le secteur des hydrocarbures ; - Le projet de décret fixant les modalités d’alimentation et de fonctionnement du fonds d’appui au développement du contenu local (FADCL). Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes : Monsieur Mbaba Coura NDIAYE, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde de solde n°513.808/I, précédemment Ministre- Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Beijing, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, avec résidence à Ouagadougou, en remplacement de Madame Khadidiatou Tall DIAGNE ; Monsieur Serigne DIEYE, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde de solde n°518.082/E, précédemment Ministre-Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Ottawa, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Abdelmajid TEBBOUNE, Président de la République Algérienne Démocratique et Populaire, avec résidence à Alger, en remplacement de Madame Anta Coulibaly DIALLO ; Monsieur Mame Oumar THIAW, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°616.206/C, précédemment Ministre- Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Washington, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Ali Bongo ONDIMBA, Président de la République gabonaise, avec résidence à Libreville, en remplacement de Monsieur Abdoul Ciré DIA ; Monsieur Saliou Niang DIENG, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°606.898/E, précédemment Ministre- Conseiller à Représentation permanente du Sénégal auprès des Nations Unies à New York, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Hassan ROHANI, Président de la République Islamique d’Iran, avec résidence à Téhéran, en remplacement de Monsieur Amadou SOW ; Madame Fatoumata Binetou Rassoul CORREA, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°604.132/J, précédemment Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal en République fédérative du Brésil, est nommée Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Marcelo Rebelo de SOUSA, Président de la République portugaise, avec résidence à Lisbonne, en remplacement de Monsieur Cheikh Amadou Tidiane NDOYE ; Monsieur Paul Benoit SARR, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°518.962/G, précédemment Ministre-Conseiller à l’Ambassade du Sénégal au Caire, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Mahamadou ISSOUFOU, Président de la République du Niger, avec résidence à Niamey, en remplacement de Monsieur Oumar MAL ; Madame Rokhaya BA, matricule de solde n°660.670/A, précédemment Consul général du Sénégal à Milan, est nommée Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, Président de la République togolaise, avec résidence à Lomé, en remplacement de Madame Bineta Samb BA. Fait à Dakar le 21 octobre 2020 Le Ministre, Porte-Parole du Gouvernement Ndèye Tické Ndiaye DIOP OID Tweet
mercredi 21 octobre 2020
mardi 20 octobre 2020
lundi 19 octobre 2020
vendredi 16 octobre 2020
jeudi 15 octobre 2020
Conseil des Ministres mer, 14 oct 2020 Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 14 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République. Le Chef de l’Etat, à l’introduction de sa communication, s’est réjoui de la brillante réélection du Sénégal par l’Assemblée générale des Nations unies comme membre du Conseil des Droits de l’Homme pour un nouveau mandat de trois (3) ans, avec un score 188 voix sur 190, soit 99% des votes valablement exprimés, score le plus élevé. Cette reconnaissance des Nations unies, confirme le rayonnement international du Sénégal en matière de démocratie, de libertés publiques, de justice, de protection et de respect des droits de l’Homme. Le Chef de l’Etat a, ensuite, évoqué le renforcement de la veille dans la gestion de la pandémie de la COVID-19. A cet effet, il a notamment demandé aux Ministres en charge de la Santé, de l’Intérieur, des Forces armées et des Transports aériens, de veiller, particulièrement, au niveau de nos frontières, à la maîtrise des cas importés qui se sont multipliés au cours de ces dernières semaines. Il a demandé au Gouvernement d’accentuer la sensibilisation des populations pour éviter une nouvelle vague de contamination Le Président de la République a, par ailleurs, informé le Conseil de la célébration, le 16 octobre 2020, de la journée internationale de l’alimentation sur le thème : « Cultiver, nourrir, préserver. Ensemble, agir pour l’avenir ». A ce titre, il a engagé les ministres concernés à consolider la dynamique de concertations avec l’ensemble des acteurs, en vue de renforcer la souveraineté alimentaire du Sénégal, la politique de nutrition, de même que l’ancrage systématique de la doctrine du « Produire et du Consommer local ». Le Chef de l’Etat a, dans cet élan, exhorté le Gouvernement à organiser, pour toutes les filières, une bonne campagne de commercialisation agricole. Le Président de la République, revenant sur la transformation de l’économie informelle, afin d’asseoir l’émergence, a signalé au Gouvernement, l’urgence de bâtir des stratégies innovantes d’encadrement, de financement et de promotion de l’auto-entreprenariat, l’autonomisation des femmes, afin de préserver durablement les activités économiques et la stabilité sociale globale. Le Chef de l’Etat a, dans cet esprit, rappelé sa décision de mettre en place, depuis 2018, la Délégation Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) dont les interventions depuis sa création, se situent à 57,78 milliards FCFA de financements accordés à plus de 105 000 bénéficiaires et 95 000 bénéficiaires indirects . Le Président de la République a, au chapitre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, demandé au Ministre de la Culture de procéder, avec toutes les parties prenantes, à l’évaluation institutionnelle et financière de la SODAV et à la mise en place, fonctionnelle, de la Commission permanente de Contrôle des sociétés de gestion collective. Le Chef de l’Etat a, en outre, invité le Ministre en charge du Cadre de vie, à intensifier le déploiement national des actions et projets du programme « Zéro déchet », après avoir salué les résultats encourageants déjà obtenus. Le Président de la République a, par ailleurs, réitéré au Ministre de l’Eau et de l’Assainissement, ses directives relatives à l’évaluation et à l’actualisation de la réforme de l’hydraulique rurale, par rapport à l’application effective des engagements pris par le secteur privé dans le cadre des délégations de service public de l’eau potable. Le Chef de l’Etat s’est également félicité des réalisations significatives du Programme décennal de Lutte contre les inondations, exécuté, en octobre 2020, à hauteur de 506.714.000.000 FCFA, soit un taux appréciable de 66, 07 %. Le Président de la République a, dès lors, demandé au Gouvernement de poursuivre, en mode « Fast track », l’exécution optimale de la Stratégie nationale de Prévention et de Lutte contre les inondations sur la période 2020-2022 et de mobiliser les ressources budgétaires nécessaires, 15 milliards FCFA, pour l’amorçage rapide, dans la zone prioritaire de Keur Massar, de la deuxième phase du PROGEP, qu’il a validée. Il a, dans cette perspective, requis la finalisation du dispositif réglementaire fixant le cadre harmonisé des interventions en matière d’assainissement. Le Chef de l’Etat a, enfin, invité les Ministres concernés à veiller, en relation avec le Gouverneur de la Région de Dakar, à la préservation de toute occupation, des zones non aedificandi, notamment la libération immédiate des emprises de l’exutoire du Marigot de Mbao. Le Président de la République, abordant le suivi de la coopération et des partenariats, a salué la célébration, le 12 octobre, du 20e anniversaire du Forum sur la Coopération Economique Sino-Africaine dont la prochaine Conférence se tiendra au Sénégal en 2021. Le Chef de l’Etat a clos sa communication sur son agenda diplomatique, en informant le Conseil de sa visite d’amitié et de travail les 15 et 16 octobre au Nigéria, de sa participation le 14 octobre à une visioconférence organisée par le Fonds Vert Climat sur le Financement de l’énergie propre, qui apporte un concours de 75,45 millions d’euros (environ 50 milliards de FCFA) au Sénégal pour l’électrification solaire rurale de 1.000 villages. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : Le projet de loi autorisant le Président de la république à ratifier la convention multilatérale pour la mise en œuvre des mesures relatives aux conventions fiscales pour prévenir l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices, signée à Paris le 07 juin 2017 ; Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante : Monsieur Aboubakry SOKOMO, expert en management des Organisations, précédemment Enseignant-chercheur en Sciences de Gestion à l’Institut Universitaire de Technologie (IUT), est nommé Directeur des Constructions des Palais de Justice, en remplacement de Monsieur Amadou Abdoulaye DIOP
mercredi 14 octobre 2020
mardi 13 octobre 2020
lundi 12 octobre 2020
vendredi 9 octobre 2020
l’hebdomadaire Nouvel Horizon a tiré sa révérence 05 janvier 2018 à 18h28 Par Amadou Oury Diallo - à Dakar L’hebdomadaire généraliste Nouvel Horizon met la clé sous la porte ce vendredi après une aventure journalistique d’une vingtaine d’années. Une disparition symptomatique d’une presse sénégalaise dont le modèle économique n’est plus viable. L’annonce de la cessation des parutions de l’hebdomadaire Nouvel Horizon a sonné comme un coup de tonnerre dans le ciel déjà sombre de la presse sénégalaise. Et pour cause. Ce magazine, lancé en 1996 à Dakar est parvenu, en une vingtaine d’années, à se tailler une place respectable au sein du paysage médiatique sénégalais. Informé, bien écrit, Nouvel Horizon pouvait souvent être autant équilibré qu’impertinent dans ses prises de position. Alors que l’hebdo du quartier dakarois de la Sicap Liberté III ne paraîtra plus, son numéro 1053, qui devait paraître ce vendredi 5 janvier pour signer la fin de l’aventure n’a finalement pas été aperçu en kiosque. « Je ne sais pas ce qui s’est passé au niveau de l’imprimeur. De toute façon, il n’y a plus urgence », lâche Issa Sall, le directeur de publication, au travers d’un sourire philosophique, au bout du fil… Fondé par un groupe de passionnés de l’écriture et de l’actualité – parmi lesquels Abdoulaye Bamba Diallo, membre fondateur du journal satirique Le cafard libéré, qui en était le président, et Issa Sall, le directeur de publication –, le journal accordait une place de choix à l’information politique, tout en traitant l’actualité économique, culturelle, sociale et internationale. Ses colonnes accueillaient très souvent intellectuels comme éditorialistes réputés. Le premier numéro de l’hebdomadaire, paru le 26 janvier 1996, titrait sur Ousmane Tanor Dieng, alors tout-puissant patron du Parti socialiste sénégalais, durant la présidence d’Abdou Diouf. Un environnement économique particulièrement difficile « La réalité économique générale ainsi que la conjoncture médiatique sont aujourd’hui vraiment très différentes de ce que l’on pouvait trouver il y a dix ans », explique Issa Sall. Nouvel Horizon fait aujourd’hui les frais d’un environnement économique particulièrement difficile pour l’ensemble de la presse écrite locale. Une situation notamment liée à la rude concurrence imposée par le numérique et les médias audiovisuels, dans un pays où plus de 50 % de la population est illettrée. Mais de manière plus générale, aucun pan de la presse sénégalaise n’échappe à cette crise structurelle du secteur. OUVERTS À « DE NOUVELLES PERSPECTIVES » « De toute façon, on voyait tous venir cette décision d’arrêter, on n’en connaissait simplement pas l’échéance », commente un membre de la rédaction, réduite ces derniers mois à une quinzaine de journalistes, contre trente-cinq en temps normal. Le journal affichait un chiffre d’affaires d’environ 800 millions de FCFA et tirait à un peu moins de 10 000 exemplaires par semaine. Le nouveau Code de la presse sénégalais, adopté le 20 juin 2017 par la représentation nationale, dont certaines innovations économiques sont censées faire émerger de véritables entreprises médiatiques viables, attend toujours son entrée en vigueur. L’aventure Nouvel Horizon est-elle bien finie ? Oui, en tout cas, dans son format actuel, selon son directeur de publication Issa Sall, qui ne ferme cependant pas la porte à « de nouvelles perspectives ».
jeudi 8 octobre 2020
CONSEIL DES MINISTRES DU 07 OCTOBRE 2020 SGG/SI Conseil des MinistresArticlemer, 07 oct 2020 Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 07 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République. Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communication, adressé ses chaleureuses félicitations au Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha MBACKE, et à la Communauté Mouride, suite à la bonne organisation des célébrations de la 126 ème édition du Grand Magal de Touba. Le Président de la République, abordant la question de la préparation de la rentrée officielle des classes et de la consolidation des performances de notre système éducatif, a réitéré sa reconnaissance, son soutien et ses encouragements aux enseignants du Sénégal, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des Enseignant(e)s, ce 05 octobre. Le Chef de l’Etat a, ensuite, salué l’engagement remarquable de la communauté éducative, particulièrement des enseignants, qui a permis de poursuivre les enseignements et apprentissages pour les élèves des classes d’examen durant la pandémie de la COVID - 19. Il s’est, à ce titre, félicité des résultats satisfaisants obtenus au Baccalauréat et au BFEM. Il a ainsi demandé au Gouvernement d’engager, sans délai, le processus d’orientation des nouveaux bacheliers dans les établissements d’enseignement supérieur. Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, souligné la nécessité d’évaluer l’exécution intégrale des onze (11) décisions consensuelles de transformation du système d’enseignement supérieur et de recherche prises en août 2013. Il a également signalé l’urgence de veiller à : (i) l’actualisation de la carte scolaire par l’intégration de critères démographiques pertinents ; (ii) l’accélération de l’édification des centres de formation professionnelle prévus dans les départements. Il a par ailleurs invité les ministres concernés à développer le numérique à l’école, à l’université et à orienter 30% des élèves issus du cycle fondamental vers le système professionnel, précisément dans les métiers du numérique Le Président de la République a, en outre, invité les ministres en charge de l’Education et de la formation professionnelle à entamer la finalisation des préparatifs de la prochaine rentrée scolaire en impliquant toute la communauté éducative, notamment les partenaires sociaux. Le Président de la République, au sujet de la protection sociale à travers l’accentuation de la lutte préventive contre le cancer, a invité le Ministre de la Santé à soutenir le déploiement national de l’initiative « Octobre Rose ». Il a rappelé la nécessité de poursuivre la gratuité de la chimiothérapie pour ce qui concerne les cancers féminins et insisté sur la nécessité de veiller, dans le Plan d’investissement Santé 2020 - 2024, au renforcement significatif des équipements de dépistage des cancers et de radiothérapie. Il a, dans cet élan, demandé au Gouvernement d’accélérer la construction du Centre National d’Oncologie, à Diamniadio, en relation avec la coopération coréenne. Le Chef de l’Etat, au titre de la modernisation des systèmes de transport pour renforcer la sécurité des voyageurs, a invité le Ministre des transports terrestres à intensifier, dans le consensus avec les acteurs, la réalisation des programmes de renouvellement des véhicules actuels de transports urbains et interurbains de voyageurs et de fret. Il a aussi demandé le démarrage du transport ferroviaire sur l’axe Dakar-Tamba, à travers la remise en état des voies et la construction d’un terminal à conteneurs à Tambacounda. Le Président de la République a, dans cette dynamique, demandé au Ministre de l’Economie maritime d’asseoir avec le Secteur privé, une réflexion stratégique en vue du développement systématique de projets de transports maritimes et fluviaux intérieurs rentables, dans la sûreté et la sécurité. Il a, en même temps, indiqué l’impératif d’appliquer un schéma de gestion durable du nouveau Port de Foundioungne- Ndakhonga, ainsi que des infrastructures publiques déjà réceptionnées par l’Etat. Le Chef de l’Etat, a au titre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, demandé aux Ministres concernés de finaliser la réflexion sur la modernisation du Système national de Retraite entamée lors de la dernière Conférence sociale de 2017. Il a, notamment, invité le Ministre du Travail à lui faire parvenir une évaluation de la « Mensualisation des Pensions ». Le Président de la République a, aussi, invité le Ministre de la Solidarité nationale, à finaliser le cadre juridique consensuel portant création d’un Registre National Unique (RNU), référence de ciblage des programmes et actions de protection sociale. Le Chef de l’Etat a, enfin, demandé au Ministre de l’Environnement, en relation avec les ministres en charge de l’Industrie et des Mines, de faire observer par les entreprises, les dispositions pertinentes du Code de l’Environnement, en particulier celles relatives à la police de l’eau, au traitement des déchets industriels et au respect des normes en matière de pollution de l’air. Le Président a clos sa communication en informant le Conseil sur son agenda International. Au titre des Communications, Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République dans sa communication a rappelé les directives du Chef de l’Etat relatives à la nécessité de rendre opérationnelles les importantes infrastructures sportives et économiques déjà réalisées par l’Etat. Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur l’exécution du budget 2020 et le projet de loi de finances pour l’année 2021, intégrant l’amortissement de la dette publique, à l’instar des années antérieures et élevant le budget à 4589,15 milliards FCFA, contre 4215, 2 milliards CFA en 2020, soit une hausse de 8,9% en valeur relative.. Le Ministre de la santé et de l’Action social a fait le point sur la gestion de la pandémie de la COVID-19. Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la situation de la pluviométrie, le suivi des cultures et l’exportation des produits horticoles. Le Ministre de l’Eau et de l'Assainissement a fait le point sur les travaux de maintenance du réseau d’alimentation en eau potable. Le Ministre, en charge du suivi du PSE a rendu compte de la réunion tenue avec le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, portant sur les réformes en vue dans le secteur de la santé. Au titre des textes législatifs et réglementaires, Le Conseil a examiné et adopté le projet de loi de finances pour l’année 2021.
mercredi 7 octobre 2020
Cheikh Amala Doucouré : Du BUZZ à la BOUZZ Spread the love Je me suis toujours abstenu de parler de POLITIQUE publique en public. J’ai préféré une démarche intellectuelle, culturelle, artistique et sociétale. Et Dieu sait je connais un peu de chose et je peux dire beaucoup de choses en matière politique. Mais les Anglo saxons aiment dire : » Talk is cheap « qui veut dire : » Parler est facile « . Quand je vois aujourd’hui là où on en est arrivé dans notre pays le Sénégal, un pays qui a vu naître de grands intellectuels hommes et femmes, de grands artistes, de grands hommes politiques, de grands érudits religieux ; musulmans comme chrétiens, je ne peux ne pas tirer la sonnette d’alarme pour éviter à notre pays de ternir et détruire la belle et envieuse image qu’il a toujours connue jusque ici. L’actuel état calamiteux de notre environnement sociétal s’explique par des raisons diverses et les responsabilités sont partagées aussi bien au niveau politique que médiatique, public comme privé. Les médias jouent un rôle très important dans un pays et dans une société au risque de créer directement ou indirectement des individus pouvant se révéler extrêmement dangereux pour un pays avec le temps. Ce serait injuste de ma part à généraliser mon approche négative à l’égard de nos medias locaux y compris la presse en ligne et les blogueurs devenus incontournables et incontrôlables. Notre pays a connu de très grands journalistes de par le passé : depuis Mame less Dia jusqu’à Mame less Camara en passant par les Diadji Toure , Sokhna Dieng et autres ….et même l’actuelle génération possède des perles rares en journalisme. Cependant, comment justifier dans un pays comme le Sénégal où les priorités sont les infrastructures routières, scolaires, universitaires, hospitalières, sociétales…qu’il pullulent des émissions quotidiennes, hebdomadaires de presque 2 heures de temps entièrement consacrées à la politique politicienne où défilent activistes de tous genres, politiciens de la majorité, opposition, et quoi encore ? pour s’engueuler, s’invectiver ,menaces , chantage et calomnies. BREF tout y passe en bassesse et énormité. Tout ça uniquement pour le BUZZ. En France par exemple juste le minima pour les interview et déclarations politiques. Au Sénégal, la grande majorité des chroniqueurs politiques ont à peine 50 ans sans vécu ni parcours. Aux États-Unis, le plus grand présentateur politique a pris sa retraite à presque 80 ans avec près de 50 ans d’expérience. Je ne sous estime point la valeur et la qualité de notre jeunesse mais soyons sérieux et ne pas être pressé dans la vie sinon on peut rapidement partir du BUZZ et tomber dans la BOUSE de vache ou de cochon. Signé..ALAMUTAH
La France Expulse La Polygamie Et Exporte L’homosexualité Au…Sénégal EXCLUSIVITÉS By Xibaaru Last updated Oct 7, 2020 La France annonce l'interdiction de délivrer des titres de séjour à des personnes polygames et souhaite la reconnaissance des droits des homosexuels au Sénégal La France ne veut pas tolérer la polygamie chez elle, mais veut nous imposer l’homosexualité C’est la ministre déléguée en charge de la Citoyenneté de France, Mme Marlène Schiappa qui a fait l’annonce. Tous les étrangers polygames vivant en France vont faire l’objet d’une expulsion. Les étrangers polygames qui vivent en France devront donc préparer leurs valises. C’est sur le plateau de BFMTV que la ministre déléguée en charge de la Citoyenneté de France, Mme Marlène Schiappa a fait cette déclaration. La France ne veut plus abriter sur son territoire d’étrangers en situation de polygamie. Elle refuse la polygamie qui pour elle, est contraire à ses valeurs. Et, c’est pourtant cette même France qui cherche à imposer à des pays comme le Sénégal, des pratiques qui sont contraires à nos valeurs. Elle menace d’expulser de son territoire tout étranger polygame, mais veut que les droits des homosexuels et des lesbiennes soient reconnus sous nos cieux Elle exige de nous que des pratiques contraires à nos valeurs soient tolérées, alors qu’elle pourchasse chez elle, les polygames. Ce sont les Français, les Occidentaux en général qui viennent dans nos pays financer des associations qui font la promotion des homosexuels et des lesbiennes. Elles les aident, les soutiennent, méprisant ainsi nos lois et nos mœurs. Ce sont des ONG connues de tous et qui agissent au vu et au su de tout le monde. En tout cas, voilà qui doit servir de leçons à nos dirigeants qui doivent se montrer fermes vis-à-vis des Occidentaux incapables de se montrer tolérants par rapport à d’autres cultures, mais qui nous mettent la pression pour nous imposer à accepter des pratiques contraires à nos morales. Voici donc aujourd’hui la France qui refuse la polygamie à l’intérieur de ses frontières, tout comme nous aussi refusons l’homosexualité et le lesbianisme chez nous. La rédaction de Xibaaru
Ismaël Cissé Formé à l’Ecole Nationale des Arts du Sénégal, il entre au théâtre National Daniel Sorano en 1969 où il joue dans plusieurs spectacles. Il a joué tant les contemporains africains et occidentaux que les classiques. Au cinéma il a interprété plusieurs rôles dans beaucoup de films. Il a collaboré avec RFI dans l’enregistrement de plusieurs pièces radiophoniques.
mardi 6 octobre 2020
lundi 5 octobre 2020
PARC LAMBAYE
’NOUS NE POUVONS PAS CONTINUER COMME CELA’’, DIT LE MAIRE DE DAKAR-PLATEAU AU SUJET DE ’’PARC LAMBAYE’’
4 octobre 2020 à 15h24min47223%Tags:
Dakar, 4 oct (APS) - Le maire de Dakar-Plateau Alioune Ndoye a laissé entendre que des solutions doivent être trouvées aux problèmes notamment sécuritaires liées à la présence de l’espace de brocante "Parc Lambaye" au centre-ville à proximité des habitations.
"On ne peut pas continuer" comme cela, "nous ne pouvons pas continuer (...)" à mettre en danger la vie des gens, a dit l’édile, interrogé par des journalistes sur le site de "Parc Lambaye" où un incendie s’était déclaré samedi soir.
Dans des propos rapportés par Radio Sénégal, Alioune Ndoye a dit qu’après le déclenchement de cet incendie, il a fallu mettre à l’abri certains résidents des habitations voisines au ’’Parc Lambaye’’, pour ne pas les exposer au danger.
La difficulté avec ce célèbre espace brocante situé sur l’avenue Lamine Guèye, au cœur de Dakar, ’’c’est que c’est un titre privé’’, a indiqué Alioune Ndoye, disant attendre un rapport des services administratifs et policiers pour connaître la ’’situation exacte’’ du sinistre.
Selon Radio Sénégal citant des commerçants de "Parc Lambaye", les dégâts causés par cet incendie dont l’origine demeure inconnue peuvent s’élever à ’’plus de 200 millions’ de francs CFA.
Lits, fauteuils ou tables font partie des objets les plus vendus à "Parc Lambaye" où les usagers peuvent également trouver divers matériels électroménagers.
En raison de sa position stratégique, au centre-ville, il était envisagé de délocaliser le "Parc Lambaye", conformément aux opérations de désencombrement entreprises sous l’égide du ministère de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique.
Le ministre Abdou Karim Fofana avait, dans ce cadre, instruit le préfet de Dakar d’adresser des sommations pour faire partir ’’le plus rapidement possible’’ toutes les personnes occupant illégalement la voie publique.
BK
vendredi 2 octobre 2020
jeudi 1 octobre 2020
Conseil des Ministres mer, 30 sep 2020
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 30 septembre 2020, à 10 heures, au Palais de la République.
Le Chef de l’Etat a, en introduction à sa communication, adressé ses remerciements au Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha MBACKE, pour l’accueil chaleureux, l’hospitalité et les prières, à l’occasion de sa visite habituelle à la Communauté Mouride, en prélude à la célébration, le 06 octobre 2020, du Grand Magal de Touba.
Le Président de la République a, dans ce cadre, demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions pour le déroulement adéquat de cet important événement religieux, dans le respect es mesures barrières liées à la lutte contre la pandémie de la COVID - 19.
Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, rappelé au Gouvernement sa volonté de renforcer le développement soutenu des infrastructures dans l’agglomération de Touba-Mbacké qui, avec l’Autoroute « ILA TOUBA », émerge en véritable métropole d’équilibre.
Le Président de la République a, enfin, demandé au Gouvernement de continuer à accorder une haute priorité aux Grands projets de l’Etat, en cours de réalisation à Touba, dont le nouvel hôpital de niveau 3, d’un coût de 32 milliards FCFA, doté de 300 lits.
Le Chef de l’Etat, abordant la question relative à la relance de l’économie nationale pour asseoir l’émergence du Sénégal, a, informé le Conseil avoir validé, en Conseil Présidentiel, le PAP 2 ajusté et accéléré du Plan Sénégal Emergent, en présence de toutes les forces vives de la Nation et des partenaires techniques et financiers.
Le Président de la République a, dès lors, engagé le Gouvernement à finaliser, sur les trois (3) prochains mois, la mise en œuvre intégrale du Programme de Résilience Economique et sociale (PRES). Il a, dans cet élan, souligné l’importance qu’il accorde à la souveraineté alimentaire du Sénégal, à l’intensification des réformes sectorielles, à l’amélioration globale de l’environnement des affaires en vue de l’accélération de la transformation structurelle de notre économie, propice au maintien de la trajectoire de croissance du PSE.
Le Chef de l’Etat a, dans cette perspective, lancé un appel aux acteurs du Secteur privé à se saisir des opportunités potentielles révélées dans le PAP II ajusté et accéléré, à se mobiliser davantage autour de l’action de l’Etat, afin d’engager, ensemble, le sursaut national face aux enjeux nouveaux de la reprise de l’économie nationale.
Le Président de la République a, notamment, rappelé les décisions qu’il a arrêtées lors du Conseil Présidentiel. A ce titre, il a instruit les Ministres en charge de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche à appuyer davantage le nouvel élan de notre agriculture et des sous-secteurs de l’élevage et de la pêche.
Il a par ailleurs demandé au Ministre de l’Agriculture d’accélérer et d’intensifier la production de semences certifiées pour une amélioration continue du capital semencier national.
Le Chef de l’Etat a, dans cette dynamique, demandé au Ministre en charge de l’Energie et au Ministre des Finances et du Budget de veiller à la suppression de la prime fixe sur l’électricité, au niveau des stations de pompage et des rizières, et l’exonération de la TVA non récupérable sur les intrants pour l’industrie de la filière riz.
Le Président de la République a aussi instruit le Ministre de l’Industrie, dans le cadre de de la mise en œuvre de l’initiative présidentielle « PSE Cap sur l’industrialisation », à accélérer le démarrage effectif des agropoles notamment l’agropole Sud d’un coût global de 57 milliards FCFA.
Le Chef de l’Etat a engagé le Ministre de la Santé et de l’Action sociale à finaliser le programme de réformes à mettre en œuvre pour accélérer l’exécution du nouveau Plan d’investissements.
Le Président de la République a, dans cette lancée, instruit le Ministre en charge de l’Habitat, de démarrer, au cours du 4ème trimestre de l’année 2020, le Programme des 100.000 logements sociaux, composante essentielle du PAP 2A.
Le Chef de l’Etat a également, demandé au Gouvernement d’accorder la même priorité aux autres secteurs productifs tels que l’Artisanat, l’Economie numérique inclusive et le Tourisme. A ce titre, il a demandé au Ministre des Finances et du Budget, dans le cadre de la loi des Finances initiale LFI 2021, de mettre en œuvre sa décision d’une suspension de paiement des impôts et taxes dans les secteurs du Tourisme et de la presse, pour les années 2020 et 2021, la poursuite du PUMA, du PUDC, de Promovilles
Le Président de la République, évoquant l’intensification de la mise en œuvre des programmes de développement territorial, a demandé aux ministres concernés, de veiller, à l’accélération de l’exécution, dans les délais, des différents projets et programmes d’inclusion sociale et d’équité territoriale. Il a, à cet effet, rappelé au Gouvernement la priorité à accorder aux régions et localités frontalières avant d’annoncer la tenue, le 10 octobre 2020, sous sa présidence, de la Journée nationale de la Décentralisation sur le thème : « Décentralisation et Equité territoriale ».
Le Chef de l’Etat, sur la relance du secteur de l’huilerie dans le cadre du « produire et du consommer local », a exhorté les ministres en charge du Commerce, de l’Industrie, de l’Economie, des Finances, en relation avec les différents huiliers, de mettre en œuvre une Stratégie nationale de Développement du secteur de l’huilerie, surtout, dans la perspective des importantes productions d’arachides attendues cette année.
Le Président de la République a, enfin, invité le Gouvernement à veiller à la situation des Arabisants en matière d’éducation, de formation, d’entreprenariat et d’insertion.
Au titre des Communications,
Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République a fait une communication sur le système national d’évaluation de la production nationale.
Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la préparation du budget 2021.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale.
Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie, celle des maladies du cancer et la célébration du mois d’octobre rose sur l’étendue du territoire national.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la situation de la pluviométrie, le suivi des cultures, l’exportation des produits horticoles et le processus de création des chambres d’agriculture.
Le Ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire a fait une communication sur le projet de loi d’orientation de l’Economie sociale et solidaire.
Le Ministre de l’Economie numérique et des Télécommunications a fait une communication sur la concession des capacités excédentaires des infrastructures de connectivités gérées par l’ADIE et leur procédure de valorisation.
Le Ministre, en charge du Suivi du Plan Sénégal émergent (PSE) a fait le point sur les avancées et la mise en œuvre des réformes, notamment dans le secteur aurifère.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Monsieur Samba NDIAYE, ingénieur en Génie civil, est nommé Directeur général de la Société anonyme, les Grands Trains du Sénégal, en remplacement Monsieur Oumar BounKhatap SYLLA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Saliou SAMB, Administrateur de Société, titulaire d’un diplôme d’Etudes Approfondies en Droit public, est nommé Directeur général de la Société des infrastructures de Réparation navale (SIRN), en remplacement de Monsieur Samba NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.
mercredi 30 septembre 2020
mardi 29 septembre 2020
lundi 28 septembre 2020
dimanche 27 septembre 2020
St Louis : CFEE et BFEM :
ACTUALITES Education
CFEE et BFEM : un taux de 75% de réussite enregistré
26 septembre 2020
XALIMANEWS : L’Inspection de l’Education et de la Formation (Ief) de la commune de Saint-Louis a enregistré un taux de réussite de 75% à l’examen du Certificat de Fin d’Etudes élémentaires (Cfee) et 82,3% à celui du Brevet de Fin d’Etudes moyennes (Bfem). En d’autres termes, au Cfee, sur les 4 654 candidats présents, 3 520 ont été déclarés admis dont 1 931 filles et 1 589 garçons. S’agissant du Bfem, 3 078 candidats ont été inscrits dont 1 784 filles et 1 294 garçons, répartis dans 23 jurys. Réagissant sur l’organisation des examens, Cheikh YabaDiop, l’Inspecteur de l’Education et de la Formation de Saint-Louis, a déclaré que 462 enseignants ont été convoqués pour assurer la surveillance et le secrétariat du Cfee, 402 autres ont été mobilisés pour la surveillance du Bfem et 217 pour la correction. Il a précisé qu’avant la tenue de ces deux examens, et au regard de l’importance que le ministère de l’Education nationale accorde à leur bonne tenue, l’Ief de Saint-Louis avait pris toutes les dispositions utiles pour en assurer une parfaite organisation.
Evoquant les bonnes performances réalisées par les élèves, Cheikh Yaba Diop s’en réjouit et affirme que c’est le fruit des nombreux sacrifices consentis par les acteurs du système éducatif, particulièrement les enseignants qui ont fait preuve de patriotisme en sacrifiant leurs vacances scolaires pour l’intérêt des enfants.Il n’a pas oublié d’annoncer que les résultats du concours d’entrée en classe de sixième seront proclamés dans les prochaines semaines en accord avec le ministère de l’Education. En attendant, Cheikh Yaba Diop demande à l’ensemble des acteurs de commencer dès maintenant à préparer l’année scolaire 2020-2021 dont la rentrée scolaire est prévue le 12 novembre prochain
vendredi 25 septembre 2020
jeudi 24 septembre 2020
Conseil des Ministres mer, 23 sep 2020
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 23 septembre 2020, à 10 heures, au Palais de la République.
Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communication, remercié les populations, les agriculteurs, les organisations de producteurs, les autorités administratives et territoriales pour leur accueil chaleureux lors de sa tournée économique, du 19 au 21 septembre 2020, dans les régions de Fatick, Kaffrine et Kaolack.
Le Président de la République a également félicité les agriculteurs et groupements de producteurs du Sénégal, les chefs religieux et les organisations paysannes, en particulier, pour les avancées notables constatées dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage.
Le Chef de l’Etat a, en outre, signalé l’urgence d’intensifier la mécanisation soutenue de notre agriculture par la poursuite de la mise à disposition de financements et de subventions adaptées pour l’acquisition de tracteurs et de matériels agricoles accessibles et performants.
Le Président de la République a, dans cette perspective, invité les ministres concernés à finaliser l’actualisation du cadre juridique relatif au développement des coopératives agricoles.
Le Chef de l’Etat a, dans le même élan, demandé au Ministre de l’Agriculture de veiller à la reconstitution pragmatique d’un Capital semencier national de qualité.
Le Président de la République a félicité le Ministre de l’agriculture et l’ensemble de ses services pour la bonne planification et le déroulement satisfaisant de la campagne agricole 2020-2021 qui a bénéficié d’un financement exceptionnel de 60 milliards FCFA, soit une augmentation de 20 milliards FCFA comparé à l’année dernière.
Le Chef de l’Etat a, dans cette dynamique, exhorté les acteurs du monde rural à intensifier la transformation industrielle locale des productions en s’appuyant sur les agropoles, en cours de développement, dans le cadre de son initiative « PSE Cap sur l’Industrialisation ».
Le Président de la République a, par ailleurs, exhorté les acteurs du secteur privé à investir massivement dans l’agro-industrie et l’élevage, à travers l’implantation, sur l’étendue du territoire, de fermes et de domaines agricoles modernes, fortement créateurs d’emplois et de valeur ajoutée pour notre économie.
Le Chef de l’Etat a notamment invité les ministres en charge de l’Agriculture, de l’Elevage, de l’Industrie et du Commerce, à créer des convergences efficientes entre l’Institut Sénégalais de Recherche Agricole (ISRA) et l’Institut de Technologie alimentaire (ITA) afin d’asseoir une Politique cohérente de recherche-développement, d’innovation, de productivité, de transformation locale et de commercialisation des produits agricoles et d’élevage.
Le Président de la République a aussi demandé au Ministre de l’Elevage de finaliser, dans le consensus avec les acteurs impliqués, un Programme de modernisation spécifique des filières « Lait » et « Viande » afin de réduire significativement nos importations en la matière.
Le Chef de l’Etat, abordant la lutte contre les inondations, a demandé au Ministre de l’Intérieur, de maintenir les dispositifs de secours et de pompage opérationnels, sur le terrain, par la mise en service intensive d’équipements supplémentaires, de très grande capacité.
Le Président de la République, revenant sur les impacts économiques et sociaux de la pandémie de la COVID-19 et de l’amélioration soutenue du climat des affaires au Sénégal, a réitéré au Gouvernement ses directives relatives à la préservation des emplois dans les entreprises, au maintien durable des mesures de promotion des investissements et de soutien au développement du secteur privé national. Il a informé le Gouvernement que le Conseil présidentiel sur la relance de l’économie nationale, se tiendra, le mardi 29 septembre 2020, en présence de tous les acteurs et partenaires concernés.
Le Chef de l’Etat a, au sujet de la commémoration, le 26 septembre 2020, du 18ème anniversaire du naufrage du bateau « le JOOLA », réaffirmé la solidarité de la Nation aux familles des victimes. A ce titre, Il a demandé d’intensifier le processus d’édification, à Ziguinchor, du Mémorial - Musée National dédié aux victimes.
Le Président de la République, au titre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, a demandé au Ministre de la Fonction publique de veiller à l’examen systématique des dossiers de recrutement, dans le secteur public et parapublic, des personnes vivant avec un handicap, diplômées, selon les principes directeurs de la Loi d’orientation sociale.
Le Chef de l’Etat a clos sa communication sur son agenda diplomatique en informant le conseil de sa participation le jeudi 24 septembre 2020, à Bissau, à la célébration de la Fête nationale de la République de Guinée - Bissau.
Au titre des Communications,
Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République a fait le point sur le suivi de la mise en œuvre des directives présidentielles.
Le Ministre de l’Intérieur a fait le point sur la mise en œuvre du Plan ORSEC.
Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la mobilisation des ressources financières et l’exécution des dépenses du FORCES COVID-19, du budget et de la mission virtuelle des services du Fonds monétaire international (FMI).
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur l’assistance apportée à nos compatriotes de la Diaspora, sur la situation internationale et la production de nouveaux passeports diplomatiques.
Le Ministre du Développement communautaire, de l’Equité sociale et territoriale a fait une communication sur l’aide financière et alimentaire apportée aux sinistrés des inondations et sur le projet d’institutionnalisation du registre national unique (RNU).
Le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait le point sur l’impact de la pandémie sur l’économie la situation du financement des projets prioritaires.
Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur la situation de la pandémie de la COVID-19.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la pluviométrie, le suivi des cultures et les exportations agricoles.
Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a fait une communication sur les résultats de la session normale du baccalauréat 2020.
Le Ministre, en charge du Suivi du Plan Sénégal émergent (PSE) a fait le point sur l’opération marketing du PSE.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté :
le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier l’Accord portant sur le statut des forces entre le Gouvernement de la République du Sénégal et le Gouvernement fédéral autrichien, signé à Dakar le 15 janvier 2020 ;
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Monsieur Pierre FAYE, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n° 624.511/C, précédemment Ministre-Conseiller, Conseiller technique au Cabinet du Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, est nommé Ambassadeur, Secrétaire général adjoint du Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Sonar NGOM appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ousmane MBAYE Commissaire principal aux Enquêtes économiques , matricule de solde 606 932/D, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère du Tourisme et des Transports aériens, en remplacement de Monsieur Daouda MBAYE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Souleymane NDIAYE, Ingénieur de conception en Génie civil, est nommé Directeur des Infrastures aéroportuaires au Ministère du Tourisme et des Transports aériens, poste vacant ;
Madame Ndeye Khoudia Sarr FALL, Professeur d’Enseignement secondaire, titulaire d’un Diplôme d’Etudes approfondies (DEA) en Sciences de l’Environnement, option qualité de l’eau, matricule de solde n°605 833/C, est nommée Inspecteur technique au ministre de l’Eau et de l’Assainissement ;
Monsieur Modou Bassirou NDAO, Secrétaire d’Administration matricule de solde 625 108/Z, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Barkédji, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bambilor, département de Rufisque en remplacement de Monsieur Marcel Mbaye THIAW, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Marcel Mbaye THIAW, Secrétaire d’Administration matricule de solde 508 063/P, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Bambilor, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiaroye, Département de Pikine, en remplacement de Monsieur Medoune MBOUP, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Monsieur Cheikh Anta DIENG, Secrétaire d’Administration matricule de solde 512 105/Z, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Mboucki, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Lambaye, Département de Bambey, en remplacement de Monsieur Ibrahima BARRY, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Monsieur Abdou Aziz DIAGNE, Attaché d’Administration, matricule de solde 510 590/H, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiénaba, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Rufisque-est, Département de Rufisque, en remplacement de Monsieur Mountaga Daha SALL, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Monsieur Ndiack SARR, Instituteur matricule de solde 511 794/C, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndande, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Thiénaba, Département de Thies, en remplacement de Monsieur Abdou Aziz DIAGNE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Salif BA, Instituteur, matricule de solde 511 403/B, précédemment Adjoint au préfet de l’Arrondissement de Linguère, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Barkédji, Département de Linguère, en remplacement de Monsieur Modou Bassirou NDAO, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mamadou BADIANE, Educateur préscolaire, matricule de solde 514 059/B, précédemment Adjoint au Sous-préfet de l’Arrondissement de Koussanar, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Ndande, Département de Kébémer, en remplacement de Monsieur Ndiack SARR, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Lancé CISSE, Agent technique d’élevage, matricule de solde 513 733/Z, précédemment Adjoint au Sous-préfet de l’Arrondissement de Saré Bidji , est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Keur Mboucki, Département de Birkilane, en remplacement de Monsieur Cheikh Anta DIENG, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Moussa FAYE, Instituteur, matricule de solde 639 491/P, est nommé Adjoint au sous-préfet de l’Arrondissement de Nyassia, Département de Ziguinchor, en remplacement de Monsieur Bernard SARR, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ababacar Sadikh COULIBALY, Professeur de collège d’enseignement moyen, matricule de solde 649 308/Z, est nommé Adjoint au sous-préfet de l’Arrondissement de Koussanar, Département de Tambacounda, en remplacement de Monsieur Mamadou BADIANE, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Aliou NDIAYE, Instituteur, matricule de solde 627 788/D, est nommé Adjoint au sous-préfet de Rao, Département de Saint-Louis, en remplacement de Monsieur Omar Sarr DIOP, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Youssouf TRAORE, Instituteur, matricule de solde 630 110/C, est nommé Adjoint au sous-préfet de l’Arrondissement de Saré Bidji, Département de Kolda, en remplacement de Monsieur Lancé CISSE, appelé à d’autres fonctions ;
Madame Caty SARR, Secrétaire d’Administration, matricule de solde 681 459/I, précédemment Adjoint au préfet du Département Kolda, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Linguère, en remplacement de Monsieur Salif BA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Omar Sarr DIOP , Secrétaire d’Administration, matricule de solde 638 488/G, précédemment Adjoint au sous-préfet de l’arrondissement Rao, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Kolda , en remplacement de Madame Caty SARR, appelée à d’autres fonctions ;
Monsieur Mamadou Farba SY , Secrétaire d’Administration, matricule de solde 661 449/H, précédemment Chef de la Division du cadre de Travail et de Vie à la Direction général de l’Administration territoriale, est nommé Adjoint au Préfet du Département de Saraya , en remplacement de Monsieur El Hadji Chérif Moulaye SALL, appelé à d’autres fonctions.
mercredi 23 septembre 2020
mardi 22 septembre 2020
Meteo
De nouvelles prévisions météorologiques de l’ANACIM. Pour ce mardi 21 septembre 2020, de fortes pluies seront enregistrées à Cap Skirring, Kaffrine, Koalack, Kédougou, Kolda, Louga, Podor, Saint-Louis, Sédhiou, Tamba et Ziguinchor.
De faibles pluies seront attendues à Bakel, Diourbel, Fatick, Linguère, Matam, Mbour et Thiès. Après sa pluie de ce lundi 20 septembre, Dakar aura un ciel nuageux pour ce mardi tout comme Louga, Podor et Saint-Louis.
lundi 21 septembre 2020
Souleymane Bachir Diagne :
“L’histoire de l’Afrique a été écrite sur la base de préjugés”
Par: lavie.fr - Seneweb.com |
Souleymane Bachir Diagne : “L’histoire de l’Afrique a été écrite sur la base de préjugés”
Pendant très longtemps, l’Afrique a été considérée comme un continent sans histoire, rappelle le philosophe sénégalais Souleymane Bachir Diagne, professeur de français à l’Institut d’études africaines de l’université Columbia. Pourtant, le cours du monde ne peut se penser sans le rôle que l’Afrique y a joué et y joue encore. Entretien extrait de L'Atlas des Afriques, un hors-série de La Vie et du Monde, disponible en kiosque ou à commander en ligne.
L’Afrique habite nos imaginaires mais son histoire reste méconnue. Ce récit passionnant court de l’aube de l’humanité au XXIe siècle et fait revivre les pharaons noirs, les richissimes royaumes médiévaux, les temps tragiques de l’esclavage et de la colonisation, l’enthousiasme des indépendances... jusqu’à s’arrêter sur les grands enjeux d’une Afrique émergente qui retrouve peu à peu sa place dans le monde. Servi par une cartographie inédite, cet atlas met enfin en lumière, par-delà les clichés, ce continent devenu incontournable. 12,00€, en vente en kiosque ou à commander sur notre boutique.
Au regard de l’histoire ancienne, diriez-vous qu’il existe une ou plusieurs Afriques ?
Une telle durée de plusieurs millénaires signifie une extrême diversité dans les temporalités comme dans les espaces et conduit à penser qu’il y a effectivement plusieurs Afriques. Mais il ne faut pas perdre de vue la dimension continentale de cette longue chronologie. L’histoire de l’Afrique a trop souvent été fragmentée et écrite sur la base de nombreux préjugés, européens principalement. La civilisation égyptienne, par exemple, était jugée trop brillante pour appartenir au continent africain. Elle en a donc été détachée. Cette vivisection de l’histoire africaine a aussi coupé le continent en deux : l’Afrique subsaharienne et l’Afrique du Nord ou, en termes raciaux, « l’Afrique noire » et « l’Afrique blanche ».
La tradition principalement orale des sociétés africaines participe-t-elle de la moins bonne connaissance de leur histoire ancienne ?
Chaque type de source en histoire pose ses propres problèmes et défis. Pour le continent africain, la tradition orale est essentielle. Elle est la mémoire humaine, celle des récits et des témoignages. Reconstituer les principes sur lesquels reposait l’empire du Mali dans l’Ouest africain demande, par exemple, de confronter plusieurs récits de griots. Dans cette approche du « calcul des témoignages », on évalue, soupèse et recoupe les propos recueillis, puis, comme mesure de leur crédibilité, on les croise avec des sources archéologiques et d’anthropologie linguistique. Car chaque langue est une archive, chaque langue est porteuse d’une histoire. Grâce à ces différentes sources, les historiens africains et les africanistes accèdent à une vision de plus en plus précise de l’histoire du continent.
Le caractère périssable de certaines architectures a-t-il contribué à la « dissolution » des traces ?
Par définition, les matériaux périssables constituent des traces plus difficiles à retrouver que des constructions en pierre, comme les ruines de Grand Zimbabwe, par exemple. La plupart des sociétés africaines ont utilisé des matériaux comme le banco (terre crue) qui correspondaient à leur cosmologie et à leur philosophie de la vie. Comme s’il ne s’agissait pas de construire un édifice qui défie le temps mais de bâtir, avec du vivant, une œuvre sur laquelle il est alors nécessaire de toujours revenir. Avec l’islamisation de l’Afrique de l’Ouest, à partir du XIe siècle, les mosquées en matériaux périssables se sont multipliées. La grande mosquée de Djenné au Mali a ainsi connu des altérations et a été reconstruite à plusieurs reprises. Les poutres visibles sur ses façades maintiennent dans le bâtiment lui-même des moyens de l’escalader et d’effectuer des replâtrages périodiques.
L’Afrique a été construite de l’extérieur comme un monde à part, un monde de l’étrange.
La période des grands empires africains a été tardivement étudiée. Comment expliquez-vous ce retard ?
L’histoire écrite de l’Afrique est une discipline jeune pour des raisons évidentes de temporalité. Celle racontée par les griots, dans les chroniques du monde arabe ou encore aux XVe et XVIe siècles, est évidemment ancienne, mais les premiers livres sur l’histoire de ces régions sont marqués par la colonisation. Ils en étaient la justification même : l’Europe apportait à l’Afrique « la » et « sa » civilisation. Or, pour apporter une civilisation à une région, mieux vaut déclarer qu’elle n’en a pas. Pendant très longtemps, l’Afrique a été considérée comme un continent sans histoire. L’étude en était laissée aux seuls ethnologues spécialistes des peuples primitifs. C’est pourquoi l’écriture moderne de l’histoire de l’Afrique (connaissances, fouilles archéologiques, etc.) a pris du retard.
On ignore souvent qu’au Moyen Âge l’Afrique a été l’un des moteurs du commerce intercontinental, pour l’or notamment...
Oui, le continent a très longtemps joué un rôle primordial dans les échanges commerciaux. S’agissant de l’or, par exemple, l’un des événements les plus considérables de l’histoire africaine est le pèlerinage à La Mecque de Mansa Moussa, souverain de l’empire du Mali (dont la richesse est fondée sur l’or), en 1324. Il avait emmené avec lui une telle quantité d’or que le cours du métal s’effondra en Égypte !
D’aucuns considèrent que l’histoire africaine devrait être pensée, étudiée et racontée « à part ». Pourquoi selon vous ?
C’est là une traduction de ce que j’appelle la prééminence d’un regard européen sur le continent. L’Afrique a ainsi été construite de l’extérieur comme un monde à part, un monde de l’étrange. Pourquoi, par exemple, étudier l’histoire du Mali à part alors qu’il était totalement connecté au système-monde qu’était l’Islam ? La ville de Tombouctou, capitale intellectuelle de l’empire du Mali puis de l’Empire songhaï, échangeait avec l’Afrique du Nord jusqu’en Andalousie et vers l’est jusqu’en Chine. Sous le regard des Européens, elle était devenue comme légendaire. On enseignera même aux jeunes élèves européens que Tombouctou a été découverte au XIXe siècle par René Caillié. C’est juste absurde.
Le christianisme n’est pas arrivé dans les bagages du colonialisme, puisque l’Éthiopie est l’un des plus anciens royaumes chrétiens.
La carte religieuse de l’Afrique témoigne aussi de son histoire. Quelle est l’influence des religions en Afrique précoloniale ?
Toutes les religions africaines sont avant tout des cosmologies. Parce qu’elles sont inscrites dans le terroir et que leur dénominateur commun est la place et le rôle fondamental des ancêtres fondateurs, elles ne pouvaient pas créer des guerres de religion. Il n’y a aucun sens à convertir quelqu’un d’autre à ses propres ancêtres, comme l’a souligné l’écrivain nigérian Wole Soyinka. Ces religions de terroir nourrissent les arts africains, qui ont contribué au développement des arts à travers le monde. Quant aux religions abrahamiques, elles ont aussi donné son visage au continent. Le christianisme n’est pas arrivé dans les bagages du colonialisme, puisque l’Éthiopie est l’un des plus anciens royaumes chrétiens. Quant à l’islam, il a introduit en Afrique la langue et l’écriture arabe, ainsi qu’une tradition d’érudition écrite qu’attestent Tombouctou au Mali, Koki au Sénégal, Chinguetti en Mauritanie ou d’autres centres intellectuels dans le monde swahili.
L’Afrique montre une extrême diversité de langues, de peuples, de structures familiales, claniques, sociétales, etc. Comment l’expliquez-vous ?
Au fond, non seulement la vie humaine a commencé en Afrique, mais tout se passe comme s’il y avait sur le continent un formidable foyer de création continue de la diversité du vivant, que j’appelle l’élan vital en Afrique. Cela se traduit par une grande diversité génétique, végétale et humaine, qui tient évidemment à la géographie particulière du continent. La multiplicité des peuples et des langues manifeste cette même vitalité.
« Il n’y a aucune partie du monde dont l’histoire ne recèle quelque part une dimension africaine, tout comme il n’y a d’histoire africaine qu’en tant que partie intégrante de l’histoire du monde. » Que pensez-vous de cette phrase du philosophe camerounais Achille Mbembe ?
Si l’on veut comprendre le mouvement du monde sans les œillères idéologiques créées par ce qu’il pouvait y avoir de colonial dans l’enseignement de l’histoire, il est bon de se donner une chronologie globale. Ainsi, lorsqu’on parle de l’Afrique comme berceau de l’humanité, il ne s’agit pas d’évoquer une simple origine après quoi l’histoire se serait ensuite réalisée ailleurs, mais de comprendre le mouvement continu qui a produit différentes phases de l’humanité. Autrement dit, penser l’Afrique dans le cours du monde est le meilleur moyen de penser l’Afrique elle-même. Et le cours du monde ne se pensera pas sans le rôle que l’Afrique y a joué et y joue encore. Bref, l’Afrique ne se comprend pas sinon réfléchie et analysée dans le cours de notre monde.
Né en 1955 à Saint-Louis, au Sénégal, Souleymane Bachir Diagne a été formé à l’École normale supérieure, à Paris, notamment par Louis Althusser et Jacques Derrida. Il dirige aujourd’hui l’Institut d’études africaines de l’université Columbia, à New York, où il est professeur dans le département de français et de philosophie. Souleymane Bachir Diagne a publié de nombreux travaux dans les domaines de l’histoire de la logique, de la philosophie islamique et africaine. Il est également l’auteur de plusieurs livres dont la Controverse. Dialogue sur l’islam (Stock/Philosophie Magazine Éditeur, 2019), cosigné avec Rémi Brague. En 2011, il a obtenu le prix Édouard Glissant pour l’ensemble de son œuvre
samedi 19 septembre 2020
De fortes pluies annoncées ce samedi
ANACIM : De fortes pluies annoncées ce samedi, dans quelques localités
Publié le 19/09/2020 à 10:17 - Mis à jour le 19/09/2020 à 12:13
Selon l’agence nationale de l’aviation de la météorologie (ANACIM), ce samedi sera marqué par de fortes pluies qui « se manifesteront par endroits sur l’ensemble du pays ».
“Au courant des prochaines 24h, des activités pluvio-orageuses d’intensités variables sont prévues sur l’ensemble du territoire, avec toutefois des risques d’occurrence de fortes pluies sur les localités centre et sud voire nord du pays”, indique l’ANACIM dans son bulletin météo du soir.
Après de fortes pluies à Kaolack, les champs inondés
Elle annonce une chaleur moins sensible dans la journée de ce samedi, et table sur des températures maximales variant entre 30° C à Dakar et 34° C à Podor et Matam. Les prévisionnistes annoncent par ailleurs des vents de secteur ouest et d’intensité faible à modérée, les visibilités devant rester généralement bonnes
vendredi 18 septembre 2020
Proclamation des résultats du BFEM :
Le ministère change de stratégie
L’office du bac a, entre autres procédés, utilisé le système des SMS pour envoyer les résultats du baccalauréat 2020. Un moyen qui n’a pas été sans problème d’autant plus que des candidats ont reçu des messages leur annonçant leur admissibilité alors qu’ils ont été ajournés.
Pour éviter que ces mêmes désagréments se répètent à la proclamation des résultats du BFEM, le ministre de l’éducation nationale mise sur les radios communautaires uniquement. Selon Mamadou Talla, tout le monde ne peut pas travailler sur la formule des SMS puisque cela requiert un travail technique au préalable pour éviter de commettre des erreurs.
« C’est un système que nous utilisons lors des concours pour entrer au lycée d’excellence de Diourbel ou à Mariama Ba. Mais, pour le BFEM, ce sont les radios communautaires qui feront les proclamations », informe le ministre qui signale qu’il va travailler avec les chefs d’établissement afin de trouver les schémas les plus appropriés.
Senenews
jeudi 17 septembre 2020
Flash météo :
Les alertes de l’ANACIM allant du vendredi au dimanche
Publié le 17/09/2020 à 20:18 - Mis à jour le 17/09/2020 à 20:18
Prévisions de l’Anacim. A partir de ce vendredi 18 jusqu’au dimanche 20 septembre, des activités pluvio-orageuses d’intensités modérées à assez fortes par endroits, seront notées sur la quasi-totalité du pays, notamment sur les régions Sud et Centre-ouest conformément à la carte de vigilance ci-dessus.
Ces pluies accompagnées d’orages intéresseront le territoire par la partie Est en fin d’après-midi du vendredi et se généraliseront sur l’ensemble du pays au courant de la journée du samedi.
Ces manifestations pluvieuses se maintiendront sur les régions Sud et le long du littoral au cours de la matinée du dimanche.
Drame à Rufisque : Parce que toute la maison le considérait comme un fou depuis sa maladie, A. Aïdara se suicide
Dakar actu
C'est la consternation à Rufisque au quartier populaire de Ndeunkou. En effet, un jeune garçon s'est donné la mort par pendaison dans sa maison familiale. Les faits se sont produits ce 16 septembre 2020.
La victime est identifiée au nom de Alioune Aïdara, âgé de 16 ans, né à Rufisque, élève en classe de 4ème, domicilié audit quartier.
Selon des renseignements recueillis auprès de sources sûres, la victime était malade depuis 4 mois. Au début, "il souffrait du paludisme et finalement, il a commencé à délirer. Selon sa mère, elle l'a trouvé ce matin, en train de regarder la télé. Quelques temps après, elle ne l'a plus revu dans la maison", informe une source proche de l'enquête, qui s'est confiée à Dakaractu.
C'est ainsi, qu'après des recherches, que la maman a retrouvé son jeune garçon pendu dans une pièce abandonnée de la maison. Toujours d'après notre source, "la victime a laissé sur les lieux, une lettre d'adieu, à travers laquelle, il a expliqué son comportement par le fait que toute la maison le considère comme un fou depuis sa maladie." La police a ouvert une enquête
CONSEIL DES MINISTRES DU 16 SEPTEMBRE 2020
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 16 septembre 2020, à 10 heures, au Palais de la République.
Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communication, rappelé au Conseil, l’impératif d’accélérer, dans le contexte du Plan ORSEC, le déploiement de tous les moyens logistiques de pompage des eaux et de secours, ainsi que l’assistance humanitaire aux populations sinistrées. Il a insisté sur l’urgence d’accorder une priorité notable aux localités de Sokone, Kaolack, Ziguinchor, Joal, Palmarin, Thiès, Saint-Louis et Keur-Massar pour la région de Dakar.
Le Président de la République a, à cet effet, demandé aux ministres concernés, de lui proposer un Programme spécial intérimaire d’assainissement pour Keur-Massar, en cohérence avec le Programme décennal de lutte contre les inondations. Il a, en outre, informé le conseil qu’il se rendra très prochainement dans les zones inondées, pour évaluer la situation in situ.
Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, invité le Ministre de l’Intérieur, en relation avec le Ministre de l’Eau et le Haut-Commissariat de l’OMVS, de veiller, face aux risques de crues, à la protection préventive des localités situées le long du Fleuve Sénégal et de ses affluents.
Le Président de la République a, au titre de la préservation des cultures et de la préparation de la prochaine campagne de commercialisation des produits agricoles, informé le Conseil qu’il effectuera une Tournée économique, du 19 au 21 septembre 2020, dans les régions de Fatick, Kaffrine et Kaolack.
Le Chef de l’Etat a, a demandé au Ministre de l’Agriculture et au Ministre du Commerce de s’atteler à la préparation de la prochaine campagne de commercialisation des produits agricoles et horticoles.
Le Président de la République a ensuite abordé la question de la gouvernance transparente de l’Etat et du renforcement de sa politique de lutte contre la Corruption au Sénégal. Il a informé le Conseil avoir approuvé la Stratégie nationale de lutte contre la corruption au Sénégal sur la période 2020-2024. Il a, dans cet élan, demandé au Gouvernement, au secteur privé et à la société civile d’apporter à l’OFNAC, tout le concours nécessaire à l’exécution optimale de son Plan d’actions quinquennal. Il a, enfin, demandé à l’OFNAC de lui transmettre chaque année, un rapport d’évaluation de la mise en œuvre de la Stratégie.
Le Chef de l’Etat, revenant sur l’application rigoureuse de la charte de la déconcentration, a demandé au Ministre de l’Intérieur et au Ministre des Finances et du Budget, en rapport avec les membres du gouvernement, de veiller à la vulgarisation, dans toutes les structures de l’Etat de la charte de la déconcentration en vue de son application systématique et cohérente. Il a enfin rappelé au Gouvernement la nécessité de renforcer l’Administration territoriale dans son efficacité, d’asseoir le « Fast-Track » comme mode de gouvernance afin de consolider les performances des politiques publiques et la satisfaction des citoyens.
Le Président de la République, au titre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures a demandé au Ministre de la Culture de lui proposer en relation avec les acteurs, un Plan spécial de relance des activités culturelles au Sénégal.
Le Chef de l’Etat a, notamment, demandé au Ministre de la Culture de travailler à la contractualisation de polices d’assurance pour les bâtiments et édifices culturels, et veiller à la réhabilitation et au fonctionnement optimal du Théâtre national « Daniel SORANO ».
Le Président de la République, sur le suivi de la coopération et des Partenariats, a rappelé au Gouvernement la doctrine relative au traitement des initiatives, projets et dossiers de coopération, dans le respect des principes de cohérence et de rationalisation.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique en informant le Conseil avoir pris part, le 15 septembre 2020, à Accra, au Sommet extraordinaire restreint de la CEDEAO sur la situation au Mali.
Au titre des Communications,
Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République a fait le point sur l’évaluation et l’harmonisation des services financiers et non financiers d’appui au secteur privé et à l’entreprenariat.
Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la mission en cours, effectuée par le Fonds monétaire international (FMI), portant sur l’exécution budgétaire.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur l’assistance apportée à nos compatriotes de la Diaspora et sur la situation internationale.
Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait le point sur la situation de la pandémie de COVID 19.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la préparation de la tournée du Président de la République, la situation de la pluviométrie, le suivi des cultures et l’exportation des produits horticoles.
Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du développement des Territoires a fait une communication, portant sur la mise en œuvre du projet de désenclavement des zones de productions en appui au Programme national de Développement local (PNDL).
Le Ministre, en charge du Suivi du Plan Sénégal émergent (PSE) a fait le point sur les avancées et la mise en œuvre des réformes, notamment sur l’accélération de la mise à disposition du foncier.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté :
le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier la charte africaine de la sûreté, la sécurité maritime et le développement en Afrique (Charte de Lomé) ;
le Projet de décret fixant les modalités d’application de la loi 2019-01 du 1ier février 2019 portant Code pétrolier ;
le projet de décret abrogeant le décret n° 2020-781 du 18 mars 2020, portant Code des marchés publics relatifs aux dépenses liées à la COVID-19 ;
le projet de décret modifiant le décret n° 72-1288 du 27 octobre 1972 relatif aux conditions d’affectation des terres du domaine national comprises dans les communautés rurales.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante :
Madame Aïchatou Ndiaye DIALLO, Administrateur civil, matricule de solde n° 669 323/A, précédemment Chef de la Division des Ressources humaines à la Direction générale de l’Administration territoriale, est nommée Adjoint au gouverneur de la Région de Matam chargée du développement, poste vacant
mercredi 16 septembre 2020
Commentaires
C à cause de la covid. Elles avaient prévu d'accoucher au mois de septembre qui devait être un mois de vacances au temps normal
moins elles sont mariées on nous bassine avec le mariage précoce et pourtant les jeunes filles font de la fornication et de l infanticide.
Deux candidates au Bfem accouchent en plein examen
Linguère : Deux candidates au Bfem accouchent en plein examen
Par: Lamine Ndiaye (correspondant) seneweb - Seneweb.com | 16 septembre, 2020
Linguère : Deux candidates au Bfem accouchent en plein examen
Les candidates H.K. et S.D. n’ont pas terminé le reste des épreuves du BFEM de cette année. Et pour cause, elles ont accouché toutes les deux en plein examen du BFEM.
La première s’est retirée de la course le jour où elle a accouché tandis que la seconde a eu le courage de se présenter le lendemain dans son centre d’examen pour tenter de continuer les épreuves. Ne pouvant plus supporter la douleur en salle, S.D. s’est retirée dans une maison située en face du centre d’examen. Allongée sous la véranda, la candidate se tordait de douleur. Etant donné que les occupants de cette maison savaient qu’elle portait une grossesse, le président du jury a été aussitôt averti de même que ses parents. Ainsi, la future maman a été évacuée dans une structure sanitaire de la place.
Ces deux candidates pourtant mariées devront certainement attendre l’année prochaine pour prétendre décrocher leur diplôme de BFEM. Cette situation pose une nouvelle fois la lancinante question des mariages précoces qui plombent le système éducatif à Linguere. Ce phénomène très récurent au Djoloff constitue un réel blocage pour le maintien des filles à l’école
mardi 15 septembre 2020
Résultats Bac 2020 :
Les révélations inquiétantes de Dame Mbodj
Par: Mouhamadou DIALLO - Seneweb.com | 14 septembre, 2020
Résultats Bac 2020 : Les révélations inquiétantes de Dame Mbodj
Le baccalauréat 2020 n'en finit pas de susciter des réactions diverses. Même si les résultats définitifs ne sont pas encore publiés, les tendances actuelles augurent de très bons résultats.
"Les meilleurs résultats du Sénégal indépendant", martèle Dame Mbodj, sur le plateau de Seneweb.
Le syndicaliste soutient qu'"il y a eu des manoeuvres consistant à proposer aux candidats des épreuves très faciles, afin d'avoir de bons résultats, pour des raisons politiciennes".
Ce qui pousse le secrétaire général du Cusems Authentique à "craindre des conséquences fâcheuses sur l'éducation sénégalaise et l'orientation des futurs bacheliers".
lundi 14 septembre 2020
BFEM :
178 992 CANDIDATS COMPOSENT À PARTIR DE CE LUNDI
Par: Seneweb News - Seneweb.com | 14 septembre, 2020
BFEM : 178 992 CANDIDATS COMPOSENT À PARTIR DE CE LUNDI
Après le Baccalauréat, place au Brevet de fin d’études moyennes (Bfem). En effet, 178 992 candidats vont composer, à partir de ce lundi 14 septembre, sur l’étendue du territoire national. Au nombre de 101 353, les filles représentent, en valeur relative, 56,62%. Ils sont répartis dans 1089 centres d’examen, abritant, à leur tour, 1208 jurys. Les autorités du ministère de l’Éducation nationale disent avoir pris toutes les dispositions, surtout dans un contexte marqué par la pandémie de Covid-19, pour un bon déroulement de l’examen.
Joint par iRadio, Amadou Makhtar Ndiaye, le directeur des examens et concours, d’y aller de ses précisions : "Les préparatifs sont de deux ordres : la confection des épreuves et l’organisation. Donc, nous avons terminé le processus. Au plan stratégique, nous avions planifié la levée des épreuves. Aujourd’hui (ndlr : hier dimanche), les épreuves sont acheminées dans les centres disséminés au Sénégal. Nous avons également un centre en Gambie et en Arabie Saoudite. Tout le dispositif en place pour un bon déroulement de l’administration des épreuves du Bfem"
🔴Revue de presse (wolof) Zik Fm du lundi 14 septembre 2020 avec Ahmed Aidara
https://m.youtube.com/watch?v=B5IsnnUiGeM#dialog
dimanche 13 septembre 2020
Lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque ( année 2016 )
Lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque : Un patrimoine qui meurt à petit feu
Par: Adama Anouchka Ba - Seneweb.com | 19 octobre, 2016
Lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque : Un patrimoine qui meurt à petit feu
Situé au cœur de ce qui fut le quartier latin de la commune de Rufisque, le lycée Abdoulaye Sadji est dans un état de délabrement très avancé. Sa façade fissurée et décatie en dit long sur le danger que représente cet établissement créé en 1938. À 78 ans, donc, il figure sur la liste des édifices de la Vieille Ville qui menacent ruine.
La devanture du lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque donne l’image d’un vieux château abandonné. Son architecture ancienne plonge ses visiteurs dans l’époque coloniale, avec ses bâtisses uniques en leur genre. La couleur de la peinture est peu perceptible. Beige ? Gris ? Difficile de se mouiller. Les murs sont décatis, craquelés et bâchés de graffitis.
En ce début d'année scolaire, le lycée est très fréquenté. Des entrées et des sorties. Élèves et professeurs se côtoient dans le hall. Des salamalecs habituels. Par moment, des expressions de retrouvailles.
Une fois dans l’enceinte de l’établissement, le décor change complètement. L’atmosphère est plus joyeuse. Le cliché plus vivant. L’on se croirait même dans un environnement différent. La cour est garnie d’une variété de fleurs aux couleurs arc-en-ciel, aménagées dans l’ordre. Des élèves de 6ème exécutent des mouvements de gymnastique, sous le regard attentif de leur superviseur. A part cela, la cour est calme. Une ambiance parfaite pour les élèves qui font cours.
En faisant le tour de cet espace restreint, l’on se rend compte au fil des salles de classes que le lycée porte péniblement les stigmates de ses 78 ans. Fenêtres ballantes. Portes aux vitres cassées et sans serrures. Le sol résiste encore, mais les murs, ne trompent pas sur la vétusté avancée des lieux.
Les toilettes empestent l’urine. La propreté a fui les parages. Les lavabos censés être «blancs» ont changé de couleurs; ils frôlent le marron. En dessus, les miroirs cassés nous renvoient un reflet en puzzle de notre propre image. L’intérieur des toilettes regorge de déchets de tout genre. Il n’y a aucun doute : cela fait un moment que cet endroit n’a pas eu droit à un coup de ménage.
Tout au long de la cour, longent des salles de classes. Quatre passages d’escaliers qui donnent sur la terrasse. Ce qui est particulièrement marquant dans cette cour de récré, c’est non seulement son étroitesse, mais aussi le nombre insuffisant de bancs, et d’espace d’épanouissement des élèves.
Le lycée compte un terrain de basket bordé par une partie du mur d’enceinte, mais les activités sportives se font hors de l’école. Au champ de course de Rufisque.
La malédiction de l'arc
Aussi gaie et aussi accueillante que soit cette cour, un mystère plane au-dessus : l’arc ! C’est un passage tendu directement vers l’entrée principale de l’école. Ce qui fait son charme, c’est que les élèves ne passent jamais à travers. «Parce que l’arc porte malheur. Celui qui le traverse, n’aura pas son bac», avance une jeune élève qui refuse catégoriquement de s’y aventurer. Beaucoup de ses camarades sont à cheval sur cette croyance. Une minorité résiste. C’est le cas de cette autre jeune fille, qui déclare : «C’est Dieu qui décide de tout. Si je n’ai pas le bac, c’est parce que c’est la volonté divine. Je traverse l’arc tous les jours.»
La terrasse. Elle offre une vue panoramique de la cour de l’école. Les escaliers qui y mènent semblent solides mais la toiture est d’une vieillesse bien inquiétante. Les tables bancs se comptent du bout des doigts, les pièces manquantes des plafonds donne à ces salles de cours une mine lugubre, où ne se dégage aucune chaleur ni harmonie. Deux, trois élèves trainent dans le couloir.
Dans une autre salle, un cours de philosophie captive l’attention des apprenants. Là aussi, l’environnement n’a rien d’une salle de classe moderne. Les armoires en fer sont rouillées, le carrelage du sol fait défaut, les murs transformés en écritoire à tel point que deviner la teinture devient un casse-tête.
Est-ce que le lycée sera un jour réfectionné ? Rien n’est moins sûr, de l’avis du proviseur, Saliou Seck. Et pour cause. L’école est classée au patrimoine mondial de l’Unesco.
De l’école normale des jeunes filles à Abdoulaye Sadji
À sa création en 1938, le lycée Abdoulaye Sadji s’appelait École normale des jeunes filles de Rufisque. Selon les archives, l’ouverture d’un tel établissement «ne visait pas la formation d’un important corps d’enseignantes africaines, mais la sélection d’une élite susceptible de relayer des institutrices européennes peu nombreuses et de fonder, avec son équivalent masculin, un ménage dévoué à la cause française».
C’est en 1972 que l’établissement a été rebaptisé Abdoulaye Sadji, célèbre écrivain sénégalais, auteur de «Nini la mulâtresse» et «Maimouna», des romans à succès. L’école accueille 1.639 élèves : 936 filles et 703 garçons. Elle compte 25 salles de classes pour 13 terminales, 12 premières et 11 secondes. Selon le proviseur, l’établissement dispose d’une salle informatique avec des ordinateurs modernes et une connexion internet permanente ainsi que d’une bibliothèque et d’une infirmerie. «Nous essayons avec nos propres moyens d’assurer à nos élèves les soins immédiats. Mais nous n’avons pas de dotation en médicaments», regrette Saliou Seck.
Le proviseur du lycée Abdoulaye Sadji refuse d’entendre que son école menace ruine. Il rectifie : «Le seul problème que nous avons, c’est l’état des salles de classes, la pléthore d’élèves et l’étanchéité. Sinon nous sommes dans de bonnes conditions et chaque année, nos résultats sont satisfaisants.»
Au baccalauréat 2016, le lycée Abdoulaye Sadji a enregistré un taux de réussite de 51,19% : sur 543 candidats, 278 ont été déclarés admis.
Adama Anouchka Ba
vendredi 11 septembre 2020
RUFISQUE/BAC 2020 :
LE LYCÉE MODERNE RAFLE LES MENTIONS TRÈS BIEN EN SÉRIE SCIENTIFIQUE.
Sep 09, 2020
Avec quatre mentions très bien et un résultat 100% réussite en S1, le lycée Moderne de Rufisque s’en est bien sorti lors de l’examen général du baccalauréat qui s’est tenu dans un contexte assez particulier de Covid-19. Selon Mme Seynabou Sène Kandé, le censeur de cet établissement scolaire, « c’est une année très difficile et particulièrement longue pour le corps enseignant et les élèves. Mais Dieu merci, on a réussi à nous en nous sortir avec ces résultats. On n’a pas encore fini de réunir les résultats globaux dans toutes les séries, mais les résultats des séries S sont réconfortants ». En S1 qui comptait 8 candidats, deux mentions très bien ont été enregistrées avec un taux de 100% de réussite, deux mentions très bien aussi en S2. « C’est un résultat obtenu grâce à la ténacité et la motivation des élèves. Le lycée Moderne est un lycée d’excellence qui ne comptait que des classes de série scientifique. C’est maintenant qu’on a des séries Littéraires. L’accompagnement a aussi été au rendez-vous. Les élèves sont restés deux mois sans faire cours. Mais on a fait de notre mieux pour combler ces horaires perdus. Nous avons créé des groupes WhatsApp pour renforcer les cours à domicile. C’était trop difficile, car il fallait être résilient. J’appelai personnellement les parents d’élèves et l’administration de l’école a eu même à acheter des téléphones portables et des cartes de crédit pour permettre aux élèves qui étaient en difficulté de suivre normalement les modules. Alors ces résultants sont réconfortants pour nous enseignants. Tous ces efforts ne sont donc pas perdus », a-t-elle fait savoir lors d’une interview accordée à Dakaractu
Commentaire d' un examinateur
Seneweb
Ces "bons" résultats doivent toutefois être relativisés car les conditions de repêchage ont été assouplies cette année (je suis examinateur dans des jurys de bac depuis plus de 10 ans).
Cette année il a été décidé de repêcher les candidats qui ont entre 9,00 et 10 de moyenne à l'admission d'office contre 9,50 et 10 les années passées.
De même les candidats qui ont eu 7,00 de moyenne sont autorisés à passer les épreuves du second tour contre 7,5 les années passées.
Ceux qui ont 11,00 de moyenne se sont vus attribuer la mention assez bien, ceux qui ont eu 13,00 la mention bien etc.
Un universitaire alerte sur un produit cancérigène
Lait caillé à partir du lait en poudre : Un universitaire alerte sur un produit cancérigène vendu à Dakar
Par: Seneweb News
Lait caillé à partir du lait en poudre : Un universitaire alerte sur un produit cancérigène vendu à Dakar
Il est enseignant-chercheur, vacataire à l' Université Alioune Diop de Bambey. Youssoupha Diop puisque c’est de lui qu’il s'agit, a partagé avec des followers une analyse scientifique sur les dangers que représenterait la consommation d'un lait commercialisé sur le marché sénégalais.
« Aujourd'hui, le lait caillé fait à partir du lait en poudre communément appelé "Neex soow" gagne du terrain. En effet, en vertu de son accessibilité, il gagne de plus en plus du marché. Partout à Dakar surtout dans sa banlieue ainsi que les régions, des points de vente sont installés », fait constater l’universitaire dans une note parvenue à Seneweb.
Youssoupha Diop souligne cependant que « cette alimentation bien que accessible, est fortement contaminé par l'aflatoxine M1. Ce dernier est réputé cancérigène et hépatique B. Ceci est en parfaite corrélation avec le nombre de Sénégalais atteints par cette maladie qui est d'ordre de 16% de la population. Ainsi, j'attire l'attention de tous les usagers en faire preuve de prudence », lance-t-il.
« Aujourd'hui, ajoute-t-il, le Sénégal doit penser à établir des normes relatives aux teneurs de mycotoxine dans les aliments à consommation humaine comme animale ».
En attendant une solution durable, le chercheur à l'UAD recommande de se faire vacciner de l'HVB
Revue de presse zik fm du vendredi 11 septembre 2020 par Ahmed Aidara
https://m.youtube.com/watch?v=FwI33_txk3k
jeudi 10 septembre 2020
Un vent fort attendu sur les côtes Sénégalaises, à partir de Samedi Par: APS -
Meteo annonce des vents forts ce samedi
Les côtes sénégalaises seront balayées, à partir de samedi à 5 heures, par un vent fort pouvant atteindre ou dépasser 40 km/h, alerte l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Les premières rafales devraient d’abord toucher la Casamance (sud), avant de se diriger progressivement vers le reste des côtes du pays, précise l’Agence, dans un avis émis ce jeudi. Le retour à la normale est prévue dimanche, à partir de 6 heures. ASG/BK
Conseil des MinistresArticlejeu, 10 sep 2020 Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 09 septembre 2020, à 10 heures, au Palais de la République. Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communication, présenté les condoléances de la Nation aux familles éplorées et réitéré sa solidarité aux populations sinistrées, à la suite des pluies exceptionnelles recueillies ces derniers jours dans la sous - région, en particulier au Sénégal. Il a, en conséquence, demandé au Ministre de l’Intérieur, en charge de la Protection civile, de déclencher, le samedi 5 août 2020, le Plan National d’Organisation des Secours (ORSEC). Le Président de la République a, en outre, invité le Ministre de l’Intérieur, en relation avec l’ensemble des ministres et structures impliqués, à intensifier les opérations de pompage des eaux. Il a aussi demandé au Ministre en charge de la Solidarité nationale, de déployer dans les délais, l’assistance attendue de l’Etat aux populations sinistrées, sous la supervision des autorités administratives. Le Chef de l’Etat a, à cet effet, informé le Conseil de sa décision de faire allouer une enveloppe budgétaire d’urgence, d’un montant de 10 milliards de FCFA, destinée au renforcement de l’efficacité des opérations de pompage et des systèmes d’assainissement, ainsi qu’à l’appui social immédiat aux populations sinistrées à hauteur de 03 milliards de FCFA. Il a également rappelé au Gouvernement, la nécessité de poursuivre la mise en œuvre optimale du Programme Décennal de Lutte contre les Inondations (2012 - 2022) et d’accélérer la formulation de la deuxième phase du Projet de Gestion des Eaux Pluviales et d’adaptation au changement climatique (PROGEP). Le Président de la République a, enfin, demandé, au Ministre de l’Intérieur, au Ministre de l’Assainissement, en collaboration avec le Ministre de l’Urbanisme et le Ministre des Infrastructures de s’atteler, à la réhabilitation/reconstruction du Collecteur de Hann-Fann, de même qu’à la préservation systématique de la fonctionnalité des ouvrages d’assainissement. Le Chef de l’Etat, revenant sur la modernisation de la gestion des chambres de commerce du Sénégal, a demandé au Ministre du commerce, en liaison avec les ministres en charge des Finances, de l’Economie, de l’Agriculture et de l’Industrie, de procéder à l’évaluation globale des Chambres de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture, en vue d’engager, dans le consensus, les modalités d’application intégrale de la réforme des chambres consulaires de 2017. Le Président de la République a, dans la perspective d’asseoir le bon déroulement de la prochaine session budgétaire qui s’ouvre en octobre 2020, demandé au Gouvernement de finaliser la préparation des rapports de performance 2020 et du projet de loi de Finances pour l’année 2021. Le Chef de l’Etat s’est félicité des résultats enregistrés par le Plan de Résilience dans le secteur des transports aériens, et qui ont valu à notre pays, les félicitations de l’Organisation internationale de l’Aviation civile. Le Président de la République s’est également réjouis du classement du Sénégal au 2ème rang de l’Indice de réponse globale ; ce qui consacre la qualité de notre riposte et la pertinence des mesures prises pour combattre la COVID 19. Le Président de la République a, au sujet du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, demandé au Ministre des Pêches et de l’Economie maritime de prendre les dispositions idoines, afin de permettre aux pêcheurs artisanaux ciblant des équipements spécifiques, d’accéder au Programme spécial de l’Etat, de subventions pour l’acquisition des moteurs hors-bord. Le Chef de l’Etat a, également demandé au Ministre en charge des pêches de lui faire le point sur l’exécution du projet de construction du marché au poisson de Matam, dans le cadre de la coopération avec la Corée. Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique en informant le Conseil avoir pris part, le 07 septembre à Niamey, au 57ème Sommet de la CEDEAO. Au titre des Communications, Le Ministre d’Etat, Secrétaire général de la Présidence de la République a fait le point sur la mise en œuvre des directives présidentielles. Les Ministres en charge de l’Intérieur, de l’Equité et de la Solidarité, de l’Assainissement et des Transports terrestres ont fait le point sur la situation des inondations et le déploiement du Plan ORSEC. Le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la mobilisation et l’exécution des ressources financières dans le cadre du FORCE COVID-19. Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur l’assistance apportée à nos compatriotes de la Diaspora et sur la situation internationale. Le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait le point sur les projets stratégiques. Le Ministre des transports terrestres et du Désenclavement a fait une communication sur les accidents de la route. Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait le point sur la situation de la pandémie et sur les activités du Service national d’Hygiène. Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait une communication sur la pluviométrie, le suivi des cultures et l’exportation des produits horticoles. Le Ministre de l’Education nationale a rendu compte de la reprise des cours dans l’Enseignement supérieur et des résultats satisfaisants enregistrés au baccalauréat. Le Ministre du commerce et des petites et moyennes entreprises a fait une communication sur le cadre national de commercialisation des productions agricoles et le document d’orientation stratégique des exportations. Le Ministre l’Economie numérique et des Télécommunications a fait une Communication sur l’organisation du Forum du Numérique et du Grand Prix du Chef de l’Etat pour l’innovation dans le numérique en 2020. Le Ministre, en charge du Suivi du Plan Sénégal émergent (PSE) a fait le point sur les avancées et la mise en œuvre des réformes, notamment dans le domaine des infrastructures. Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté : le projet de loi portant statut des réfugiés et des apatrides ; le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la convention n°155 de l’organisation internationale du Travail (OIT) sur la sécurité et la santé des travailleurs adoptée à Genève, le 22 juin 1981 ; le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la convention n°161 de l’organisation internationale du Travail (OIT) sur les services de santé au travail adoptée à Genève, le 25 juin 1985 ; le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la convention n°187 de l’organisation internationale du Travail (OIT) sur le cadre promotionnel pour la sécurité et la santé au travail adoptée à Genève, le 22 juin 2006 ; le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier le protocole de 2002 relatif à la Convention sur la sécurité et la santé des travailleurs adoptée à Genève, le 20 juin 2002 ; le projet de loi sur la convention sur la fiscalité applicable au projet de construction du pont de Rosso ; le projet de décret portant création et organisation du Grand Prix du Chef de l’Etat pour l’Innovation numérique. Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante : Monsieur Oumar DIALLO, Commissaire aux Enquêtes économiques, matricule de solde n° 506 734/C, précédemment chef du Service régional du Commerce de Dakar, est nommé, Directeur du Commerce intérieur au Ministère du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises, en remplacement de Monsieur Ousmane MBAYE
mercredi 9 septembre 2020
Elle simule une grossesse, ...
Tribunal de Mbour : Elle simule une grossesse, accouche de jumeaux juste pour...
Par: Khady Ndoye (Correspondante) Mbour - Seneweb.com | 09 septembre, 2020
Tribunal de Mbour : Elle simule une grossesse, accouche de jumeaux juste pour...
Entre Abdoulaye Ndione et Seynabou Fall, les parents avaient arrangé un mariage, qui ne durera pas le temps d'une rose. Leur idylle finira six mois après par un divorce à l'amiable.
Mais Seynabou n'en avait pas encore fini avec son ex-mari. Elle l'appelle un jour pour lui annoncer qu'elle était enceinte de trois mois. Cette nouvelle remplit de bonheur Abdoulaye qui se voit déjà papa. Sa béatitude décuplera lorsque Seynabou lui dira être enceinte de jumeaux.
Le futur papa s'évertue à prendre en charge les dépenses de la nouvelle maman qui avait ourdi un plan pour l'arnaquer.
''Un jour, elle m'a dit que son père lui a demandé de rentrer à Kolda. Quelques mois, elle m'a appelé pour me dire qu'elle avait accouché de jumeaux. J'ai envoyé de l'argent pour prendre en charge les frais de l'hôpital et autres. A cause de l'interdiction du transport interurbain, je n'ai pas pu me rendre à Kolda pour voir et baptiser mes enfants'', explique Abdoulaye.
Jusqu'au jour où il découvre que Seynabou n'était pas partie à Kolda et qu'elle n'avait pas eu d'enfant.
''J'ai fait mes recherches et j'ai découvert qu'elle était à Mbour et n'avait pas eu de jumeaux, ni même un seul'', dit Abdoulaye.
A la grande surprise du tribunal, Seynabou affirme : ''Je ne l'ai jamais appelé pour lui dire que j'étais enceinte. J'en avais complétement fini avec lui après notre divorce. On ne s'est jamais reparlé'.
La présidente de séance de lui dire que la gendarmerie a saisi l'opérateur de téléphonie pour voir à qui appartenait le numéro. Il se trouve que les envois d'argent ont été effectués sur le numéro de téléphone de Seynabou Fall.
Elle campe sur sa position et rétorque qu'elle avait perdu son portable et sa pièce d'identité.
Aissatou Ndour, la tante de Abdoulaye témoigne avoir à maintes reprises appelé Seynabou au téléphone pour prendre de ses nouvelles et ceux des bébés.
Me Elimane Kane, qui défendait les intérêts du mari déçu s'est désolé du fait que ''les jeunes filles d'aujourd'hui prennent tout pour un jeu''.
Pour l'avocat, son client n'a pas saisi la justice pour l'argent envoyé à son ex femme mais à cause du ''plan cynique'' de Seynabou.
''Son préjudice, c'est cet espoir qu'il nourrissait pour ces enfants'', dit-il.
Le tribunal a condamné Seynabou Fall à 4 mois d'emprisonnement ferme et à payer 700.000 de dommages et intérêts au papa déçu
BAC 2020 - QUAND L’OFFICE DU BAC ENVOIE DES MESSAGES D’ADMISSION À DES CANDIDATS AJOURNÉS
BAC 2020 - QUAND L’OFFICE DU BAC ENVOIE DES MESSAGES D’ADMISSION À DES CANDIDATS AJOURNÉS
Par: emedia.sn - Seneweb.com | 09 septembre, 2020
BAC 2020 - QUAND L’OFFICE DU BAC ENVOIE DES MESSAGES D’ADMISSION À DES CANDIDATS AJOURNÉS
Des dysfonctionnements sont notés dans le déroulement des examens de baccalauréat qui se déroulent présentement sur l’ensemble du territoire. que les résultats du 1er tour sont en train de tomber progressivement, des candidats déclarés ajournés par leur jury ont reçu des messages de l’Office du bac leur indiquant qu’ils sont admis au second tour.
Dans le message reçu, signé @Office du Baccalauréat, l’élève se voit cité nommément (nous masquons les données personnelles de l’un des cas reçus à Emedia.sn), avec son numéro de table. Sur la ligne suivante, c’est le résultat qui lui est annoncé. Pour certains, une note d’espoir qui dit au candidat qu’il est autorisé à subir les épreuves du second groupe. Mais il va vite déchanter une fois qu’il se présente à son centre d’examen.
Nous nous sommes rendus au centre du lycée Mixte Maurice de Lafosse, pour constater l’ampleur du phénomène. Ici, au jury 1382, ils sont une dizaine de candidats concernés par cette histoire. Certains, trouvés sur place, étaient venus vérifier auprès du jury dont le président est resté intransigeant sur les délibérations qu’il a déjà affichées à l’intérieur du centre. « Je confirme que c’est une vraie histoire. Je suis victime. Je viens de recevoir mon relevé, mais suis ajournée », nous signale une candidate trouvée au bureau des assistants du président du jury.
Interpellée sur la question, l’administration du jury s’en lave les mains. Elle dit avoir fait son dépouillement et envoyé les résultats depuis hier (lundi) nuit. Nos interlocuteurs de signaler que seuls les résultats qu’ils ont affichés au centre qui sont valables. Pour tenter d’expliquer le dysfonctionnement entre le résultat affiché et celui annoncé personnellement aux candidats via SMS, une source nous déclare : « En réalité, ces candidats devraient être repêchés, mais en consultant leur livret de Bac, on s’est rendu compte qu’ils ne pouvaient pas bénéficier de cet avantage. Seulement, en envoyant les messages aux candidats, l’administration de l’Office du Bac n’avait pas tenu en compte de cet aspect qui est venu s’ajouter à la donne », renseignent nos interlocuteurs. En gros, l’Office du Bac a envoyé un peu trop tôt les messages, alors que la décision finale n’avait pas été actée.
Nous nous sommes rendus également à l’Office du Bac, sis à l’Université Cheikh Anta Diop. Sur place, impossible de trouver le moindre interlocuteur. « Le Directeur dit qu’il ne peut recevoir personne. Il est en train de s’occuper des résultats du bac », nous signale le vigile. Mais une affiche sur la porte d’entrée du bâtiment central de l’Office du Bac nous renseigne suffisamment que le problème est déjà exposé à ce niveau et que des candidats (ou leurs parents) sont surement venus s’en plaindre.
« Du premier au dernier jour des épreuves, le contentieux est de la compétence du président du jury. Le jury est souverain (art. 18 du décret n°95 – 947 du 18 / 10 / 1995. L’Administration, à quelque niveau que ce soit, ne peut modifier les décisions du jury », lit-on sur la note. En termes clairs, seul les résultats physiquement affichés par le jury, au centre, sont considérés comme valables. Ceux envoyés par SMS, une stratégie initiée à cause de la pandémie de la Covid 19, ne constituent qu’un moyen de transmettre l’information aux candidats et si jamais il y a une différence, c’est le résultat affiché qui est officiel.
À signaler que les épreuves du 2nd tour du baccalauréat, édition 2020, vont démarrer ce jeudi, 10 septembre 2020. Hélas ! Ce sera sans ces candidats dont l’espoir est vite brisé par un SMS de l’Office du Bac.
Voici la chronique du 8 septembre 2020 sur le livre de Thierno Alassane Sall
https://m.youtube.com/watch?v=KbwaxFgRJco
mardi 8 septembre 2020
De la pluie sur la Quasi-totalité du pays ...
De la pluie sur la Quasi-totalité du pays pour les prochaines 48h
Par: APS - APS | 08 septembre, 2020
Alerte pluie sur tout le pays
La quasi-totalité du territoire sénégalais devrait renouer avec la pluie, au terme des prochaines 24 heures durant lesquelles les activités pluvio-orageuses vont intéresser les régions sud, avec des possibilités d’extension sur le centre-sud. "Au cours des prochaines 24 heures, les manifestations pluvio-orageuses intéresseront les régions sud avec des possibilités d’extension sur le centre-sud", annonce l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Les prévisionnistes prévoient qu’à partir des prochaines 48h, les pluies s’étendront à la quasi-totalité du territoire. Toutefois, en fin d’échéance, elles "persisteront par intermittence sur les régions ouest du pays". Les températures diurnes vont enregistrer une légère baisse "durant les prochaines 48h et 72h". Les visibilités s’annoncent "généralement bonnes", avec des vents de secteur sud-ouest et d’intensités faibles à modérées. ASG/BK
Commentaire de ...
...Parsup
Le baccalauréat commence à livrer les résultats, c'est certes important le bac mais le plus important encore c'est le choix des études supérieures et la carrière dans le milieu de l'emploi.
- certains font un excellent parcours de lycée et s'en sortent avec une bonne mention au bac, malheureusement le Sénégal n'offre pas plusieurs possibilités pour les études supérieures, les universités sont débordées, les conditions d'études très difficiles et les filières qui y sont enseignées ne sont pas en adéquation avec le monde professionnel, ce qui explique que nos universités sont assimilées à des usines de chômeurs. Les quelques écoles nationales de formations sur concours prennent un très petit nombre et la qualité de la formation reste à améliorer.
- si vous avez la chance de franchir cette première étape, s'en suit l'étape la plus difficile, la recherche d'emplois. Non seulement il y'a très peu d'entreprises qui recrutent et pire encore les rares recrutements se font par bras long et non pas par mérite, ce qui fait que vous pouvez sortir major de la promotion ingénieur polytechnique Dakar ou thies et rester en chômage pour très longtemps.
- Maintenant si vous trouvez un emploi vous commencez les vraies difficultés de la vie, d'abord au sein de votre propre famille des velléités vont s'organiser, chacun demande à être pris en charge, devant l'impossibilité de satisfaire tout le monde des frustrés vont naître et vous traineront dans la boue, les pratiques mystiques entre belles-mères beau-frère vont commencer pour plomber ton envol.
Au sein de l'entreprise la guerre féroce entre collègues la jalousie et les pièges vont se multiplier.
Pour faire des réalisations genre acheter une maison une voiture ou un bien quelconque, tu as mille chances d'être arnaqué par les dorkatou marteau.
Pour prendre une femme et fonder une famille tu peux tomber sur une mauvaise femme qui va tout basculer, elle va détruire tout ce que tu as durement réussi à réaliser.
Le bac est une petite étape de la difficile vie qui vous attend, célébrer rapidement votre réussite et restez concentrés pour les prochains défis
BAC 2020 : RÉSULTATS «CORONA» AU LYCÉE DE BARGNY Par: Seneweb News
BAC 2020 : RÉSULTATS «CORONA» AU LYCÉE DE BARGNY
Si les premières tendances annoncent des résultats considérés comme les meilleurs depuis près de 20 ans, c’est à Bargny qu’on risque d’enregistrer l’exception qui confirme la règle. Selon le journal Le Témoin, qui donne l’information dans sa livraison de ce mardi, dans cette ville Lébou du département de Rufisque, les résultats sont tout simplement catastrophiques, voire «corona».
Exemple : le centre du lycée de Bargny polarisait deux jurys, notamment les 1128 et 1129. Le jury 1129 situé à l’école Seck Guèye a livré en premier ses résultats des séries L’1 et L2. Ainsi, sur 370 candidats, 21 candidats ont été déclaré admis d’office et 69 passibles du deuxième tour d’épreuves. Pour la L2, 23 admis d’office en série L2 pour69 admissibles.
Au Jury 1128 les séries L’1, L2, S2 et S1 ont composé. Sur 350 candidats, 130 ont été déclarés admis d’office. C’est la série S1 qui s’est brillamment illustrée avec 100 % avec à la clé, une mention très bien pour le major de la promotion et deux assez bien pour les deux autres candidats de ce jury d’excellence, soit un taux de réussite de 31 % pour ce jury et 11,89% pour celui de 1129. Certainement qu’à Bargny, une zone qui connait des cas importants de Covidè19, la maladie a impacté sur les résultats des élèves
Commentaire d'
Omar
Vous avez écrit "Certainement qu’à Bargny, une zone qui connait des cas importants de Covidè19, la maladie a impacté sur les résultats des élèves." . C'est faux de dire que Bargny connait des cas importants de Covid-19. Un mensonge inventé de toutes pièces! Pour le reste, c'est inutile de vous répondre.
Boy Kaïré braqué par ses voisins
Vol de moutons "Ladoum" à Keur Ndiaye Lô : Boy Kaïré braqué par ses voisins
Par: Seneweb News - Seneweb.com | 08 septembre, 2020
Vol de moutons "Ladoum" à Keur Ndiaye Lô : Boy Kaïré braqué par ses voisins
C'est une nouvelle révélation dans ce qu'il est convenu d'appeler l’affaire du braquage du domicile de l'ancien lutteur Boy Kaïré.
Selon Libération, il a été cambriolé par ses voisins. Il s’agit de Mallo Sow et Mor Guèye, alias "10 heures". L’autre malfrat, Mouhamed Sow, fréquentait régulièrement la maison de Boy Kaïré.
Ils ont été tous placés sous mandat de dépôt vendredi dernier pour association de malfaiteurs, vol en réunion commis la nuit avec usage et port d’armes.
Pour rappel, Boy Kaïré a été victime d’un braquage, dans la nuit du 18 au 19 août 2020, à son domicile, sis à la Cité Dabakh de Keur Ndiaye Lô.
Les malfrats, lourdement armés, ont ouvert le feu sur lui avant d’emporter 5 moutons de la fameuse race «Ladoum».
Une candidate au Bac apprend son admission au second tour et ...
Bignona: Une candidate au Bac apprend son admission au second tour et meurt
Par: APS - APS | 08 septembre, 2020
Une candidate au BAC meurt après son admission à Bignona
Une candidate au baccalauréat au centre d’examen de Baila dans le département de Bignona (Ziguinchor, sud) est décédée lundi en début de soirée après avoir appris qu’elle était admissible au second tour, a appris l’APS de sources académiques. ’’Elle était une candidate libre. Elle a fait plusieurs fois le baccalauréat sans succès. Elle venait de passer au second tour
Sindian : Déclarée admise, une candidate au Bac décède des suites d’une crise cardiaque
Author : Buzzsenegal07 septembre, 2020 á 23:09:10
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Un drame est survenu ce lundi dans le village de Baila, situé dans le département de Bignona. Marie Diédhiou, une candidate au Baccalauréat, est décédée des suites d’une crise cardiaque, après avoir été déclarée admise.
Elle voulait avoir le Bac de tout son cœur. Son cœur ne l’a pas supporté lorsqu’elle a été déclarée admise.
Marie Diédhiou, selon des sources de Igfm, est décédée ce lundi après avoir été informée qu’elle venait d’être déclarée admise au Bac, à l’issue du second tour.
Elle était âgé d’une trentaine d’année, selon nos sources. Elle était une candidate libre. Son corps a été acheminé à la morgue
Revue de presse (wolof) Zik Fm du mardi 08 septembre 2020 avec Ahmed Aidara
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lundi 7 septembre 2020
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