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jeudi 25 mai 2017

Renforcement des systèmes judiciaires nationaux africains par le biais de la complémentarité et de la coopération efficace et dynamique avec la cour pénale internationale

Voici le discours prononcé ce mardi 23 mai 2017 par Monsieur le Premier Ministre au King Fahd Palace, à l'occasion de la Rencontre de haut niveau sur le thème : Renforcement des Systèmes Judiciaires nationaux africains par le biais de la complémentarité et de la coopération efficace et dynamique avec la Cour Pénale Internationale. Mesdames et Messieurs les Ministres ; Madame la Vice-présidente de la Cour pénale internationale ; Messieurs les Premiers présidents de Cours Suprêmes ; Excellences Mesdames, Messieurs les Ambassadeurs et Chefs de missions diplomatiques ; Distingués invités en vos rangs qualités et grades ; Permettez-moi, à l’entame de mon propos, de vous souhaiter, au nom de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Macky SALL, la bienvenue en terre africaine du Sénégal et vous dire combien je suis heureux de venir partager avec vous une réflexion sur le renforcement des systèmes judiciaires nationaux africains par le biais de la complémentarité et de la coopération efficace et dynamique avec la Cour pénale internationale. Cette action engagée en faveur de la justice pénale internationale par le renforcement de nos systèmes judiciaires nationaux à travers le principe de complémentarité est en parfaite cohérence avec la vision politique de son Excellence Monsieur le Président de la République Macky SALL fondée sur la promotion de l’Etat de droit, la lutte contre l’impunité et l’enracinement de la démocratie. Mesdames, Messieurs, L’avènement de juridictions pénales internationales, en particulier d’une Cour permanente, la Cour Pénale Internationale (CPI), constitue une avancée majeure dans la lutte contre l’impunité des crimes de masse qui heurtent la conscience universelle, notamment lorsque les systèmes judiciaires nationaux ne sont pas en mesure d’assurer efficacement leur mission. Cette évolution historique a aussi entrainé des changements notables dans les relations internationales qu’il convient, sans cesse, d’accompagner et d’expliquer, à travers des rencontres comme celle de ce matin. L’impunité est plus qu’un fait : c’est un système dans lequel les valeurs fondamentales qui régissent les sociétés se trouvent inversées et bafouées et où les auteurs de crimes de masse ne se sentent nullement inquiétés. Face à une telle situation de remise en question de l’existence même de l’humanité, l’efficacité du combat universel contre l’impunité reste inéluctablement la consolidation de l’Etat de droit. La consolidation de l’Etat de droit doit conduire à mettre en place dans nos pays des systèmes judiciaires performants, capables de travailler dans un parfait esprit de complémentarité et de coopération avec les autres instances judiciaires nationales, régionales et internationales. C’est d’ailleurs dans cette optique que Monsieur le Président de la République du Sénégal soutenait, en marge de la onzième session de l’Assemblée des Etats Parties, commémorative du Dixième anniversaire de l’entrée en vigueur du Statut de la Cour pénale internationale en novembre 2012 à la Haye, que, je cite : « L’Afrique doit poser ses doléances et la CPI doit les entendre pour qu’ensemble nous puissions trouver les équilibres afin que les préoccupations africaines soient prises en compte. La CPI ne doit pas se saborder car il y va de l’avenir de la justice pénale internationale. Nous devons protéger les populations contre les exactions, les génocides et les crimes contre l’humanité. Le Sénégal a été le premier pays au monde à avoir ratifié le traité de Rome. Nous continuerons à défendre la CPI même si elle doit faire l’effort d’écouter les doléances de l’Afrique. Mais aussi les Etats africains doivent faire l’effort d’avoir des tribunaux qui fonctionnent puisque si la justice marche bien dans les pays, la CPI n’aura pas à intervenir... » fin de citation. Il découle de cette forte déclaration que pour lutter contre les crimes de masse et répondre au besoin de justice des victimes, nous devons promouvoir dans nos Etats africains une justice forte et efficace, pilier de la bonne gouvernance et de l’Etat de droit. Une justice forte et performante passe nécessairement par le relèvement des budgets des ministères de la justice des pays africains, une domestication des normes internationales, une formation pointue et continue des acteurs judiciaires et enfin une modernisation de nos systèmes judiciaires. Mesdames et Messieurs, La complémentarité, voire la subsidiarité, doit être l’épine dorsale de la lutte contre l’impunité, puisqu’avec ce principe, consacré par le Statut de Rome, traité fondateur de la Cour pénale internationale, la justice pénale internationale ne prime pas sur le droit national mais complète ses failles et ses faiblesses lorsque les systèmes judiciaires nationaux ne disposent pas des capacités nécessaires ou n’ont pas la volonté pour juger ces crimes de masse. En effet, la notion de complémentarité, affirmée à travers l’article 17 paragraphe 1 du Statut de Rome, reconnaît qu’il revient en premier lieu à chaque État d’enquêter et de poursuivre les crimes les plus graves ayant une connotation internationale. Ce principe ainsi dégagé par les rédacteurs du traité fondateur de la Cour pénale internationale, respecte la souveraineté des Etats en ce qu’il crée une relation inédite entre les juridictions nationales et la Cour dans un équilibre des compétences respectives. Ainsi, les États conservent leur responsabilité première en matière de poursuite et de répression des crimes internationaux. Le principe de complémentarité fait aussi naître celui de coopération. Le développement de la coopération est, pour l’avenir de la Cour pénale internationale, un défi majeur pour les années à venir. La coopération doit d’abord être horizontale entre les Etats parties et la Cour pénale internationale pour renforcer le dialogue constructif avec les autorités nationales, afin de favoriser l’entraide pénale internationale. Elle doit ensuite être une coopération verticale entre les Etats parties pour garantir une application efficace du cadre juridique en matière pénale internationale. C’est tout le sens de l’accord signé le 22 août 2012, par notre pays avec l’Union Africaine pour juger, au nom de l’Afrique, l’ancien président tchadien Hissène Habré et la mise en place des Chambres Africaines extraordinaires au sein des juridictions sénégalaises. Ce procès historique en terre africaine qui vient de connaitre son épilogue le 27 Avril 2017, est la preuve que l’Afrique dispose des moyens de juger in situ les crimes de masse et que les africains ne sont pas contre la justice pénale internationale. Enfin, la coopération doit être multiforme pour prendre en compte tous les acteurs non étatiques, notamment les organisations internationales des droits de l’homme, les organisations humanitaires, et les associations de victimes entre autres. Excellences, Madame et Messieurs, Les principes et exigences sus-rappelés entrent en droite ligne avec les objectifs de la rencontre d’aujourd’hui. Je ne doute pas un seul instant, au regard de la qualité des panélistes et des participants, que vos contributions nous permettront certainement d’aller de l’avant dans notre volonté de promouvoir l’Etat de droit et dans notre engagement sans faille à lutter contre l’impunité à l’échelle nationale mais aussi africaine. Les aspirations des peuples du monde à vivre dans la dignité et la paix sont universelles. Notre volonté de lutter pour une justice universelle doit être commune et partagée par tous. C’est pourquoi, l’opportunité et la pertinence de cette rencontre sont hautement saluées par le Gouvernement du Sénégal et l’ensemble des acteurs qui mènent sans relâche ce noble combat depuis plusieurs décennies déjà en Afrique et dans le reste du monde. Honorables invités, Pour terminer, permettez-moi de rappeler, les paroles de M. Benjamin Ferencz, ancien Procureur au Tribunal de Nuremberg :« Il ne peut y avoir de paix sans justice, ni de justice sans loi, ni de loi digne de ce nom sans un tribunal chargé de décider ce qui est juste et légal … » Je vous remercie de votre aimable attention.

jeudi 18 mai 2017

REVUE DE PRESSE Ahmed Aidara du Jeudi 18 Mai 2017

Revue de Presse du Mercredi 17 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara

Revue de Presse du Mardi 16 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara

Revue de Presse du Lundi 15 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara

Conseil interministériel sur l’adoption d’un plan d’urgence à mettre en œuvre dans six départements identifiés comme à risque



Le gouvernement sénégalais va débloquer plus de quatre milliards de francs CFA en vue de prévenir la famine dans six départements du Sénégal en situation de vulnérabilité, a annoncé, mardi à Dakar, le porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye.
"Le Sénégal n’est pas en situation de famine. Il est vrai qu’il y a eu du retard dans l’hivernage et quelques petites appréhensions et il y a des zones de vulnérabilité. Il s’agit des départements de Bambey, Malème Hodar, Matam, Kanel, Koudiry et Tambacounda", a-t-il dit.
S’exprimant au sortir d’un conseil interministériel sur l’adoption d’un plan d’urgence à mettre en œuvre dans six départements identifiés comme à risque, il a précisé que quatre milliards 291 millions de FCFA seront mobilisés par le gouvernement à titre de prévention.
"Au total, 428 000 personnes, soit 42000 ménages, sont concernés. La distribution des vivres […] va porter sur 15 Kg de riz par personne, sur une période de trois mois, équivalente à la période de soudure du mois de juin au mois d’août", a-t-il détaillé.
Seydou Guèye précise que concernant le Sénégal, les partenaires au développement consacrent désormais leur soutien et leur apport aux politiques de développement telles que les bourses de sécurité familiale.
Selon lui, "le profil des récoltes avec la production céréalière sur la dernière période se chiffrant à plus de deux millions de tonnes prouve également que le Sénégal n’est pas concerné par le risque de la famine".
Toutefois, il a signalé une baisse de 5% de la production d’arachide par rapport à la campagne 2015. "Des situations comme ça conduisent à des alertes, de même que quand l’hivernage tarde à démarrer et que les pluies s’arrêtent un peu plus tôt", a-t-il analysé.
La rencontre a par ailleurs porté sur la mobilisation des ressources nécessaires à la mise en œuvre efficace du plan d’action de prise en charge des hommes et du bétail.
"Des instructions ont été données par le Premier ministre pour finaliser cette étude, afin d’ajuster le montant requis pour un déclenchement dans trois semaines, et cette opération va porter sur deux types de prestation".
Il a précisé que la première concerne "la vente subventionnée d’aliments de bétail et la distribution de déparasitants pour garder un profil physiologique de qualité pour le bétail".
Il a aussi indiqué que, dans le cadre de la malnutrition, deux dépistages seront faits dans les six zones à risque, pour produire deux types d’actions.
La première action consiste à apporter les compléments alimentaires nécessaires et la deuxième, à transférer vers des services de santé, si la situation l’exige pour un meilleur suivi de l’enfant. SK/ASG/ASB


Dakar, 9 mai (APS)



jeudi 11 mai 2017

Conseil des Ministres du 10 mai 2017



Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, mercredi 10 mai 2017, à 10 heures, au Palais de la République.
A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat présente les condoléances de la nation à la famille des cinq personnes décédées, suite à l’incendie survenu, le matin, aux Parcelles assainies et demande au Gouvernement de prendre toutes les mesures appropriées pour apporter l’assistance psychosociale requise ainsi que le soutien nécessaire à la famille éplorée. Revenant sur la célébration du 137ème Appel de Seydina Limamou Lahi, le Président de la République adresse ses chaleureuses félicitations à la communauté Layène, au Khalife général, Serigne Abdoulaye Thiaw Laye et réitère l’engagement du Gouvernement à œuvrer, sans relâche, pour la modernisation des localités et sites religieux de Yoff et Cambérène.
Le Président de la République remercie également les populations des îles du Saloum, pour l’accueil convivial et la grande dignité qu’elles ont manifestée lors de sa visite de condoléances à Bettenty. Il demande au Gouvernement de poursuivre l’assistance sanitaire et sociale aux blessés et d’assurer, dans les meilleurs délais, le recensement ainsi que la prise en charge immédiate des enfants mineurs, déclarés pupilles de la nation.
Dès lors, le Président de la République invite le Gouvernement à renforcer la présence des sapeurs-pompiers, le contrôle au niveau des lieux d’embarquement et de débarquement, à veiller au respect des normes de sécurité des pirogues et des voyageurs, par l’application stricte de l’obligation du port du gilet de sauvetage, dont la campagne nationale de sensibilisation doit être intensifiée.
Le Chef de l’Etat invite enfin le Gouvernement à engager l’exécution d’un programme de préservation durable des îles et des villes du Patrimoine mondial classé par l’UNESCO. Il lui demande dans ce sens d’accroître les investissements publics au niveau des îles, particulièrement des îles du Saloum et de la Basse Casamance, qui doivent davantage bénéficier, outre de stratégies de désenclavement adaptées, d’infrastructures sanitaires, scolaires, hydrauliques, socio-collectifs et d’une couverture téléphonique appropriées.
Rappelant par ailleurs la place primordiale qu’il accorde à l’autonomisation économique des femmes, le Chef de l’Etat adresse ses chaleureuses félicitations à toutes les femmes du Sénégal, à l’occasion de la quinzaine nationale de la femme et engage le Gouvernement à amplifier les financements des projets des femmes, en tenant compte des indicateurs pertinents de développement humain, et des critères d’ajustement favorisant les cibles spécifiques. Dans cette perspective, le Chef de l’Etat demande au Premier Ministre d’optimiser les impacts socio-économiques des appuis institutionnels et financements publics accordés aux femmes, et de préparer, dans les meilleurs délais, la validation et la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie nationale d’autonomisation économique des femmes.
Abordant la gestion préventive des conflits sociaux et la protection des travailleurs, le Président de la République félicite, à nouveau, l’ensemble des travailleurs du Sénégal et leurs représentants syndicaux, pour leur engagement patriotique dans la consolidation de la croissance économique et du progrès social.
Ainsi, appréciant les cahiers des doléances reçus des centrales syndicales, le 1er mai 2017, le Chef de l’Etat exhorte le Gouvernement et les employeurs, à veiller, en permanence, à l’amélioration des conditions de travail et du pouvoir d’achat des travailleurs de même qu’à leur épanouissement social. A ce titre, le Président de la République rappelle au Gouvernement la nécessité d’entreprendre, avec les partenaires sociaux, dans le cadre d’un dialogue social renforcé, l’accélération de la généralisation de la retraite à 60 ans, l’actualisation et la modernisation de la convention collective interprofessionnelle, ainsi que la signature de nouvelles conventions dans certaines branches d’activités professionnelles, telles que la sécurité privée, les transports aériens, l’enseignement privé, la communication et les médias, l’agriculture et la boulangerie.
Rappelant l’importance primordiale qu’il accorde à la consolidation de la gouvernance des institutions de prévoyance sociale, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement de finaliser, dans les meilleurs délais, le plan d’action consensuel de mise en œuvre des recommandations de la deuxième Conférence sociale portant sur la modernisation des régimes de retraite et d’engager la mise en œuvre pragmatique d’un plan de rationalisation des systèmes de rémunération des agents des secteurs public et parapublic, avec une priorité, la rémunération axée sur la performance.
Par ailleurs, le Président de la République demande au Premier ministre d’assurer, en relation avec les syndicats et le Patronat, le suivi régulier du paiement des droits des travailleurs des entreprises liquidées ou en liquidation, de même que la situation des entreprises en difficulté.
Le Chef de l’Etat a clos sa communication sur son agenda diplomatique, en informant le Conseil de sa participation, les 3 et 4 mai 2017 à Durban, au Forum économique mondial sur l’Afrique, et de la visite de travail au Sénégal, les 16 et 17 mai, de son homologue du Ghana, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo.
Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu compte du suivi et de la coordination de l’activité gouvernementale en mettant l’accent sur les conseils interministériels consacrés au retour des pêcheurs de la Mauritanie et à la sécurité alimentaire dans le pays.
Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait le point sur l’inauguration de l’Unité de soins ambulatoires aux enfants et adolescents drépanocytaires du Centre hospitalier national d’Enfants Albert Royer de Dakar, financée par la Principauté de Monaco et la célébration de la journée africaine de la drépanocytose.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation africaine et internationale.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a rendu compte du déroulement de la campagne de commercialisation arachidière 2016-2017.
Le Ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions a fait le point des statistiques du travail de 2016.
Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a fait le point sur l’état d’avancement des projets du PSE.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a adopté :
  • le Projet de loi modifiant les articles 5,6,7,9 et 13 de la loi n° 2014-26 du 03 novembre 2014 fixant l’organisation judiciaire ;
  • le Projet de loi organique modifiant les articles 75 et 77 de la loi organique n°2017-10 du 17 janvier 2017 portant Statut des magistrats ;
  • le projet de loi portant création, organisation et fonctionnement des Tribunaux de Commerce et des Chambres commerciales d’Appel ;
  • le projet de décret portant application de la loi n°2017-07 du 6 janvier 2017 portant dispositif d’incitation applicable dans les zones économiques spéciales.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
  • Monsieur Abdourahmane SOW, ancien Ministre, est nommé Président du Conseil d’Administration de l’Office des Lacs et Cours d’Eau (OLAC) ;
  • Monsieur Amadou BOCOUM, est nommé Directeur général de l’Office des Lacs et Cours d’Eau (OLAC) ;
Le Ministre Porte-parole du Gouvernement

Revue de Presse du Jeudi 11 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara

Revue de Presse du Mercredi 10 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara

jeudi 4 mai 2017

MACRON / LEPEN DEBAT COMPLET // ELECTIONS PRESIDENTIELLES 2017

Louis La Brocante Louis mène l'enquête

Sédhiou : Un enseignant battu par les militaires, ses collègues battent le macadam

Un enseignant a été battu par des militaires en faction dans le Département de Goudomp, une localité située dans le département de Sédhiou. C’est un enseignant qui a levé la main sur son épouse qui a été corrigé à son tour par les militaires. A en croire « Vox Populi », la femme du nom de S. Diémé, qui est sujette à des crises d’épilepsie, est tombée en transe alors que son mari, Sadio la battait. Ameutés par ses cris, les voisins ont alerté le papa de la dame, qui à son tour, est parti voir les militaires pour les informer. Un des chefs du cantonnement a dépêché 4 de ses éléments pour convoquer M. Sadio. Le mari ne voulant pas déférer à la convocation aurait été battu par les soldats.  Le corps enseignant s’est solidarisé avec son collègue. Les enseignants de Goudomp ont décrété 72 heures de grève qui ont démarré depuis mardi. 
 dakaractu

Le comédien Victor Lanoux (Louis la brocante) est décédé

Le comédien français Victor Lanoux, notamment connu pour son rôle dans la série "Louis la Brocante", s'est éteint à l'âge de 80 ans des suites d'un AVC à l'hôpital de Royan, une commune du sud-ouest de la France, a annoncé jeudi le site d'information Sud Ouest.
L'acteur était hospitalisé depuis plusieurs jours à la suite d'un AVC et était plongé dans le coma, précise Sud Ouest. 
 

Revue de Presse du Jeudi 04 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara

Revue de Presse du Mercredi 03 Mai 2017 Avec Ahmed Aidara